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Traité théologico-politique | Baruch Spinoza
Traité théologico-politique | Baruch Spinoza

Traité théologico-politique

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Résumé

PréfaceChapitre I : De la prophétie.Chapitre II : Des prophètes.Chapitre III : De la vocation des Hébreux, et si le don de prophétie leur a été propre.Chapitre IV : De la loi divine.Chapitre V : Du véritable objet de l’institution des cérémonies religieuses. — De la croyance aux récits historiques ; sous quel rapport elle est nécessaire et à quelle sorte de personnes.Chapitre VI : Des miracles.Chapitre VII : De l’interprétation de l’Écriture.Chapitre VIII : On fait voir que le pentateuque et les livres de Josué, des Juges, de Samuel et des Rois ne sont point authentiques. — On examine s’ils sont l’ouvrage de plusieurs ou d’un seul, et quel est cet unique écrivain.Chapitre IX : On fait quelques autres recherches touchant les mêmes livres, pour savoir notamment si Hezras y a mis la dernière main, et si les notes marginales qu’on trouve sur les manuscrits hébreux étaient des leçons différentes.Chapitre X : On examine les autres livres de l’ancien testament comme on a fait précédemment les douze premiers.Chapitre XI : On recherche si les apôtres ont écrit leurs épîtres à titre d’apôtres et de prophètes, ou à titre de docteurs. — On cherche ensuite quelle a été la fonction des apôtres.Chapitre XII : Du véritable original de la loi divine, et pour quelle raison l’Écriture est appelée Sainte et Parole de Dieu. — On prouve ensuite qu’en tant qu’elle contient la Parole de Dieu, elle est parvenue sans corruption jusqu’à nous.Chapitre XIII : On montre que l’Écriture n’enseigne que de choses fort simples, qu’elle n’exige que l’obéissance, et qu’elle n’enseigne sur la nature divine que ce que les hommes peuvent imiter en réglant leur vie suivant une certaine foi.Chapitre XIV : On explique la nature de la foi, ce que c’est qu’être fidèle et quel sont les fondements de la foi ; puis on sépare la foi de la philosophie.Chapitre XV : Que la théologie n’est point la servante de la raison, ni la raison celle de la théologie. — Pourquoi nous sommes persuadé de l’autorité de la Sainte Écriture.Chapitre XVI : Du fondement de l’État ; du droit naturel et civil de chacun, et du droit du souverain.Chapitre XVII : Qu’il n’est point nécessaire, ni même possible, que personne cède absolument tous ses droit au souverain. — De la République des Hébreux ; ce qu’elle fut du vivant de Moïse ; ce qu’elle fut après sa mort, avant l’élection des roi ; de son excellence ; enfin des causes qui ont pu amener la ruine de cette République divine, et la livrer durant son existence à de perpétuelles séditions.Chapitre XVIII : Quelques principes politiques déduit de l’examen de la République des Hébreux et de leur histoire.Chapitre XIX : On établit que le droit de régler les choses sacrées appartient au souverain, et que le culte extérieur de la religion, pour être vraiment conforme à la volonté de Dieu, doit s’accorder avec la paix de l’État.Chapitre XX : On établit que dans un État libre chacun a le droit de penser ce qu’il veut et de dire ce qu’il pense.

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