Prier 15 jours avec... : Marguerite-Marie

Depuis son abolition, les historiens se sont partagés pour dénoncer les crimes de l'Inquisition ou justifier son action.
La question n'est plus là aujourd'hui : sous Jean-Paul II, l'Église a fait repentance des crimes et abus commis par l'Inquisition au nom du Christ. Les historiens ont ainsi pu se consacrer à l'analyse d'une institution dont le poids fut considérable dans l'histoire de l'Espagne.
Les travaux publiés, notamment en Espagne depuis le rétablissement de la démocratie, permettent d'envisager une synthèse objective d'un des organismes qui fut le plus décrié au monde.

L'Inquisition en Espagne ; 1215-1834

On ne saurait confondre Lumières et Ilustracion.
Les Lumières, disait Kant, c'est oser se servir de son propre entendement. La Ilustracion aussi. Mais il lui est interdit d'aborder l'essentiel : Dieu et la religion, le roi et la monarchie. On distinguera donc ces deux concepts : d'une part, la Ilustracion, impulsée et contrôlée par des gouvernants soucieux de développer l'économie du royaume et beaucoup moins philosophes ou philanthropes que l'on a coutume de le dire.
D'autre part, les Lumières, qui n'eurent pas droit de cité en Espagne, et furent condamnées à la clandestinité ou à l'exil C'est pourquoi dans cet ouvrage l'auteur, après avoir présenté quels furent les circonstances politiques dans lesquelles apparurent Ilustracion et Lumières en Espagne, les obstacles qu'elles trouvèrent sur leur chemin et les vecteurs qui permirent leur diffusion, établit un bilan sans complaisance de l'utopie d'une Ilustracion qui, face à la Révolution française, fait cause commune avec les ennemis des Lumières.

Lumières et illustracion en espagne

Napoléon avait promis aux Espagnols de régénérer leur vieille monarchie. Leur réponse fut la série d'insurrections qui, à partir du 2 mai 1808, éclata dans tout le pays. La situation était-elle pour autant révolutionnaire ? La Junte Suprême de Séville le nia avec force. Plus finement (ou plus naïvement) un député aux Cortès de Cadix déclarera plus tard qu'en Espagne il n'y avait pas de révolution, mais qu'on « les avait révolutionnés ». Afin de répondre à cette épineuse question nous avons fait appel à d'éminents spécialistes de la Guerre d'Indépendance anglais, espagnols, italiens, portugais et français. Cet ouvrage, qui se situe dans une perspective résolument comparatiste, examine, à partir des deux concepts de « régénération » (terme constamment utilisé par Napoléon pour justifier son intervention en Espagne) et de « révolution » (vocable utilisé à l'époque par les Espagnols et les premiers historiens du conflit), la conception et réception des projets de réformes que voulut imposer l'Empereur ainsi que le rôle joué par les médias dans cette extraordinaire guerre de propagande.

L´Espagne en 1808

Bien plus qu'une biographie de sainte Marguerite-Marie Alacoque (1647 - 1690), la voyante de Paray-le-Monial, ce petit ouvrage est une véritable plongée dans sa spiritualité d'amour et de confiance. Il rassemble les plus belles paroles que le Christ lui a adressées, lui dévoilant "ce Coeur qui a tant aimé les hommes", "toujours ouvert", qui se laisse toucher par nos pauvres réponses. On y découvre en sainte Marguerite-Marie une prophète de la Miséricorde pour notre temps.

Saint Marguerite-Marie - Une vie eucharistique

20 novembre 1975 : Franco meurt. Personne ne se risque à parier sur une évolution démocratique accélérée de l'Espagne. Vingt-cinq ans après, ce pays, définitivement converti au libéralisme politique, tient son rang dans la Communauté européenne et recouvre une place importante dans les relations internationales. La clé de cette mue ? Une formidable impulsion politique, économique et culturelle venue des régions. Au point que, du fait d'une décentralisation unique en Europe, le pays paraît être fractionné entre des communautés aux niveaux d'autonomie très divers, et la cohésion nationale parfois menacée.L'Espagne peut-elle être dès lors un modèle pour l'Europe des régions ?

L'Espagne : un modèle pour l'Europe des régions ?

Napoléon avait promis aux Espagnols de régénérer leur vieille monarchie. Leur réponse fut la série d'insurrections qui, à partir du 2 mai 1808, éclata dans tout le pays. La situation était-elle pour autant révolutionnaire ? La Junte Suprême de Séville le nia avec force. Plus finement (ou plus naïvement) un ,député aux Cortès de Cadix déclarera plus tard qu'en Espagne il n'y avait pas de révolution, mais qu'on les avait révolutionnés ". Afin de répondre à cette épineuse question nous avons fait appel à d'éminents spécialistes de la Guerre d'Indépendance anglais, espagnols, italiens, portugais et français. Cet ouvrage, qui se situe dans une perspective résolument comparatiste, examine, à partir des deux concepts de " régénération " (terme constamment utilisé par Napoléon pour justifier son intervention en Espagne) et de " révolution " (vocable utilisé à l'époque par les Espagnols et les premiers historiens du conflit), la conception et réception des projets de réformes que voulut imposer l'Empereur ainsi que le rôle joué par les médias dans cette extraordinaire guerre de propagande.

L'Espagne en 1808 : régénération ou révolution ?

Annie...Versaire est une pièce basée sur les rapports de couple où se mélangent humour et divertissement. Trois soeurs éloignées de la fratrie, à la recherche de leurs racines, décident de se retrouver à l'occasion de l'anniversaire de l'aînée, Annie, qui tarde à arriver. Se créent alors des situations hilarantes, où chacun se découvre au fur et à mesure de l'intrigue.

Annie...Versaire

Annie…Versaire est une pièce basée sur les rapports de couple où se mélangent humour et divertissement. Trois surs éloignées de la fratrie, à la recherche de leurs racines, décident de se retrouver à l'occasion de l'anniversaire de l'aînée, Annie, qui tarde à arriver. Se créent alors des situations hilarantes, où chacun se découvre au fur et à mesure de l'intrigue.

Prier 15 jours avec... : Marguerite-Marie

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