L'histoire des fêtes et des traditions festives en Bretagne

Les fêtes bretonnes et celtiques

Les Druides

De Brest, le regard porte loin. Vers la rade et le large et les immensités bleues et vertes. Un dans le passé, avec notamment cette fête des vieux gréements qui revient tous les quatre ans animer le port et un dans le futur, avec Océanopolis, la cité de  la mer, ce tramway étincelant qui vient de prendre son envol et ce projet de téléphérique, du côte de Recouvrance. Ville étudiante, avec son campus, ville militaire, ville populaire avec ses quartiers suburbains absorbés dans le "grand Brest" en 1945, Brest ne brille peut-être pas par une esthétique aguicheuse, mais c'est une ville vivante et chaleureuse. Bernard Galéron, photographe "finistérien" et Thierry Jigourel, en dressent un portrait vivant et séduisant.

Brest métropole océane

Album collector regroupant les 3 premiers tomes de séries incontournables ! !

Les druides : Intégrale Tomes 1 à 3

Côtes-d'Armor, voilà un nom plus évocateur et surtout plus fidèle que celui de Côtes-du-Nord ! En décembre 1789, lorsqu'ils découpèrent le royaume de France au cordeau, des révolutionnaires, peu inspirés, avaient choisi cette appellation. Si les Côtes-d'Armor restent scindées en deux - une partie gallèse à l'ouest et une partie brittophone à l'ouest - la population cultive unanimement son histoire et son identité. De la résistance des Osismi et des Coriosolites à l'agression romaine, de celle d'Alain Barbetorte, notre premier duc, à celle des Vikings, à la lutte pour l'indépendance du pays... Dans ce département plane encore l'ombre de La Fontenelle, un territoire marqué par la résistance des Chouans de Boishardy, la révolte des Bonnets rouges et que la spiritualité de saint Yves et des vieux saints sauroctones enchanta. Une terre riche des hommes et des femmes qui, au fil des siècles, restent attachés à des traditions et à des valeurs ancestrales.

Les Côtes d'Armor - Une histoire entre terre et mer

Pays de Retz, région de "marches communes" entre la Bretagne et le Poitou. Des paysans libres vivent du produit d'une terre à laquelle ils sont liés par toutes les fibres de leur chair. Bientôt la Révolution leur apparaît pire que l'Ancien Régime. La révolte gronde. Les "Vendéens" sortent les armes et se soulèvent. Mais qui est ce mystérieux combattant masqué dont le revers de la veste s'orne d'une non moins étrange cocarde noire ? Pour qui lutte-t-il ? Et que viennent faire, dans ce théâtre de combats sans quartier de vieilles forces immémoriales, les puissances aquatiques qui de toute éternité et depuis les ancêtres Celtes, veillent sur le marais et sur les très anciens clans ?

Vendée Tome 1

Paradoxalement, chacun de nous connaît bien mieux les Dieux romains ou Égyptiens que ceux des Celtes, leurs légendes, leur mythologie ou leur histoire. Or la civilisation celtique, qui recouvrait l'ensemble de l'Europe de l'Ouest, est d'une richesse étonnante, avec ses fêtes religieuses qui, détournées, sont arrivées jusqu'à nous, comme la nuit des morts, Samain, devenu la Toussaint ou Halloween. Avec ses dieux et ses rites qui influencèrent profondément le christianisme, par l'intermédiaire des moines bretons et irlandais. Avec ses légendes, au premier rang desquelles celle du roi Arthur, de Merlin et de Brocéliande, mais aussi tout un monde de fées et de lutins, d'animaux fantastiques, de saints guérisseurs et de pierres magiques... Au XIXe siècle, la révolution romantique réhabilita largement cette culture, grâce à Chateaubriand ou Walter Scott, à laquelle la littérature fantastique - menée par Stevenson ou Bram Stocker - doit beaucoup. De la Grande à la Petite Bretagne, de l'Irlande à la Galicie, ce livre explore toutes les facettes d'une culture à (re)découvrir, au moment où - de Game of Throne à The Hobbit - le cinéma s'en inspire à son tour.

Encyclopédie de l'imaginaire celtique : un monde enchanté

Le fest-noz, festoù-noz au pluriel, est un phénomène unique ou à peu près, en Europe. Chaque samedi soir, il draine des milliers, parfois des dizaines de milliers ; de danseurs et de danseuses, de toutes générations et de toutes conditions sociales, vers des salles des fêtes où ils enchaînent an-dro, laridés six temps, ronds de saint Vincent etc. Jusqu'au bout de la nuit. Et au son d'une musique live. La danse a toujours, selon les observateurs et les " folkloristes" du XIXe siècle, été la passion des Bretons. Un art dans lequel ils excellent autant que dans la musique, dont il est évidemment inséparable. Pratiquée jadis aux noces, aux pardons, ou après les devezhioù bras, les grandes journées agricoles qui voyaient toute la communauté se rassembler pour la moisson, l'aire neuve, le battage du blé noir ou l'arrachage des pommes de terres, la danse accuse aujourd'hui une tendance à l'urbanisation et se plie aux rythmes de vie de ce début de XXIe siècle. Mais, du fest-noz mod kozh, (" ancien style "), au fest-noz mod nevez, (" nouveau style "), les Bretons perpétuent, contre vents et marées, les danses de leurs ancêtres. Et du petit fest-noz local à la " grand-messe ", hier de Kleg, aujourd'hui du cyber-festnoz ou de Yaouank à Rennes, le phénomène est toujours bien présent et traverse les époques malgré les inévitables " creux de vagues" et les effets de mode.

Les fêtes bretonnes et celtiques

Résumé

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