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Le solo et la cacophonie ; contes de métaphysique domestique
Publié par Voix d'encre, le 01 janvier 2003
Ni le temps qui passe ni le silence, ne se peuvent étreindre, parce que le temps qui passe et le silence sont vides, avant que tu ne les remplisses. C'est donc à ce qui les remplit que, le regard devenu vulnérable et le coeur étrangement sensible, parfois je me suis arrêtée. Car je veux bien qu'on m'intéresse au vide, mais à condition qu'il ne soit vu que par quelque fissure, au travers d'une maisonnée qui tourne, d'une ville, de la caillasse ou du béton, autrement dit, par le petit bout de la lorgnette. La moralité en est toute simple et assez gaie : acceptons de vaquer, et sans maugréer s'il vous plaît, sinon gare... Pour résumer, il n'y aura pas d'événements dans ce qui suivra. Mais pas non plus absence d'événements. Il y aura des fissures et des accidents, de coeur et d'âme et d'être, de ferveur et de vie, - de ferveur et de vie selon notre besoin de chaque jour, avec le pain quotidien qui se pose, de seconde en seconde, de façon si déconcertante et si oblique sur les élancements de notre faim. G.A.
Le solo et la cacophonie ; contes de métaphysique domestique
Le pèlerin sentinelle
La fête invisible
Il n'y a pas de meilleur ami qu'un livre
Vie saxifrage
Soleil patient
La cavalière indemne
Coeur fondateur
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