Les Sociétés Secrètes

Thomas de Quincey

Publié par Gallimard, le 15 février 1994

144 pages

Résumé

Publié en 1847 et traduit en français pour la première fois, l'essai sur les sociétés secrètes reprend un thème cher à Thomas De Quincey : celui d'un savoir caché, d'un mystère se transmettant à travers les siècles, de génération en génération, évident et pourtant invisible. À la manière des Confessions d'un mangeur d'opium et De l'assassinat considéré comme un des beaux-arts, l'approche de ce mystère se fait de digressions en apartés, de considérations annexes en divagations sinueuses : considérant aussi bien les initiés d'Éleusis que les francs-maçons, De Quincey s'attarde esentiellement sur la secte antique des esséniens, prétexte à une interrogation sur le secret, la traîtrise, la fidélité à soi-même, la falsification et le soupçon. Fidèle à sa démarche, et à quelques-uns de ses préjugés les mieux arrêtés, De Quincey poursuit ici sa quête d'une origine impossible et mythique, lieu d'une vérité ultime dont on sait qu'elle sera pour toujours insaisissable.

La roue du malheur

De l'assassinat considéré comme un des beaux-arts

Les sociétés secrètes

Sur le heurt à la porte dans Macbeth

Le vengeur

Les derniers jours d’Emmanuel Kant (suivi de Portrait d’Emmanuel Kant par J-F. Michaud) [édition intégrale revue et mise à jour]

Confessions of an English Opium-Eater

Confessions of an english opium-eater ; and other writings

Critiques