Campagnes

Louis Calaferte a écrit 26 pièces de théâtre entre 1950 et 1993, dont TRAFIC en 1965 / Dans le théâtre de Louis Calaferte, la représentation doit faire apparaître la cruauté du comportement et des sentiments exprimés. Insupportable scène que celle des fourmis...

Trafic

Carnets / Louis Calaferte Tome 1

Un hommage amoureux du poète à sa femme, Guillemette, à l'occasion de son quatre-vingtième anniversaire (1972).

G - Isthme de mon amour

... La lecture de Tu as bien tait de venir, Paul est un événement. C'est ce que l'on se hasarderait à appeler "un coup de génie". Effrayant et superbe à la lois ; mais quelle tendresse dans le désespoir... Jean-Pierre Miguel

TU AS BIEN FAIT DE VENIR, PAUL - Louis Calaferte

Avant que d'être métaphysique, cette courte pièce à un personnage, est saisissante par la puissance de son caractère d'introspection. , ce monologue est d'abord l'expression d'une forte aventure intérieure, tout entier dévolu à l'exaltation de la solitude et du retrait ; Djamel MESKACHE. Louis Calaferte a écrit 26 pièces de théâtre entre 1950 et 1993, dont MO en 1976 . Baroque, c'est en effet tout le théâtre de Louis Calaferte qui l'est si baroque désigne un théâtre de l'écart, un théâtre non traditionnel, un théâtre figural. Les drames qui s'y jouent ne sont pas des morceaux de la réalité, mais des métaphores de la vie sociale, construites pour interroger notre vie sociale bien réelle. De ce point de vue, tout le théâtre de Calaferte est bien un théâtre non conformiste, dans sa structure, dans ses propos, dans ses images... Hervé BISMUTH.

MO - Louis Calaferte

Règne sans partage de la mélancolie et de l'humour (parfois le plus noir) sur la poésie de cet homme aux multiples facettes.

Cours des choses suivi de C'est comme ça

Ce recueil de poèmes fait partie de l'ensemble Poésie-bouffe, écrit entre 1962 et 1969, et fait suite à Cerf-Volant.

Colin-Maillard (1962-1969)

«Je préfère à tout le travail - qui m'est sécurité d'esprit, exacte concordance à ma mesure, justification de mon moi - et, plus encore : plaisir. Savoir en m'éveillant que je vais m'asseoir à ma table, voilà qui, chaque jour, me procure un contentement que le temps n'épuise pas. Cette hésitation, chaque fois, devant le papier que sa blancheur défend. La page remplie - ou, les mauvais jours, seule une phrase. Le soir, ce cahier refermé jusqu'au lendemain. Cette accumulation de vie au long des journées. Écrire est une grâce.»

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