Saint Thomas, sa vie son oeuvre. Tout ce quon en sait.

Thomas l'apôtre, l'athlète du Christ

Parce qu'elle semblait trop complexe ou trop marquée par son temps, la médecine de Descartes a longtemps été négligée au profit d'autres parties de son oeuvre. Or, la science de Descartes comprend aussi la médecine à laquelle il a consacré pas moins d'un cinquième de ses écrits. Aussi ne peut - on faire l'économie de son évaluation et de son histoire pour saisir l'intégralité de sa pensée. Telle est l'ambition de ce livre. La médecine de Descartes y est située dans son contexte historique et philosophique. On y découvre la méthode appliquée en médecine et la place qu'y occupe l'expérience. l'esquisse de la physiologie, de la pathologie et même de la thérapeutique cartésiennes révèle plusieurs thèmes significatifs, comme la question de la génération du foetus ou celle de la douleur, qui permettent d'identifier le vrai sujet de la médecine, à savoir l'homme intégral, l'homme tout entier. Du coup, la médecine cartésienne révèle toute sa profondeur philosophique par la nécessaire prise en compte de l'union de l'âme et du corps.

La philosophie médicale de Descartes

Que faire de sa vie ? Face à cette question, nous sommes tous confrontés à une situation assez banale : nous ne sommes pas authentiques, nous ne sommes pas naturellement et immédiatement nous-mêmes. Il n'en est que plus difficile de saisir dans quelle direction nous devons nous orienter. Nous avons à faire de multiples choix en peu de temps. Est-il possible de les remettre en question à tout instant ? Les différentes dimensions de la personne humaine doivent contribuer à notre bonheur. L'intériorité est l'espace où se joue la vérité de nos choix. La prière est une aide pour avancer sur le chemin de la liberté. Edith Stein (1891-1942), philosophe, carmélite, morte à Auschwitz, a écrit sur l'éducation et le sens de la vie. A la lumière de ses textes, Vincent Aucante propose ici un itinéraire pour des décisions véritables, où s'engage la vie.

Le discernement selon Edith Stein. - Que faire de sa vie ?

Les effets médiatiques et les conséquences du discours prononcé par Benoît XVI à Ratisbonne en 2006 ont mis au premier plan de l'actualité mondiale la question des relations entre le Saint-Siège et l'Islam. Les diverses mises au point du Saint-Père, ainsi que ses nombreux discours qui ont ensuite développé ce thème, notamment lors de son voyage en Turquie, dessinent une approche spécifique du dialogue interreligieux qui doit beaucoup à Jean-Paul Il et qui, en même temps, s'en écarte en privilégiant la raison par rapport à la prière. Tout en proposant un accès direct aux principales pièces du dossier si souvent ignorées ou occultées, cet essai veut présenter la position de Benoît XVI à l'égard de l'Islam, ainsi que l'évolution de sa pensée depuis son élection au trône de Pierre. Il offre quelques perspectives sur le rôle important que jouent toutes les communautés dans un contexte mondialisé

Benoît XVI et l'Islam

L'islamisme marque le retour de la barbarie, et ceci dans une dynamique croissante après le 11 septembre. Nous avons vaincu les barbares d'autrefois : saurons-nous vaincre ceux d'aujourd'hui ? Ils ne sont plus les marginaux de jadis, car ils viennent du coeur de nos sociétés modernes. Barbarie et civilisation seraient-elles deux images en miroir ? De fait, leurs frontières se sont estompées. Des Occidentaux éduqués partent désormais combattre dans les rangs des terroristes. Depuis la naissance des grandes civilisations, les hordes qui vivaient dans les steppes ou les forêts ont massacré et pillé villes et villages. La ressemblance entre ces barbares d'autrefois (Hyksos, Scythes, Goths, Vandales ou Mongols) et les djihadistes d'aujourd'hui est frappante. Mais une nuance s'impose : alors que tous ces peuples, errants ou sédentaires, n'avaient d'autre choix que la guerre, les partisans de Daesh ou d'Al Qaida ont fait ce choix individuellement et ils justifient leurs crimes. Que l'islam soit le terreau de l'islamisme n'explique pas tout. Nos civilisations ont toujours cultivé une barbarie intérieure, plus ou moins refoulée selon les époques. Ce phénomène a culminé avec les barbaries d'État au XXe siècle. Il prend aujourd'hui un nouveau visage. Il ne suffira donc pas de vaincre militairement cet adversaire. Ce dernier n'est que le symptôme d'un mal plus profond, dont il nous faut chercher les causes. Nous pourrons alors peut-être lui trouver un remède. Vincent Aucante, docteur en philosophie, ancien Directeur du Centre Saint-Louis à Rome et ancien Directeur culturel du Collège des Bernardins à Paris, est spécialiste de Descartes et d'Edith Stein.

Barbares : le retour

Par bien des aspects, l'Afrique subsaharienne semble étrangère à la mondialisation, ou ce qui est pire encore paraît souvent être sa victime. Pourtant la vivacité, l'inventivité sont à l'oeuvre sur tout le sous-continent subsaharien. L'objectif de cet ouvrage est d'interroger le paradoxe de cette partie du monde qui semble à la fois absente et présente de la mondialisation, passive ou créative, selon plusieurs perspectives : culturelle, économique, politique et religieuse.

L'Afrique subsaharienne et la mondialisation

Cet ouvrage collectif est une introduction à la pensée personnaliste de Jean-Paul II dont il explore, de manière pédagogique, les fondements philosophiques et les développements théologiques. Ce livre vient enfin à point nommé pour éclairer le cours et l'avenir de la société occidentale. Celle-ci, en continuant à diffuser le culte à outrance du matérialisme individualiste, conduit en fait, comme l'avait prévu Jean-Paul II, à la désintégration progressive de l'homme. Un argument supplémentaire pour redécouvrir et se réapproprier les linéaments d'une pensée utilement et heureusement à contretemps.

Jean-Paul II, pape personnaliste - La personne, don et mystère

Le parcours spirituel d'Edith Stein est singulier parce qu'intimement lié à son histoire familiale et à sa réflexion philosophique. D'origine juive mais sans pratique cultuelle, son athéisme se heurte à sa quête de vérité, notamment au travers de l'étude de la phénoménologie. Jusqu'au jour où la lecture de Thérèse d'Avila lui apporte la grâce de la Révélation. A la suite d'Edith, Vincent Aucante interroge le processus de la conversion : comment la grâce est accueillie par la personne au regard de sa situation spirituelle initiale, de son environnement familial avec ses traditions, du jugement des autres. Au-delà de l'histoire emblématique de la philosophe, juive convertie au catholicisme dans un contexte historique totalitaire, ce livre met en lumière les mécanismes de la conversion et la place essentielle de la liberté pour choisir d'adhérer à la grâce.

Thomas l'apôtre, l'athlète du Christ

Résumé

Plus de livres de Vincent Aucante

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques