Ou comment,  à  12 ans,  on ressent la révolution. Traduit en anglais.

Le peuple a crié

Ces chroniques ont été écrites "dans le feu de l'action". François-G. Bussac ne pouvait rester insensible au séisme politique, culturel, sociétal déclenché en décembre 2010 par le suicide du jeune s Mohamed Bouazizi. Il connaissait la Tunisie depuis toujours, par les récits de sa mère lui narrant la vie de son père, le Jardinier de Metlaoui, héros de son livre éponyme, édité en 2009. Il y avait séjourné de d, 2004 à2008 en qualité de Directeur des médiathèques ' françaises. Il y est résident depuis 2009. Il fallait donc que, de ces événements extraordinaires, il en fit chronique, avec cet équilibre délicat qu'imposent l'actualité des faits ressentis et la distance de l'écriture.

La "révolution" tunisienne - Chroniques 2011-2014

En suivant d'un regard amusé les aventures imaginées de ses voisins, le Capitaine, narrateur à la plume alerte, nous promène, chemin faisant dans cet antique et savant quartier du Ve arrondissement où fleurit le Jardin des Plantes. À la poursuite de mystérieuses petites Japonaises.
Ces nouvelles sont illustrées par Nabil Bouzouaya
François G. Bussac, est familier de la diplomatie culturelle. Auteur de Le Jardinier de Metlaoui, de Les Garçons sensibles.

NOUVELLES DE LA RUE LINNE

Les huit nouvelles de ce recueil mettent en scène des histoires d'amour. Le petit garçon, fasciné par la vie des Saints ; l'ouvrier qui aimait tellement admirer son corps ; Abdallah qui dansait la vie ; David écartelé entre transgression et respectabilité ; ce prince magnifique venu du sud, torturé par les siens - tous n'aspirent qu'à un espoir : aimer en paix. François G. Bussac, familier de la diplomatie culturelle, lecteur, à haute voix, a récemment publié Le Jardinier de Metlaoui, Les Nouvelles de la rue Linné.

GARÇONS SENSIBLES (LES)

Aïcha, jolie petite souris aux moustaches en alerte, un ruban rouge à l’oreille gauche et la langue bien pendue, n’obéit à personne, sauf à son papa et court très très vite ! L’action se passe à Metlaoui, au sud tunisien, peu après l’indépendance et la promulgation du Code de la famille, il y a environ cinquante ans.

La petite souris aux trois maris

François-G Bussac ne cesse de renouer : avec le passé, les racines, les lieux des enfances, et la source intérieure. Avec son écriture nuancée, il y a une grande présence des signes : le pensées, la grâce du don, les objets qui demeurent, la pérennité des choses et du c?ur. Chacune des figures tutélaires y trouver sa place : un frère après l'errance de la douleur, des oncles, un grand-père lumineux, une tante, les vieilles cousines, un village, une mère aimée. Ce texte pour dire l'héritage d'une mère, cet amour qui ne cesse d'être et de vivre, au-delà du visible.

Plus jamais là

L'auteur ne pouvait rester insensible au séisme politique, culturel, sociétal déclenché en 2010 par le suicide du jeune Mohamed Bouazizi. Il connaissait la Tunisie depuis toujours, par les récits de sa mère, notamment. Il y avait séjourné de 2004 à 2008 en qualité de Directeur des médiathèques françaises. Il y est résident depuis 2009. Il fallait donc que, de ces événements extraordinaires, il en fît chronique, avec cet équilibre délicat qu'imposent l'actualité des faits ressentis et la distance de l'écriture.

"Les écrits les plus déterminants sont peut-être autres, mais ce qui compte, c'est le pouls de la société et de la vie quotidienne des hommes et des femmes, des jeunes et des ainés, des tunisiens et des étrangers qui ont vécu ces évènements. Nous espérons que ces chroniques, originales, alertes et documentées, y répondent." 
François-G Bussac est né à Londres en 1946, nouvelliste, familier de la diplomatie culturelle, lecteur à haute voix, serviteur de la langue française, vit à La Goulette où il contemple les nuages, les merveilleux nuages et se consacre à l'écriture.

Vers une Tunisie libre ? - Chroniques du sémaphore T2, Hiver 2011 - 2012

L’action se passe il y a plus de cent ans, bien avant la première guerre mondiale. Yassine, joyeux petit garçon, fait tout ce que lui demande son papa, le mineur Abderazzak. Il a un regard malin et adore faire des cabrioles ! La Montagne est pleine d’une terre précieuse, le phosphate, les mineurs y travaillent jour et nuit. Cette montagne longe une petite rivière, la Seldja, ainsi que le désert, au sud de la Tunisie. Elle n’a pas de nom et jouxte une petite ville nouvelle, Metlaoui. A la fin de cette histoire, la Montagne aura trouvé son nom.

Le peuple a crié

Résumé

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