Empirisme, néolibéralisme, cognitivisme - Tome 3, L'homme-machine en psychologie - Les domaines de la psychologie objective

Publié par L'Harmattan, le 28 juin 2022

354 pages

Résumé

Le néolibéralisme, lancé dans les années 1980, est une idéologie dangereuse aussi bien pour la dynamique de l'économie que pour la vitalité de la culture mondiale. Il s'agit d'un antihumanisme mortifère. Il importe de comprendre que le néolibéralisme est l'une des trois têtes d'une hydre apparue déjà dès les années 1700 avec la philosophie empiriste d'abord anglaise, plus tard nord-américaine, mais également avec l'économie classique puis moderne et contemporaine, en cousinage aussi avec la psychologie associationniste, puis béhavioriste et enfin cognitiviste. C'est le même univers. Les 4 tomes peuvent être lus en connexion ou de manière indépendante. Tome 3 : Le cognitivisme comme concept interdomanial est un concept indécis, apparu dans les années 1960, en même temps que les débuts du néolibéralisme économique. Le cognitivisme en psychologie au sens plus précis prétend à l'hégémonie sur le morcellement des disciplines universitaires : psychologies cognitive proprement dite, développementale, sociale, enfin « clinique ». Il a simplifié abusivement le classique plan des études psychologiques, et trouve les plus grandes difficultés à rendre compte des concepts les plus importants de la psychologie générale : conscience, représentation, et enfin pensée réduite tendanciellement au langage.

L'histoire de la Bible et la philosophie - Jérusalem, Athènes, Rome

Thomas Piketty, la mécanique des inégalités en France

Le débat sur la psychanalyse dans la crise en France - Tome 1, Onfray, Janet, Reich, Sartre, Politzer, etc.

Critique de la raison philosophique - Tome 5, La preuve par le discours médiatique

Critique de la raison philosophique - Tome 4, La preuve par la psychologie

Freud, Wallon, Lacan - L'Enfant au miroir

Anti-nélibéralisme Tome 2 ; essai sur Emmanuel Todd, Vincent Jauvert, Morin, François

Trajectoires ; autobiographie intellectuelle

Critiques