Écrites par Sartre aussitôt que la seconde guerre mondiale s'est terminée, ces réflexions considèrent le problème de l'antisémitisme. Présentation par Arlette Elkaïm-Sartre.

Reflexions Sur La Question Juive

Critique de la Raison dialectique Tome 2: l'intelligibilité de l'histoire

The Flies (French: Les Mouches) is a play by Jean-Paul Sartre, written in 1943. It is an adaptation of the Electra myth, previously used by the Greek playwrights Sophocles, Aeschylus and Euripides. The play recounts the story of Orestes and his sister Electra in their quest to avenge the death of their father Agamemnon, king of Argos, by killing their mother Clytemnestra and her husband Aegisthus, who had deposed and killed him.Sartre incorporates an existentialist theme into the play, having Electra and Orestes engaged in a battle with Zeus and his Furies, who are the gods of Argos and the centerpiece for self-abnegating religious rituals. This results in fear and a lack of autonomy for Zeus's worshippers, who live in constant shame of their humanity.

Les Mouches

«L'existentialisme n'est pas autre chose qu'un effort pour tirer toutes les conséquences d'une position athée cohérente. Elle ne cherche pas du tout à plonger l'homme dans le désespoir. Mais si l'on appelle, comme les chrétiens, désespoir toute attitude d'incroyance, elle part du désespoir originel. L'existentialisme n'est pas tellement un athéisme au sens où il s'épuiserait à démontrer que Dieu n'existe pas. Il déclare plutôt : même si Dieu existait, ça ne changerait rien ; voilà notre point de vue. Non pas que nous croyions que Dieu existe, mais nous pensons que le problème n'est pas celui de son existence ; il faut que l'homme se retrouve lui-même et se persuade que rien ne peut le sauver de lui-même, fût-ce une preuve valable de l'existence de Dieu. En ce sens, l'existentialisme est un optimisme, une doctrine d'action.»

L'Existentialisme est un humanisme

La guerre d'Algérie, qui débute en novembre 1954, amène Sartre à réfléchir sur la colonisation, la décolonisation, le terrorisme, la torture et la censure. Au cours des années suivantes, il continue à s'interroger sur le communisme, sans pour autant délaisser les arts. Il publie une préface à un ouvrage de Cartier-Bresson, " D'une Chine à l'autre ", un article pour la revue de la galerie Maeght sur la peinture de Giacometti, un premier fragment d'une importante biographie existentielle consacrée au Tintoret. Enfin, en 1958, avec la préface au Traître, l'auteur de La nausée trace un portrait en miroir de son ami et collaborateur des Temps Modernes, André Gorz.

Situations - Tome V : Mars 1954 - Avril 1958

The action takes place in Illyria, imaginary country in Central Europe. Despite its bourgeois origins, Hugo joined a Communist Party that tries to fight against Nazism, and to gain recognition and trust of his peers, must accept a delicate mission: the assassination of Hoederer, a leader of the party accused collusion with the bourgeoisie.He became his secretary, and gradually discovers a friendly man who took him under his wing. Hoederer justified his action: the result is more important than the means to achieve it. Hugo still kills, but because he discovered entwined with his wife. After two years in prison, Hugo says "unrecoverable" against his comrades, who have since made ​​Hoederer a hero and adopted its policy.L'action se situe en Illyrie, pays imaginaire d'Europe centrale. En dépit de ses origines bourgeoises, Hugo intègre un parti communiste qui tente de lutter contre le nazisme, et pour gagner la reconnaissance et la confiance de ses pairs, doit accepter une mission délicate : l'assassinat d'Hoederer, un dirigeant du parti accusé de collusion avec la bourgeoisie. Il devient son secrétaire, et découvre peu à peu un homme amical qui le prend sous son aile. Hoederer justifie son action : le résultat compte plus que les moyens pour y parvenir. Hugo le tue néanmoins, mais parce qu'il le découvre enlacé avec sa femme. Après deux ans en prison, Hugo se déclare « non récupérable » face à ses camarades, qui ont depuis fait d'Hoederer un héros et adopté sa ligne de conduite.

Les Mains sales: Pièce en sept tanleaux

« L'usine, je savais depuis l'enfance qu'un jour elle me prendrait » : ainsi s'ouvre le témoignage de Charly sur l'univers des 3×8, ces ouvriers qui, par rotation de postes, assurent vingt-quatre heures sur vingt-quatre certaines productions. Pourtant, Charly dans son enfance avait rêvé de voyages, d'aventures, d'îles inconnues - d'amour. Il en avait rêvé et toujours il rêve, attaché à sa machine ; seulement, au long des jours et des nuits d'usine, ses rêves sont devenus violents. Avec les lambeaux de son cerveau, s'en vont la tendresse et l'appétit de vivre. Jamais peut-être, l'usine à broyer l'humain n'avait été dite avec pareille force. Cette histoire - qui est aussi et peut-être surtout celle d'un amour, celui de Charly et de Khemsa - est absolument vraie. Et c'est bien Charly qui s'est appliqué à la raconter, sans la prothèse d'un magnétophone et d'un « rewriter ».

La nuit des machines

La Transcendance de l'Ego signe à la fois l'entrée de Sartre en phénoménologie et la première mise en cause de l'idée de sujet au sein des philosophies du Cogito. En montrant que l'Ego se constitue comme une illusion nécessaire, Sartre libère un champ transcendantal déshumanisé, allégé du moi et du psychique, polarisé par ses entours. C'est pourquoi son article sur l'intentionnalité précède cette réédition critique de la Transcendance : ce texte ne prépare pas L'Etre et le Néant mais scelle la redéfinition sartrienne du moi, du monde et de la conscience, puisée dans une lecture rigoureuse de Husserl mais aussi dirigée contre lui. Le troisième texte de ce volume, une conférence devenue presque introuvable où se résume une part décisive de L'Être et le Néant, approfondit la visée anti-humaniste de cette théorie inédite du Cogito, qui jette la conscience dans le monde sans jamais les réconcilier.

La transcendance de l'Ego et autres textes phénoménologiques

Les lendemains d'une cuite et d'une rixe, tel est le sujet de la nouvelle qui ouvre ce roman. L'auteur de la nouvelle, Georges, vingt-sept ans, est d'origine provinciale et modeste et lecteur dans une maison d'édition parisienne. Le milieu dans lequel il évolue est constitué de gens de son âge, déclassés pour la plupart, en compagnie desquels il passe de longues soirées au café, et de deux femmes : Danielle, une amie, qu'il a connue à son arrivée à Paris, et Claire, mariée et mère d'un petit garçon, avec laquelle il entretient une liaison compliquée et maussade. Georges se laisse aller au gré de l'événement quotidien, fasciné par les choses environnantes et « par son propre vide qui est aussi sa propre épaisseur ». Un seul projet : écrire. Un roman, des nouvelles, une histoire, des histoires... Le moindre geste, la moindre péripétie sert de prétexte à un souvenir, à un projet d'écriture, à la résurgence d'images ou de fantasmes. Plusieurs personnages - Marcel, Robert, Lucien, Irène, Nicole - qu'il crée plus ou moins à son image ou à celle de gens qu'il fréquente, tissent leurs toiles d'araignée, mais chacun se prend dans les fils de l'autre : Georges ne sait jamais trop bien où il en est, ni avec ses personnages et ses histoires, ni avec lui-même. Avec angoisse, parfois avec humour, André Puig entraîne le lecteur dans les méandres de ce désordre permanent - fait d'autocritique et de complaisance, de mauvaise foi et d'authenticité - que Georges tente de maîtriser.

Reflexions Sur La Question Juive

Résumé

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Critiques

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