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Littérature et société chez Elias Canetti
Publié par Publisud, le 02 novembre 2000
111 pages
Travailler Cohen nous engage d'emblée dans la problématique de la marginalité, de cette voix qui se confronte comme une obsession au langage dans son rapport étroit avec la contingence historique, de ce texte qui se refuse à toute classification et, à la limite, à toute détermination générique. Roman qui résiste à ses propres paramètres, puisque le texte œuvre dans l'espace intergénérique ; il ouvre de multiples parenthèses sur l'Histoire et l'autobiographie, sur l'auto ou la biographie historique, sur l'auto-biographie de l'écriture incorporée bien plus que celle de l'écrivain-personnage. Le Roman de Cohen est pluriel, et ce, par définition. C'est le roman d'une vie, d'une vie d'écriture, d'une vie où l'écriture est engendrement perpétuel d'un texte qui n'en finit pas de se produire. Le Roman deviendrait donc, selon sa propre axiomatique, procès de production d'un échec, puisque manque de finalité et de plénitude, échec à tout jamais renouvelable, d'un itinéraire indéterminé et indéterminable, d'une obsession narrative, qui se répète sans cesse, d'un désir narratif à jamais inassouvi, d'un inaboutissement perpétuel...
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