Oeuvres - Tome 8-1, Principia philosophiae

Le monde ; l'homme

Less exercices pour les éléments des solides

Discours de la méthode

Ce volume contient la quatrième et dernière partie des Principes de la Philosophie (1647), de René Descartes :
DE LA TERRE.
" Comment on été produites les montagnes, les plaines, les mers &c ? Quelle est la nature de l'air ? De la nature de l'eau & pourquoi elle se change aisément en air & en glace ? Pourquoi l'eau de la plupart des fontaines est douce, & la mer demeure salée ? Quelle est la cause des tremblements de terre ? D'où vient qu'il y a des montagnes dont il sort quelquefois de grandes flammes ? Comment s'allume le feu de la foudre ? D'où vient que l'eau commune éteint le feu ? Pourquoi l'aimant attire le fer ?... "
" Des inégalités de la chaleur qui est en cette Terre intérieure... Des principes de la Chymie et de quelle façon les métaux viennent dans les mines... Quelle est la nature du feu ? Explication de la nature de l'aimant... Des sens extérieurs. Comment on prouve que l'âme ne sent qu'en tant qu'elle est dans le cerveau ?... "
" Toutefois, à cause que je ne veux pas me fier trop à moi-même, je n'assure ici aucune chose, & je soumets toutes mes opinions au jugement des plus sages & à l'autorité de l'Église...
Feignons donc que cette Terre où nous sommes a été autrefois un Astre... "
Voici la première histoire de la Terre.

Oeuvre scientifique. - Tome 7, La Terre et son histoire

Dans Les Méditations métaphysiques, Descartes projette de donner un fondement solide à la connaissance : qu'est-ce qui me permet de penser que je détiens une vérité ? Il faut opérer un tri entre le vrai et le faux, et le philosophe va s'appliquer à rejeter tout ce qui est douteux. Une première vérité incontestable émergera de ce doute méthodique : "je pense donc je suis" (le fameux cogito).

Méditations métaphysiques

"Cogito 75" - Méditations Métaphysiques

Il s’agit d’une édition de fragments (titres et extraits de traités entrepris ou simplement projetés) et de commencements d’œuvres de Descartes qui nous sont parvenus par des sources variées mais parfaitement fiables, et dont Descartes lui-même a fait mention à un moment ou à un autre dans sa Correspondance ou dans le Discours de la méthode, mais qui n’ont jamais été pris en considération pour eux-mêmes. Nous avons réuni ces textes, nous les avons traduits quand ils étaient en latin ou en néerlandais – tout en plaçant les originaux en regard –, présentés, datés et annotés historiquement et philosophiquement. Nous insistons sur la Licence en droit (placard découvert en 1987), l’Étude du bon sens, dont nous restituons l’objet et l’ensemble des fragments non identifiés jusqu’ici, et La recherche de la vérité, pour la première fois traduite en français à partir de sa version néerlandaise et datée de façon sûre. Ces textes ainsi réunis et datés présentent pour la première fois un Descartes inédit, travaillant en philosophe, et non seulement en savant, dans les deux décennies qui précèdent le Discours de la méthode.

Etude du bon sens - La recherche de la vérité et autres récits de jeunesse (1616-1631)

Le Discours de la méthode est écrit quatre ans après le procès de Galilée, précurseur d'une " écriture mathématique de l'univers ". Contre la scolastique, spéculative et frein à l'esprit critique, et le scepticisme, qui renonce à toute vérité, Descartes développe une philosophie du doute pour établir avec certitude ses connaissances. Cheminement raisonné à travers les sciences, la morale, mais aussi l'existence de Dieu et l'anatomie.ce discours le mène surtout et avant tout à fonder l'existence d'un sujet. Paru en 1637. ce texte est à l'origine de la réputation de " cartésiens " des Français !

Oeuvres - Tome 8-1, Principia philosophiae

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