Depuis que j'ai un chat, ma soeur est bizarre. Elle se peinture les ongles et elle écrit des poèmes sur les volcans! En plus, elle s'intéresse au baseball! D'habitude, elle déteste se lever tôt le samedi matin pour aller promener Hercule, le chien de la voisine, alors qu'aujourd'hui...

Thierry

Saviez-vous que les goélands, les chats, les singes et plein d'autres animaux vont à l'école? Je parie que vous ne devinerez jamais ce qu'ils y apprennent!L'auteur masqué vous livre ses recherches ultrasecrètes sur l'univers scolaire des animaux. Des révélations incroyables!...

L'école

Dans ce roman pour les premiers lecteurs, lauréat du prix du livre M. Christie en 2001, David raconte sur le ton de la confidence comment il vaincra sa peur du gros chien. Il aide aussi les petits à vaincre les leurs.

David et le fantôme

Empiler quelques livres poussiéreux dans des boîtes, ça ne semble pas très sorcier. Quand le vieux bibliothécaire confie cette tâche à Mathis, il accepte aussitôt. Une fois seul dans les sombres sous-sols du collège, il réalise assez vite qu'il a commis une grave erreur.

Les vieux livres sont dangereux

Y a-t-il quelque chose de plus assommant que d'assister à des funérailles ? C'est tellement ennuyeux que Steve décide d'explorer le sous-sol de l'église pour se changer les idées.Il y découvre un monde macabre, et même morbide: des piles de crânes venus tout droit des catacombes romaines, des toiles représentant des visions infernales, des statues de saints pendues la tête en bas et attachées aux murs avec des menottes... Voilà de quoi se changer les idées, non ? Surtout quand on se fait apostropher par un prêtre pour le moins insolite, sinon sulfureux...Qui est donc ce père Francke qui a réussi à attirer la mère de Roxanne dans son groupe de renaissance spirituelle et qui s'adonne à d'étranges rituels, la nuit venue ? Avons-nous affaire à un simple gourou d'une nouvelle secte, ou bien ... Ou bien quoi ? Peut-on vraiment imaginer pire ?

Sacrilège

Le diagnostic est tombé sur la tête de François Gravel comme une tonne de briques : Parkinson.Comment affronter la réalité de cette maladie dégénérative dont on ignore la cause et pour laquelle il n’y a aucun espoir de guérison ? François Gravel a choisi de réagir à sa manière, en entreprenant l’écriture d’un livre dans lequel il est question de ses recherches sur le sujet, mais aussi de ses angoisses, de ses états d’âme et de tout ce que l’arrivée de cette maladie a changé dans sa vie. À la fois informatif et touchant, grave et plein d’humour, ce bref récit est tout sauf un apitoiement sur soi. Puisse-t-il être utile à d’autres qu’à lui.

À vos ordres, colonel Parkinson!

Le commerce de M. Vincent, le chapelier, périclite. Le commerce voisin, celui de M. Antoine, est florissant; il propose moustaches et accessoires. C'est la mode. Tous en portent. M. Antoine propose un jour au chapelier une moustache qui fera mousser ses affaires. Vivante et autonome, cette moustache devient une compagne de même qu'un véritable spectacle sur le visage de celui qui s'en pare. La clientèle revient peu à peu chez le chapelier, curieuse de voir sa moustache spéciale. Un jour, alors qu'il prononce un discours en public, le maire de la ville qui porte aussi une moustache vivante voit celle-ci s'envoler, puis disparaître avec celle de M. Vincent. À la fin de ce récit fantaisiste, le chapelier fait un discours critique sur le côté vaniteux de la mode et l'importance de vivre le moment présent. De fines aquarelles, représentant les personnages à la Belle Époque, accompagnent un texte long et dense qui amène à réfléchir au rôle des modes dans la vie sociale.

L'été de la moustache

D’où viennent les mots ? Qui a décidé que nous dirions « mur » ou « spaghetti » et pourquoi les gens ont-ils accepté ce choix ? C’est beaucoup de questions et tout plein de réponses que fournit François Gravel dans ce texte rempli d’informations, mais raconté avec humour, sans lourdeur. Traitant de faits officiels de manière personnelle, il retrace l’origine de mots venus d’autres langues, empruntés au grec et au latin ou inspirés du patronyme de leur créateur.Des illustrations signées Katy Lemay proposent des collages inattendus de photos ou de gravures historiques agrémentés de couleur et d’une touche de folie.Le résultat crée un délirant mélange d’art, d’informations et de surprises. D’ailleurs, aviez-vous reconnu l’auteur sur la couverture ?

Thierry

Résumé

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Critiques

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