L'abbé Cénabre est en proie au doute. Il ne reste fidèle que par orgueil à sa foi d'antan. Il s'en ouvre à l'abbé Chevance, humble curé de village. Cet aveu sonnera pour Cénabre le glas de sa rencontre avec Satan et le début d'une aventure spirituelle aussi déchirante que tragique.

L'imposture

Quasi una vita di Gesù è un saggio che ricostruisce, partendo dai testi autografi di Bernanos, un progetto da lui a lungo pensato, ma che si decise a scrivere solo nei suoi ultimi mesi di vita, quando ormai era gravemente ammalato. E infatti Bernanos morì prima di poter realizzare la sua Vita di Gesù e di essa abbiamo soltanto il frammento iniziale, che viene proposto in due pagine a stampa subito dopo l'Introduzione del curatore. Poche righe che però esprimono chiaramente il suo desiderio di scrivere una vita di Gesù per le persone semplici e umili: « Vorrei parlare di Gesù Cristo molto semplicemente agli uomini che non lo conoscono più, vorrei parlarne dalla soglia di una chiesa o dietro un pilastro, da povero uomo come gli altri ». Il volume, curato da don Marco Ballarini, dottore della Biblioteca Ambrosiana e profondo conoscitore dell'opera di Bernanos, offre al lettore le pagine migliori della produzione narrativa, saggistica e teatrale di Bernanos che si riferiscono alla figura di Gesù o alle Sue parole, e ricostruisce, seppure per frammenti, una ideale vita di Cristo « secondo Bernanos ». Ne risulta così un testo singolare, una Vita di Gesù scritta utilizzando le parole e secondo le intenzioni di un grande romanziere moderno. Georges Bernanos

Quasi una vita di Gesù

«Puissions-nous toujours ensemble, moi et mes livres, être à la merci des passants !» «... il faut beaucoup de prodigues pour faire un peuple généreux, beaucoup d'indisciplinés pour faire un peuple libre, et beaucoup de jeunes fous pour faire un peuple héroïque.» «... c'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents.» «... ce n'est pas ma chanson qui est immortelle, c'est ce que je chante.» Georges Bernanos.

Les enfants humiliés

La meilleure définition qu'on ait donnée de Bernanos est celle de Charles Plisnier, qui écrivait dans les Cahiers du Rhône : « Ainsi cet homme apparaît-il comme un monstre d'exigence, parce qu'il fut un monstre d'amour. » Bernanos ne fut pas un écrivain de profession. Il a écrit pour vivre, et il a vécu pour écrire et pour secouer ses frères en Jésus-Christ. Ce fut un chrétien engagé, romancier, journaliste, pamphlétaire. Dialogues des Carmélites n'est pas seulement une ouvre de commande, c'est une ouvre inspirée d'une autre : Die letzte am Schafott (La Dernière à l'échafaud), de Gertrud von Lefort.

Dialogues des carmélites - Étude et analyse

Mouchette, une jeune Picarde de quatorze ans, fuit l’école, ses brimades, et sa famille rongée par l’alcool, la misère et la maladie. Un soir d’orage, alors qu’elle erre dans les bois, trempée, perdue, elle rencontre un braconnier, le bel Arsène, qui lui propose un abri et lui raconte toutes sortes d’histoires destinées à le mettre en valeur. Déjà ivre, il est alors terrassé par une crise d’épilepsie. Revenu à lui, un violent désir pour la jeune fille le saisit et il abuse d’elle… Dans ce récit tragique d’une enfance sacrifiée, on retrouve les thèmes chers à Bernanos : le mal qui domine le monde, la solitude, la honte qui aboutit chez Mouchette à la haine de soi, et surtout la mort, omniprésente. Ecrit après le Journal d’un curé de campagne, un grand roman chrétien, vibrant de compassion et de colère.Nouvelle histoire de Mouchette a été adaptée au cinéma par Robert Bresson en 1967, sous le titre Mouchette.

Nouvelle histoire de Mouchette

La meilleure définition qu'on ait donnée de Bernanos est celle de Charles Plisnier, qui écrivait dans les Cahiers du Rhône : « Ainsi cet homme apparaît-il comme un monstre d'exigence, parce qu'il fut un monstre d'amour. » Bernanos ne fut pas un écrivain de profession. Il a écrit pour vivre, et il a vécu pour écrire et pour secouer ses frères en Jésus-Christ. Ce fut un chrétien engagé, romancier, journaliste, pamphlétaire. Dialogues des Carmélites n'est pas seulement une oeuvre de commande, c'est une oeuvre inspirée d'une autre : Die letzte am Schafott (La Dernière à l'échafaud), de Gertrud von Lefort.

Dialogues des carmélites

Ténébreuse histoire ! Crime ? Suicide ? Il n'a pas moins de quatre morts dans cette étrange affaire... D'abord la vieille dame, assommée dans son château de Mégère. Un inconnu ensuite, meurtrier présumé, tué par balle dans les collines voisines. Pour corser le tout, madame Louise, ancienne religieuse, gouvernante de la défunte, absorbe une trop forte dose de morphine. Et voilà qu'un enfant de cœur est retrouvé flottant au fil du courant... Au centre de l'intrigue, un jeune prêtre au masque tragique, au regard pénétrant, au sourire funèbre. Le curé de Mégère... A peine débarqué du presbytère la nuit du drame... Sous quel soleil est-il né, celui-là ?

Un crime

L'abbé Cénabre, grand spécialiste de la vie mystique et des âmes troublées, prend un jour conscience qu'il a perdu foi. Peut-être ne l'a-t-il même jamais possédée. Peut-être n'a-t-il fait qu'inventer sa propre dévotion...

Traversé par un sentiment d'abandon, il éprouve le besoin irrésistible de comprendre sa religion. Lui qui n'a jamais approché la foi que par les livres, va désormais l'expérimenter sur le vivant : un jeu dangereux qui peut prendre des tournants quasi démoniaques.

Bernanos exprime, dans ce chef d'ouvre de la littérature française au climat surnaturel, ce trouble qui remet en question les porteurs de la foi. Au cour de ses intérêts repose l'âme humaine, parfois livrée à un combat entre Dieu et le diable.

Georges Bernanos (1888-1948) est un écrivain français. Il passe la plus grande partie de sa jeunesse au Pas-de-Calais, lieu qui inspirera bon nombre de ses romans. Il poursuit des études à l'institut Catholique de Paris. C'est après avoir participé à la Première Guerre mondiale que Georges Bernanos publie selon ses mots un « livre né de la Guerre » : « Sous le soleil de Satan ». Face à des difficultés financières, il s'installe dans plusieurs pays étrangers (dont les Baléares, le Brésil en exil, la Tunisie...). Il publie en 1936 un autre de ses romans majeurs : « Journal d'un curé de campagne ». Comme les titres l'indiquent, ses ouvres représentent très souvent des personnages catholiques, confrontés au combat spirituel entre le bien et le mal.

L'imposture

Résumé

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