Les chats du soleil

Pour les Surmas de la vallée de l’Omo, le Donga est un jour de fête. Ce grand festival de lutte marque traditionnellement la fin des récoltes, l’assurance d’une année de subsistance et de la pérennité du clan. Durant le Donga, les villages alentour rassemblent leurs hommes en âge de procréer afin de parader, d’exalter leur beauté et leur force auprès des villageoises. Virilité, force et beauté sont poussées à leur paroxysme. On se bat, on se blesse, on meurt parfois, mais on séduit aussi… Jeunes hommes et femmes s’unissent parfois pour une nuit, parfois pour une vie. Armés de bâtons de presque 2 mètres de long, les hommes luttent, les coups sont rudes, les corps abîmés souffrent. Des peintures corporelles préliminaires aux rites de séduction en passant par la lutte elle-même, Hans Silvester nous invite à découvrir ce spectacle puissant, venu d’un autre âge, le Donga.

Donga - Se battre pour séduire

Parades amoureuses, instants de complicité ou de querelles, Hans Silvester nous offre une nouvelle fois des portraits de chats tous empreints d'une réelle émotion.Ils charment l'objectif de leur grâce et leur douceur et se livrent dans leur totale intimité.Le photographe nous présente des séquences, des scènes de vie félines et invite l'amateur, l'amoureux ou le passionné de chats dans un univers à la fois sauvage et attendrissant.

Un amour de chats

Les chats charment l'objectif de leur grâce et leur douceur et se livrent dans leur totale intimité.Le photographe nous présente des séquences, des scènes de vie félines et invite l'amateur, l'amoureux ou le passionné de chats dans un univers à la fois sauvage et attendrissant.

Un Amour de Chats

Après avoir voyagé à travers le monde, Hans Silvester tourne son objectif de photographe vers une Afrique originelle, berceau de l'humanité. De sa rencontre avec les tribus de l'Omo, zone quasiment inviolée où des hommes et des femmes d'aujourd'hui perpétuent des modes de vie ancestraux, il ramène une galerie de portraits qui sont un plaisir de l'oeil autant qu'une rencontre avec l'inconnu. Batailles, retours de chasse, jeux d'enfants, parades, toutes ces scènes du quotidien sont autant d'instants qui saisissent les hommes dans leurs nombreux rituels. Les lèvres étirées par des grands plateaux d'argile, les lobes allongés, les corps peints, marqués, scarifiés, sont l'expression d'une société traditionnelle et vulnérable qui côtoie aussi la violence des armes.

Les peuples de l'Omo Coffret 2 volumes : Du corps à l'oubli ; Entre la nature et l'homme

Qui se souvient encore des oiseleurs, des rémouleurs, de ces marchés où se côtoyaient pêle-mêle fermiers, apiculteurs et vendeurs de truffes ? C'était hier rassemble quelque 250 photographies d'Hans Silvester prises dans les années 1960. On retrouve avec tendresse et un brin de nostalgie toute l'ambiance de cette époque, à travers les artisans, les paysans et tous ces lieux dans lesquels ils évoluent. C'était hier est notre album de famille, nous dit Claude Michelet, qui invite à se tourner une dernière fois vers ces paysages et ces hommes, tout cet univers qui peu à peu disparaît.

C'était hier

Pour Hans Silvester, la nature est une seconde nature. On peut voir en lui le premier militant écologiste à s'être emparé de l'outil photographique comme d'une arme de persuasion. Mais son oeuvre est également une approche sociologique et patrimoniale, qu'il chronique pendant trente ans l'évolution des habitants d'un village basque ou saisisse les derniers rites de peuples primitifs en Ethiopie. Amoureux de la Terre, il l'est aussi des êtres qui la peuplent, y compris les animaux. Ses photos de chevaux ou de chats - immenses succès en librairie - en témoignent. Impossible, donc, de réduire le travail de Hans Silvester à un "genre". Son oeuvre est un tout qui nous dit la beauté du monde et témoigne d'une grande indépendance : le photographe ne recherche jamais l'effet, il veut décider lui-même de ses reportages et se laisser porter par la chance, bonne fée dévouée à ceux qui, persévérants, la sollicitent. Pour chacune de ces 200 images choisies au sein d'une oeuvre foisonnante, toutes saisies sur le vif, toutes composées d'instinct, Hans Silvester confie commentaires, anecdotes et réflexions sur son travail. Ses propos dessinent l'aventure de la création photographique.

Derrière l'objectif de Hans Silvester

Résumé :Semi-sauvages à la naissance, les chatons des îles grecques commencent leur vie jalousement protégés par leur mère. Farouches, ils attaquent lorsqu'on les approche. Il aura donc fallu à Hans Silvester huit ans de patience et d'observation pour composer cet ouvrage tendre et surprenant. Car les mois passent, les chatons grandissent, s'éveillent, se détachent de leur mère. Et un beau matin, ils chassent tout seuls : les petits sont devenus grands... comme Gréco, le chat du photographe... Ainsi va l'école de la vie...Biographie:Né en 1938 en Allemagne, Hans Silvester fait ses premières photos à l'âge de douze ans. Quelques années plus tard, il part pour une série de voyages en Europe, en Orient, au Japon, en Amérique. En 1960, il publie un livre sur la Camargue avec un texte de Jean Giono, ouvrage qui remporte un énorme succès. Depuis, il vit en Provence et fait partie de l'agence Rapho. Il est l'auteur de plusieurs grands succès parus aux Editions de La Martinière : Les Chats du Soleil, Les Chats du Bonheur, Sieste et Tendresse et Chiens en liberté.

Les Chatons des îles grecques

Avec une patience infinie et une discrétion digne d'un félin, Hans Silvester a apprivoisé, observé et saisi la vie des chats à toutes heures du jour et de la nuit, au rythme des quatre saisons. Avec pour toile de fond, le soleil et les petits ports de pêche de Méditerranée, les mours de nos chers compagnons sont déroulées avec amusement et tendresse : siestes, repas, vagabondages, mais également parades amoureuses et jeux. Les chats rencontrés et suivis s'offrent, en toute confiance, dans leur totale intimité au regard bienveillant du photographe. Dans un festival de couleurs et de matières, plongez - ou replongez - avec délice dans ce monde sauvage mais si tendre.Passionné de nature et d'animaux, Hans Silvester a recueilli son premier chat en 1961. Depuis des années, sa fascination pour ces petites bêtes n'a cessé de croître. Il a publié aux Éditions de La Martinière Les Chats du soleil en 1995, Sieste et tendresse en 1997 et Un monde de chats en 2007, tous des succès internationaux. Les derniers reportages de ce grand voyageur l'ont mené en Éthiopie, plus précisément dans la vallée de l'Omo où il a photographié les peintures éphémères corporelles et les parures végétales des Mursi et des Surma. Ce travail a donné lieu à plusieurs publications dont Les Peuples de l'Omo, Donga, Fenêtre sur l'Afrique et plus récemment Pastorale africaine.

Les chats du soleil

Plus de livres de Hans Silvester

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques