Oscar Wilde narra, en este afamado relato, la historia de una sofisticada familia norteamericana que compra el antiguo castillo inglés de los Canterville. El anterior propietario les advierte de que la casa está habitada por un fantasma, Lord Simon Canterville, quien mató a su esposa y cuyo cuerpo desapareció después misteriosamente. El fantasma, anacrónico, no logrará asustar a sus inquilinos, y acabará siendo juego y víctima de los más pequeños de la familia.

El fantasma de Canterville

Pourquoi attendre que les enfants soient grands pour leur faire découvrir les oeuvres célèbres de la littérature ? Avec une histoire illustrée, une présentation de l'auteur, une galerie des personnages principaux et du vocabulaire expliqué, Le Portrait de Dorian Gray propose aux enfants un premier "voyage" à la fois ludique et pédagogique dans un grand classique de la littérature. Pour les parents, c'est une occasion unique de (re)découvrir une histoire intemporelle en partageant un moment de complicité.

Le Portrait de Dorian Gray

Au centre de la piece, fixe a un chevalet droit, se dressait le portrait en pied d'un jeune homme d'une extraordinaire beaute physique, devant lequel, a peu de distance, se tenait assis le peintre lui-meme, Basil Hallward, celui dont, il y a quelques annees, la disparition soudaine a, sur le moment, tant emu le public et donne lieu a d'etranges conjectures. Or Dorian Gray, jeune dandy seducteur et mondain, a fait ce voeu insense garder pour toujours l'eclat de sa beaute, tandis que le visage peint sur la toile assumerait le fardeau de ses passions et de ses peches. Et de fait, seul vieillit le portrait ou se peint l'ame noire de Dorian qui, bien plus tard, dira au peintre: Chacun de nous porte en soi le ciel et l'enfer.

In The Soul of Man under Socialism Oscar Wilde expounds on an anarchist world view. Wilde argues that under capitalism the majority of people spoil their lives by an unhealthy and exaggerated altruism-are forced, indeed, so to spoil them: instead of realizing their true talents, they waste their time solving the social problems caused by capitalism, without taking their common cause away. Thus, caring people seriously and very sentimentally set themselves to the task of remedying the evils that they see in poverty, but their remedies do not cure the disease: they merely prolong it because, the proper aim is to try and reconstruct society on such a basis that poverty will be impossible.

L'âme humaine

J'ai les gouts les plus simples du monde, je me contente du meilleur. Une idee qui n'est pas dangereuse ne merite pas d'etre appelee une idee. Le devoir est ce qu'on attend des autres. Ce n'est pas ce que l'on fait soi-meme. La perversite est un mythe invente par les gens de bien pour expliquer le curieux attrait des autres. Le travail est la malediction des classes qui boivent. Une chose n'est pas necessairement vraie parce qu'un homme meurt pour elle. L'amitie est infiniment plus grave que l'amour. Elle dure plus longtemps. Si l'on dit la verite, on est certain d'etre decouvert tot ou tard. Oscar Wilde

La jeunesse est un art

600 citations des grands écrivains du XXe siècle

Les bons mots célèbres de Wilde lui valent une réputation de mondain. C'est l'un de ses masques, il en a bien d'autres : "En art, dit-il, est vérité ce dont le contradictoire est également vrai." A Gide, il conseille de se débarrasser du Je : "En art, voyez-vous, il n'y a pas de première personne." L'artiste est celui qui, prenant le risque d'assumer ses identités multiples, est le plus créatif et le plus vrai : "Je traitai l'Art comme la réalité suprême, et la vie comme une simple modalité de la fiction ; j'éveillai à tel point l'imagination de mon siècle qu'il créa autour de moi un mythe et une légende." L'Art comme réalité suprême. L'artiste comme mythe et légende vivante, créés par son propre génie : Salvador Dali, Andy Warhol, David Bowie. Wilde inventeur de la modernité. Mais aussi Wilde l'Irlandais, autonomiste acharné, proclamant : "Je ne suis pas anglais. Je suis Irlandais, ce qui est tout autre chose." C'est par son ressentiment et son mépris à l'égard de la société anglaise qu'il faut comprendre ses outrances et provocations. Il se voit comme David contre Goliath : car "l'exil a été pour les Irlandais ce que la captivité a été pour les Juifs." Contre les Anglais, Wilde a d'autres alliés : les Grecs : "Nous sommes une nation de brillants ratés, mais les plus grands causeurs depuis les Grecs." Dès le collège, il lit à livre ouvert Homère et Eschyle. A Oxford il excelle dans les humanités classiques. Sa croisade sera d'imposer aux Anglais un "nouvel Hellénisme". Ecoutons Yeats : "Je vois dans sa vie et dans ses oeuvres une extravagante croisade celtique contre la stupidité anglo-saxonne." C'est ce Wilde-là que l'on découvrira dans ce livre : courageux, génial et drôle.

Ainsi parlait Oscar Wilde

En été 2003, mandaté par l'EMS de Val Fleuri (maison de retraite pour personnes âgées) afin de réaliser quelques dessins, Oscar Baillif a vécu pendant deux mois et demi avec les résidants de cet établissement. Son dessin et sa présence discrète lui ont permis de recueillir des témoignages, des souvenirs et des bouts de vie. Ce magnifique travail qui illustre si bien l'existence de cette population directement issue de notre société moderne méritait d'en faire un livre. Pas un livre médical, plutôt un livre qui nous permette de pousser avec lui quelques portes. Le peuple du bout du monde, si proche de nous et dont nous ignorons tant de choses. Qui sont ces gens, comment vivaient-ils, quels sont leurs rythmes, leurs préoccupations ? Avec un carnet de voyage rempli de tendresse, Oscar Bailli nous emmène tout droit au centre de cet EMS avec ses illustrations et ses textes si plein de délicatesse.

Le peuple du bout du monde

Written in his distinctively dazzling manner, Oscar Wilde’s story of a fashionable young man who sells his soul for eternal youth and beauty is the author’s most popular work. The tale of Dorian Gray’s moral disintegration caused a scandal when it ﬁrst appeared in 1890, but though Wilde was attacked for the novel’s corrupting inﬂuence, he responded that there is, in fact, “a terrible moral in Dorian Gray.” Just a few years later, the book and the aesthetic/moral dilemma it presented became issues in the trials occasioned by Wilde’s homosexual liaisons, which resulted in his imprisonment. Of Dorian Gray’s relationship to autobiography, Wilde noted in a letter, “Basil Hallward is what I think I am: Lord Henry what the world thinks me: Dorian what I would like to be—in other ages, perhaps.

El fantasma de Canterville

Résumé

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Critiques

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