Napoléon et la médecine

Annexe médicale du projet de réforme du droit de l'accidenté, connu sous le nom de projet Chenot (avec collaboration), couronné par l'Académie des Sciences morales et politiques, 1970. Les accidents de la route, PUF, couronné par l'Académie de Médecine, 1975, coll. « Que sais-je ? ». L'évaluation du dommage corporel (France), Apil, 1977. L'évaluation du dommage corporel (Communauté européenne), Apil, 1978. Chapitres 10 et 16 de La réparation juridique du dommage corporel, ouvrage collectif publié sous la direction du Pr L. Derobert, Flammarion, 1979. Médecine et médecins dans la Revue des Deux Mondes, RDM, 1980. Le tabagisme, PUF, couronné par l'Académie de Médecine (Prix de l'Académie), 1980, coll, « Que sais-je ? ».

La responsabilité médicale

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Les accidents de la route

Peur sur l'asile

Napoléon a-t-il lancé la médecine moderne (examen clinique du malade, mutation de l'hospice-abri en hôpital de soins, implantation de la médecine rurale, vaccinations et autres mesures de santé publique) ou a-t-il été seulement le témoin de sa mise sur orbite ? Pour qui considère son scepticisme en matière médicale, cette seconde hypothèse paraît la bonne. Et pourtant non ! Sans lui, les fulgurances de Fourcroy, de Cabanis ou de Chaptal, Corvisart un peu en retrait, auraient fait long feu et, dans l'épanouissement de la clinique, la France n'aurait jamais rattrapé, puis rapidement supplanté ses voisins européens. Sans l'empereur, l'" Ecole de Paris ", qui sera le phare du monde médical durant près d'un siècle, n'aurait jamais vu le jour. Une impulsion à mettre d'autant plus au crédit de Napoléon que, paradoxalement malgré toutes les batailles qui ponctueront son règne, le service de santé de ses armées, qu'il s'agisse du ramassage des blessés ou de leur évacuation, demeurera jusqu'au bout dramatiquement et délibérément inadapté. Dix ans après un premier essai devenu un classique, Napoléon et la médecine, Jean-François Lemaire a refondu dans cette nouvelle synthèse ses recherches les plus récentes Jean-François Lemaire, docteur en médecine (Paris), docteur en histoire (Paris IV-Sorbonne) a enseigné " La condition médicale au XIXe siècle " de 1989 à 2001 à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (Sorbonne, chaire du Premier Empire). Lauréat de l'Académie française, plusieurs fois lauréat de l'Académie des Sciences Morales et Politiques et de l'Académie nationale de Médecine, il a reçu en 1999 le Grand Prix de la Fondation Napoléon

La médecine napoléonienne

Adrienne a ses angoisses. Il lui faut ses calmants. Tout de suite. Il faut que Marie, l'infirmière de nuit, les lui porte. Tout de suite. Mais son hurlement de terreur reste sans réponse. Alors, Adrienne, paniquée, sort en trombe, gagne l'infirmerie... Pas de Marie. Le combiné du téléphone pend au bout de son fil. Mais - quelle bonne surprise ! - la clef est sur la porte de l'armoire à médicaments. De quoi s'offrir une orgie de calmants. C'est décidément la fête, cette nuit : la porte de l'entrée de service aussi est ouverte. Alors, pourquoi pas une petite fugue ? Ce n'est pas drôle tous les jours d'être pensionnaire d'un hôpital psychiatrique. Infirmière de nuit non plus, dirait-on. Du moins quand on s'appelle Marie Weber.

L'évaluation du dommage corporel, France : accident de circulation et autres origines : droit commun, barême indicatif d'invalidité, assurance individuelle

Napoléon et la médecine

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