Michael Light - Lake Lahontan / Lake Bonn

Verdun, Notre-Dame de Lorette, les Eparges, le Chemin des Dames... autant de noms qui évoquent les stations du calvaire des soldats de la Grande Guerre. De l'Artois à l'Alsace, partout affleurent dans le paysage les cicatrices insoupçonnées et les vestiges des terribles combats qui se déroulèrent pendant quatre ans sur la ligne de front. Ils portent témoignage de la mémoire héroïque et tragique des combattants de la guerre de 14-18, dont la présence hante ces hauts lieux.

Hauts lieux de la Grande Guerre

Turner's modern world

Smith House II

Ces six contes sont aussi anciens que le Japon. Puisés dans le folklore adaptés de recueils de légendes anciennes et de contes du Moyen Âge, ils se donnent à lire comme un trésor de récits dans lesquels bien souvent le fantastique le dispute au merveilleux. Monde peuplé de monstres et de géants, de spectres terrifiants et de fantômes bienveillants, dans lequel on peut entendre les voix du rêve et du surnaturel: parfois les enfants naissent dans un coquillage ou dans une pêche, souvent les objets magiques font des prodiges, et les princesses sont délivrées comme dans nos contes d'enfants, même s'il leur arrive d'avoir des caprices inexplicables.

La princesse qui aimait les chenilles

Le devoir de l'orateur est de pouvoir parler sur toutes les questions de l'ordre civil qui sont réglées par les coutumes ou par les lois, en se conciliant, autant qu'il est possible, l'assentiment des auditeurs.
Il y a trois genres de causes que l'orateur doit embrasser, le démonstratif, le délibératif et le judiciaire. Le démonstratif est consacré à louer ou à blâmer une personne déterminée ; le délibératif, qui suppose une consultation, a pour but de conseiller ou de dissuader ; le judiciaire, qui repose sur une controverse, renferme l'accusation ou l'attaque, et la défense. Nous allons indiquer à présent les conditions indispensables pour être orateur.
Nous montrerons ensuite comment il faut traiter ces trois genres de causes.

Rhétorique à Herenius

Faut-il remettre en cause la mixité à l'école ? Certains l'affirment, car, après être apparue comme un progrès vers l'égalité républicaine, la cohabitation des deux sexes a entraîné des difficultés imprévues : les filles réussissent mieux que les garçons mais continuent à s'orienter vers des filières dévalorisées, les violences sexistes se multiplient et la féminisation du corps enseignant accentue certains effets de cette mixité encore insuffisamment pensée. Pour le Conseil national des programmes, il n'est pas question de renoncer. Les spécialistes qu'il a rassemblés proposent des pistes nouvelles pour que la mixité accomplisse ses promesses, au profit de tous, filles et garçons, enseignants et parents.

Quelle mixité pour l'école ?

Best of Austria

Un agenda pour passer une super année avec Badtz Maru !

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