Le lieutenant-colonel de la police de moscou, vladislav stassov, est bien ennuyé quand l'actrice olga dorenko est assassinée à coups de couteau, alors qu'elle pouvait remporter le grand prix d'interprétation féminine d'un festival de cinéma des bords de la mer noire.
 Il est obligé de répéter à la police locale le mensonge qu'il a un jour servi à son ex-épouse, l'insupportable critique rita mezentseva.  il sait que s'il ne fait pas cet aveu, le directeur du festival, igor litvak, sera sans doute accusé à tort.  mais les ennuis de stassov ne font que commencer : on n'aime guère les policiers de moscou dans les provinces russes ! surtout lorsque stassov se voit contraint d'enquêter en douce pour innocenter litvak, et que beaucoup trop de gens s'en aperçoivent.

La liste noire

«Depuis quelques mois, il avait cessé d'aimer la nuit. Maintenant, il en avait peur. Dès que le soir tombait, la conscience de son impuissance et de sa vulnérabilité s'imposait à lui avec plus de force.» Cet homme qui a peur est V.A. Soloviov, un invalide en fauteuil roulant. Linguiste distingué, il vit de son travail de traducteur. Il est aussi l'ancien amant de l'inspectrice de police Kamenskaïa, qui entend bien renouer avec lui. Non parce qu'elle l'aime encore, mais pour observer le quartier où il habite et où sévit un pédophile qui a déjà fait neuf victimes.

La confusion règne chez Soloviov, qui est flanqué d'un certain Andreï, un assistant que lui a trouvé sa maison d'édition. Tout occupée qu'elle soit à son enquête, Kamenskaïa sent que cet Andreï n'est pas clair...

Ainsi commence l'un des meilleurs romans de l'ex-inspectrice de la police de Moscou, Alexandra Marinina, véritable phénomène de l'édition russe.

Traduit par Galia Ackerman et Pierre Lorrain.

Le styliste

Anastasia Kamenskaia de la Brigade criminelle de Moscou doit surveiller l'acheminement de Pavel Saouliak, un prisonnier libéré d'un camp de travail, jusqu'à Moscou. Ce dernier a purgé volontairement une peine de deux ans pour échapper à de mystérieux poursuivants. Ancien collaborateur d'un gros ponte du KGB assassiné, il possède des renseignements qui en intéressent beaucoup.

Ne gênez pas le bourreau

Au siège de la criminelle de Moscou, l'inspectrice Anastasia Kamenskaïa est bien déprimée. Après lui avoir annoncé que la mafia a infiltré son service, Victor Gordeïev, son patron, lui confie une affaire qui piétine... Les journaux russes ont surnommé l'auteur, Alexandra Marinina la " tsarine du polar ". De son vrai nom Marina Alexeïeva, elle était, jusqu'en février 1998, haut fonctionnaire au ministère de l'intérieur. Criminologue de renom, elle a écrit une thèse sur " l'influence des anomalies psychiques dans la personnalité des criminels " et d'autres ouvrages du même genre. C'est au début des années 1990, qu'elle se met à écrire des romans policiers, des " détectives ", comme on dit là-bas. En cinq ans, elle en a déjà publié une vingtaine, qui sont tous des bestsellers en Russie. La plupart sont consacrés aux aventures de son héroïne, l'incorruptible Anastasia Kamenskaïa. Alexandra Marinina porte un regard intime sur le 38, rue Petrovka, siège de la milice de Moscou et dresse un portrait cuisant des mentalités et de la vie quotidienne dans la Russie actuelle. C'est sans doute cela qui intéressera le lecteur français, plus que l'intrigue, elle-même. L'écriture est limpide et plutôt minimaliste et offre tous les plaisirs d'un feuilleton.

Le Cauchemar

Cette fois, la célèbre Anastasia Kamenskaïa, de la Brigade criminelle de Moscou, est chargée d'une mission délicate : elle doit convoyer jusqu'à Moscou un prisonnier libéré d'un camp de travail.
L'homme, Pavel Saouliak, qui a purgé volontairement une peine de deux ans pour échapper à de mystérieux poursuivants, est un collaborateur d'un ancien gros ponte du KGB liquidé dans des circonstances mystérieuses, et possède des renseignements qui intéressent beaucoup de monde.
En pleine campagne présidentielle russe, ces informations qui sont un atout pour certains, sont un danger pour d'autres qui veule nt éliminer Saouliak. De retour à Moscou, Nastia se retrouve plongée dans une série de meurtres énigmatiques : les victimes sont de cruels meurtriers. Nastia ne tardera pas à découvrir que les deux affaires sont liées. Peu à peu, elle remontera la piste de
tueurs du KGB conditionnés par suggestion hypnotique... Comme toujours dans les romans de Marinina, les sinistres remontées du passé de l'URSS sont précisément décrites et violemment attaquées.

Ne genez pas le bourreau

Lykov, un garagiste de moscou, veut extorquer 10 000 dollars aux krasnikov en révélant à leur fils qu'il est un enfant adopté.
 Mal lui en prend : le père adoptif porte plainte et la police, poussée par le juge d'instruction olchanski, découvre vite que lykov tenait ses renseignements d'un certain galaktionov, un banquier escroc et cavaleur, qui a été empoisonné il y a peu. 
C'est alors que la célèbre anastasia kamenskaïa, qui enquêtait sur cette affaire, s'aperçoit que des dossiers d'instruction ont disparu, dont celui d'un meurtre effroyable commis par un chercheur de haut niveau dans un institut de recherches sur des ondes magnétiques visant à développer l'agressivité.

Une enquête étonnante sur la corruption dans les milieux de la science.

La mort pour la mort

Désormais, le présentateur Alexandre Oulanov en est sûr et certain : on cherche à le liquider sur ordre de sa propre femme. Au même moment, deux de ses collègues sont tués dans une voiture piégée. Coïncidence ? Nastia Kamenskaïa n'y croit pas. Chargée de l'enquête, elle plonge dans l'univers sombre et angoissant de la mafia russe, bien décidée à faire éclater la vérité.

Traduit du russe par Galia Ackerman et Pierre Lorrain.

Je suis mort hier

Anastasia Kamenskaïa retrouve son supérieur Viktor Gordeïev, dit Boule -de-Pain, qui, après lui avoir fait entendre qu'un de ses inspecteurs travaille pour la Mafia, la met aussitôt sur l'affaire Eremina que l'inspecteur Lartsev n'a pas résolue. Une jeune femme, Viktoria Eremina, a été retrouvée étranglée dans les bois de Saviolov. Elle se prostituait pour son patron et buvait beaucoup. Vika avait un amant, Boris Kartachov, un peintre qui s'est vite inquiété de sa disparition. Quelques jours auparavant Vika lui avait paru si bizarre qu'il avait consulté un psychiatre. Elle affirmait qu'o n lui avait volé un cauchemar qu'elle faisait depuis des années pour le diffuser à la radio. D'après le rapport d'enquête, le psychiatre aurait conclu à une psychose grave justifiant l'internement. Anastasia se lance dans son enquête sans trop y croire, alors qu'au même instant, dans un bar de Moscou, trois hommes jurent de l'empêcher d'arriver à ses fins : l'organisation ne désire pas qu'une inculpation soit prononcée avant la mi-janvier. Très vite il s'avère que Boris Kartachov a fait un faux témoignage et Anastasia comprend que l'enquête menée par Lartsev a été bâclée. Incrédule, elle se demande si ce n'est pas lui l'inspecteur véreux dont lui parlait Boule -de-Pain. Son affaire étant loin d'être résolue, Anastasia part pour Rome et c'est là que, brusquement, tout se gâte pour elle...

La liste noire

Résumé

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