One night when there are guests and all the wine has gone, they put the can into the candlelight amongst the debris of their meal and play the guessing game. An aphrodisiac. perhaps; "Let's try . ." ' Bursting with delightfully subversive ingredients and mischievous behaviour, The Devil's Larder is a sensuous portrait - in sixty-four parts - of a community in which meals cater not for taste buds but to satisfy the imagination This is a book about our loves. and hates, our appetites and desires, rendered with startling beauty and devilish invention.

The Devil's Larder

Franklin et Margaret se rencontrent un soir de fin du monde splendide et sépulcral.A perte de vue, une Amérique revenue au Moyen Age: plus de gouvernement, ni d'usines ni de lois hormis celle du plus fort. Les pillards dévastent tout sur leur passage, les migrants ne rêvent que d'une chose, gagner la mer qu'ils appellent "le puissant fleuve à une seule rive" et quitter le continent pour une terre promise aux rues pavées d'or.Franklin est un colosse timide abandonné par son frère après qu'une blessure au genou a ralenti leur marche. Margaret, elle, atteinte d'une maladie contagieuse, a été mise en quarantaine par sa famille.Ensemble ils prennent la route, résolus à vivre comme les autres. Jusqu'à un certain point...Cauchemar futuriste, roman d'amour, De visu est aussi une allégorie de la joie.

De visu

'The intense story of the pre-historical moment when stone yielded to bronze .

The Gift of Stones

« Deux panaches de fumée à une période de l'année trop douce pour les feux de cheminée nous surprennent à l'aube. Notre terre est cernée de flammes. » En quelques jours, le pouvoir change de mains dans le village. Le bien et le mal s'inversent, au point de se confondre. Walter Thirsk doit déchiffrer les règles pour tenter de sauver sa peau. La violence fait rage, poussant l'âme humaine dans ses retranchements, engendrant une lutte sans fin entre l'instinct de survie, la morale et la quête du progrès. L'époque est incertaine et le village sans nom, mais cette histoire est universelle. Avec ce roman haletant au lyrisme puissant, Jim Crace s'impose comme l'un des grands écrivains de notre époque, dans la lignée de Cormac McCarthy ou J. M. Coetzee.

Moisson

From the Man Booker shortlisted author of Harvest. Alfred Busi, famed in his town for his music and songs, is mourning the recent death of his wife and quietly living out his days in the large villa he has always called home. Then one night Busi is attacked by a creature he disturbs as it raids the contents of his larder. Busi is convinced that what assaulted him was no animal, but a child, 'innocent and wild', and his words fan the flames of old rumour - of an ancient race of people living in the bosk surrounding the town - and new controversy: the town's paupers, the feral wastrels at its edges, must be dealt with. Once and for all. Lyrical and warm, intimate and epic, The Melody by Jim Crace tracks the few days that will see Busi and the town he loves altered irrevocably. This is a story about grief and ageing, about reputation and the loss of it, about love and music and the peculiar way myth seeps into real life. And it is a political novel too - a rallying cry to protect those we persecute.'The Melody takes its place among his finest [novels] .

The Melody

'Hard and actual in observation, clearly and richly imagined, remarkably original' Guardian A novel in seven stories, Continent is an exploration of the cultures, communities and natural life of an entirely imaginary realm. Built on rich seams of myth and metaphor, this new, seventh continent is strange, atmospheric and yet not wholly a mirage, for its inhabitants are disarmingly familiar, known to us through their loves, their hopes and their struggles to make sense of life. On its first publication over twenty years ago, this spellbinding book marked the arrival of one of the most inventive minds at work in modern fiction. 'Fuses folklore and political parable, moral fable and myth, into something rather original and also very modern' The Times 'Makes us see our own world more clearly .

Continent

Joseph et Celice trouvent la mort sur une plage. Leurs corps subissent les ravages des intempéries et du hasard. Avant de les rendre à la poussière, Jim Crace retrace l'existence de ce couple de scientifiques. Il remonte aux origines : la rencontre, la passion commune pour les fonds marins et sa faune. Puis l'usure du quotidien ; la tendresse qui subsiste, malgré tout.

L'étreinte du poisson

Ne dit-on pas qu'il faut manger pour vivre ? Chez Crace, on mange effectivement pour vivre, mais aussi pour avoir du plaisir, pour se souvenir, respecter les traditions, pour survivre. Parfois également on mange et on fait manger pour tuer, on nourrit pour humilier, on gave et on meurt.
Chacune de ces 64 courtes histoires, bouchées amères ou exquises réserve au lecteur une surprise : amertume des vanités humaines ou douceur de la grandeur d'âme.
Champignons dédaignés par le diable, plats dangereux dans d'improbables restaurants, panicaut aphrodisiaque, cabillaud séché géant s'enfuyant vers la mer au moment d'être mangé.
Qu'elle soit héroïne, toile de fond, ou prétexte, la nourriture fournit à Jim Crace un moyen d'explorer avec tendresse et cruauté les émotions et les aspirations humaines ; amour, sexualité, peur, désir de braver les interdits, solitude. En ce sens Le Garde-manger du diable est une splendide et très fine étude des comportements humains. Mais c'est aussi une oeuvre d'imagination proprement fabuleuse. Y fourmillent des plantes, des animaux, des citations bibliques ou non, tout droit sorties de l'imagination de l'auteur qui nous offre ainsi une vision du monde. Et non une photocopie.

The Devil's Larder

Résumé

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