"Tanemakuhito" - La première revue de littérature prolétarienne japonaise

Depuis les premières chroniques et l'anthologie poétique du Recueil des dix mille feuilles, au VIIIe siècle, le Japon a élaboré une tradition littéraire profondément originale, aux genres et aux formes extrêmement variés, qui a donné à la littérature mondiale quelques-uns de ses plus grands chefs-d'ouvre : Roman du Genji, Dit des Heiké, poésie haikai de Matsuo Bashô. Renouvelée au contact de l'Occident à la fin du XIXe siècle, la littérature japonaise s'épanouit de nouveau tout au long du XXe siècle, de Natsume Sôseki à Murakami Haruki. Aujourd'hui encore d'une grande vitalité, elle s'interroge et cherche de nouvelles voies pour offrir une vision contrastée, passionnante et souvent décapante, de la société japonaise.

La littérature japonaise

Anthologie de nouvelles Japonaises, Tome III (1955-1970)

Ce livre retrace les étapes qui ont conduit l'Occident à la découverte du théâtre japonais. Appuyé sur de nombreux témoignages, depuis ceux des voyageurs du XVIe siècle au Japon jusqu'aux chroniques des premières tournées européennes de troupes japonaises au début du XXe siècle, il rapporte, par-delà la fascination pour l'exotisme, les mécompréhensions et les jugements hâtifs, l'apprentissage d'un art majeur. Le théâtre japonais influença les avant-gardes théâtrales européennes du XXe siècle. d'Artaud à Stanislavski ou Yeats et bien d'autres, chacun pensa y trouver une forme expressive puissante, capable de renverser les arts scéniques du « théâtre bourgeois » corseté dans ses conventions. Associé à la redécouverte du théâtre antique ou du théâtre élisabéthain, il présentait l'avantage d'être encore vivant et il proposait à l'homme de théâtre occidental non pas un savoir livresque mais l'éblouissement d'un regard.

L'Éblouissement d'un regard

15 août 1945: le Japon capitule.C'est le début d'une intense production littéraire où se bousculent tous les écrivains dans une impressionnante renaissance de la littérature: des auteurs reconnus d'avant-guerre publient aux côtés d'une nouvelle génération d'écrivains. De cette période si fertile depuis 1960, les auteurs retenus dans ce second volume incarnent tous un aspect important de cette littérature.Ils sont tous, aujourd'hui, les grands maîtres de la littérature japonaise.MISHIMA Yukio: Les ailesDAZAI Osamu: Les billets de banqueNAGAI Tatsuo: Le ventISHIKAWA Jun: La légende doréeSHIMAKI Kensaku: La grenouille rousseKAWABATA Yasunari: La grenade - Barques en bambouNOMA Hiroshi: Les deux corpsHAYASHI Fumiko: La ville basseHIRABAYASHI Taiko: Soldats chinois aveuglesSAKAGUCHI Ango: La guerre et une femmeSATA Ineko: L'achat d'un pantalonSHIGA Naoya: Lune griseOOKA Shôhei: You are heavyIBUSE Masuji: Les cheveux blancs

Les Ailes, la Grenade, les Cheveux blancs et douze autres récits (1945-1960) : Nouvelles japonaises Tome 2

Le kabuki devant la modernité (1870-1930)

Ce livre retrace les étapes qui ont conduit l’occident à la découverte du théâtre japonais. Appuyé sur de nombreux témoignages, depuis ceux des voyageurs du XVIe siècle au Japon jusqu’aux chroniques des premières tournées européennes de troupes japonaises au début du XXe siècle, il rapporte, par-delà la fascination pour l’exotisme, les mécompréhensions et les jugements hâtifs, l’apprentissage d’un art majeur.Le théâtre japonais influença les avant-gardes théâtrales européennes du XXe siècle. d’Artaud à Stanislavski ou Yeats et bien d’autres, chacun pensa y trouver une forme expressive puissante, capable de renverser les arts scéniques du « théâtre bourgeois » corseté dans ses conventions. associé à la redécouverte du théâtre antique ou du théâtre élisabéthain, il présentait l’avantage d’être encore vivant et il proposait à l’homme de théâtre occidental non pas un savoir livresque mais l’éblouissement d’un regard.

L'éblouissement d'un regard. Découverte et réception occidentales du théâtre japonais de la fin du Moyen Age à la Seconde Guerre Mondiale

Depuis les premières chroniques et l'anthologie poétique du Recueil des dix mille feuilles, au ville siècle, le Japon a élaboré une tradition littéraire profondément originale, aux genres et aux formes extrêmement variés, qui a donné à la littérature mondiale quelques-uns de ses plus grands chefs-d'œuvre : Roman du Genil, Dit des Heiké, poésie haikai de Matsuo Bashô. Renouvelée au contact de l'Occident à la fin du XIXe siècle, la littérature japonaise s'épanouit à nouveau tout au long du XXe siècle, de Natsume Sôseki à Murakami Ilaruki. Aujourd'hui encore d'une grande vitalité, elle s'interroge et cherche de nouvelles voies pour offrir une vision contrastée, passionnante et souvent décapante, de la société japonaise.

Depuis les premières chroniques et l’anthologie poétique du Recueil des dix mille feuilles, au VIIIe siècle, le Japon a élaboré une tradition littéraire profondément originale, aux genres et aux formes extrêmement variés, qui a donné à la littérature mondiale quelques-uns de ses plus grands chefs-d’œuvre : Roman du Genji, Dit des Heiké, poésie haikai de Matsuo Bashô.Renouvelée au contact de l’Occident à la fin du XIXe siècle, la littérature japonaise s’épanouit de nouveau tout au long du XXe siècle, de Natsume Sôseki à Murakami Haruki. Aujourd’hui encore d’une grande vitalité, elle s’interroge et cherche de nouvelles voies pour offrir une vision contrastée, passionnante et souvent décapante, de la société japonaise.

"Tanemakuhito" - La première revue de littérature prolétarienne japonaise

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