The Invention of Solitude

Constat d'accident et autres textes

En parallèle avec son travail de romancier, Patti Auster n'a jamais cessé d'interroger passionnément quelques grandes œuvres ; Kafka, Hamsun, Larbaud, Celan, Rushdie appartiennent ainsi à son panthéon littéraire. Différentes études publiées dans des journaux - le Harper's, le Saturday Review - et recueillies ici marquent les étapes de cette réflexion. Le Carnet rouge prend place dans un autre registre, tout près de l'invention romanesque : l'auteur de la déjà classique Trilogie new-yorkaise y a consigné quelques coïncidences étranges - de celles, justement, qu'on hésite à attribuer au hasard. Est-il vraiment fortuit qu'une inconnue, dans une gare, vous offre spontanément le livre rarissime cherché durant des années ? Ou que deux nouvelles amies s'aperçoivent, à Tokyo, que leurs sœurs respectives habitent sur le même palier à New York ? Les passionnés de l'univers austérien trouveront ici quelques clefs d'accès indispensables à sa pensée et à son imaginaire.

Le Carnet rouge / L'Art de la faim

One man's obsession with the mysterious life of a silent film star takes him on a journey into a shadow-world of lies, illusions, and unexpected love. After losing his wife and young sons in a plane crash, Vermont professor David Zimmer spends his waking hours mired in grief. Then, watching television one night, he stumbles upon a lost film by silent comedian Hector Mann, and remembers how to laugh . . . 

Mann was a comic genius, in trademark white suit and fluttering black moustache. But one morning in 1929 he walked out of his house and was never heard from again. Zimmer's obsession with Mann drives him to publish a study of his work; whereupon he receives a letter postmarked New Mexico, supposedly written by Mann's wife, and inviting him to visit the great Mann himself. Can Hector Mann be alive? Zimmer cannot decide - until a strange woman appears on his doorstep and makes the decision for him, changing his life forever.

Written with breath-taking urgency and precision, this stunning novel plunges the reader into a universe in which the comic and the tragic, the real and the imagined, the violent and the tender dissolve into one another

THE BOOK OF ILLUSIONS

Fanshawe a disparu, laissant derrière lui, à New York, une femme (Sophie), un fils (Ben) et une série de manuscrits dont il veut que le destin soit confié à la discrétion d'un ancien condisciple (le narrateur). Une immense aventure commence sitôt que les pions sont ainsi disposés sur l'échiquier : le narrateur va conduire l'oeuvre de Fanshawe au succès, épouser Sophie, adopter Ben, et... Mais il ne faut pas en dire davantage, la part du mystère n'est pas la moindre chez Paul Auster. Vers la fin de la Chambre dérobée, parlant de Cité de verre, de Revenants et de la Trilogie new-yorkaise qui ainsi s'achève, Paul Auster écrit que les trois récits sont une seule et même histoire considérée à des stades différents de la conscience qu'il a pu en avoir. Et d'ajouter : "il y a longtemps que je me démène pour dire adieu à quelque chose..." Or il est vrai que la Chambre dérobée est un somptueux roman de la dépossession, où l'amour seul oppose sa résistance à la déchirure.

Trilogie new-yorkaise Tome 3 - Occasion

De ce “pays des choses dernières” où elle tente de survivre au froid et au désespoir, Anna Blume – venue chercher son frère disparu – écrit une longue lettre dont on ne sait si elle trouvera jamais son destinataire. Un roman sur le rapport au monde et au langage.

Au pays des choses dernières

Le premier livre de Paul Auster, «L'Invention de la solitude», est aussi l'ouvrage fondateur de son oeuvre, son art poétique. Une manière pour lui de montrer, par-delà la mort du père et à travers la recherche de l'identité, que le langage "est notre manière d'exister dans l'univers. " Traduction de Françoise Kestsman et Christine Le Boeuf.

L'invention de la solitude

Beginning with the short fragments of "Spokes" and continuing on through the more ample meditations in "Facing the Music", this selection of Paul Auster's poetry reveals a voice that has been consistently faithful to its visionary impulses.

Disparitions

Chosen by Paul Auster out of 4000 stories submitted to his radio programme on National Public Radio, these 180 stories provide an illuminating portrait of America in the 20th century. The selection requirement of the stories was that they should be true and not previously published.

The Invention of Solitude

Résumé

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