La première enquête de Leonid McGill, un privé noir, fils de communiste et ex-boxeur, dans les rues d'une New York plus babylonienne que jamais.

Le Vertige de la chute

Lutte pour les droits civiques des Noirs, manifestations anti-guerre, attentats gauchistes, etc., telles sont aux USA ces années 60 où Walter Mosley situe la dernière aventure de son personnage fétiche, " Easy " Rawlins.
Celui-ci se voit un jour demander par son ami John Brown de retrouver son fils Brawly et de ramener à Ia raison. Ce grand vaurien s'est mis dans une situation où il risque de mourir ou de passer le reste de sa jeune vie en prison. Retrouver Brawly n'est pas difficile. Le problème est qu'il s'est acoquiné avec une bande de révolutionnaires, dont certains rêvent d'améliorer le sort des habitants du quartier alors que d'autres voudraient tout faire sauter.
Discours enflammés des uns, naïveté des autres et violences projetées, Easy comprend vite que derrière tout cela se joue une bataille à laquelle ces jeunes gens ne comprennent rien.

Casseur (le)

The man at Charles Blakey's door has a proposition almost too strange for words. The stranger offers him $50,000 in cash to spend the summer in Charles's basement, and Charles cannot even begin to guess why. The beautiful house has been in the Blakey family for generations, but Charles has just lost his job and is behind on his mortgage payments. The money would be welcome. But Charles Blakey is black and Anniston Bennet is white, and it is clear that the stranger wants more than a basement view.
There is something deeper and darker about his request, and Charles does not need any more trouble. But financial necessity leaves him no choice. Once Anniston Bennet is installed in his basement, Charles is cast into a role he never dreamed of. Anniston has some very particular requests for his landlord, and try as he might, Charles cannot avoid being lured into Bennet's strange world. At first he resists, but soon he is tempted--tempted to understand a set of codes that has always eluded him, tempted by the opportunity to understand the secret ways of white folks.
Charles's summer with a man in his basement turns into an exploration of inconceivable worlds of power and manipulation, and unimagined realms of humanity. Walter Mosley pierces long-hidden veins of justice and morality with startling insight into the deepest mysteries of human nature

The Man In My Basement

Souvent comparé à Chandler, Walter Mosley, l'auteur d'Une mort en rouge et de Papillon blanc, échappe aux clichés du polar traditionnel pour se faire le peintre réaliste des communautés noires à l'époque du maccarthysme. Il est incontestablement la grande révélation de ces dernières années. Dans Le Diable en robe bleue, premier titre de la série Easy Rawlins, le héros, démobilisé de la Seconde Guerre mondiale, fait ses débuts comme détective privé. Venu de son Texas natal en Californie où il pense trouver fortune, il se fait d'abord virer par son patron raciste, puis accepte, pour 100 dollars - somme dérisoire mais toujours bonne à prendre quand on a des dettes ! -, de retrouver Daphné, une jeune Blanche disparue. Celle-ci, aux dires des méchantes langues, fréquentait un peu trop les peaux brunes... Les cadavres commencent à pleuvoir aux pieds d'Easy. Les flics, racistes, manipulés ou non par les gros bonnets de la ville, veulent lui faire porter le chapeau. Easy se rebiffe. Avec Mouse, son copain à la gâchette facile, il retrouve Daphné. Mais les choses se gâtent. Ça va swinguer dans les rues et les boîtes jazzy de L.A. Incarné à l'écran par l'acteur-vedette Denzel Washington, dans une exceptionnelle reconstitution des années cinquante à Hollywood, Easy Rawlins est un vrai héros de l'Amérique. Cette Amérique actuelle, avec sa "guerre des races", où il ne fait pas bon être du mauvais côté.

Le Diable en robe bleue (Easy Rawlins, #1)

'McGill is an engaging creation, saddled with a faithless wife, an adoring mistress and a son who appears to be planning a murder of his own . . . Mosley ensures the reader hopes to meet [him] again soon' Sunday Telegraph
From the creator of Easy Rawlins, Walter Mosley's electric new novel introduces a brand new investigator - Leonid McGill - and a gripping new set of challenges.
We follow former rule-breaker Leonid McGill as he's buffeted between the overlords of New York's underbelly, desperate to turn straight, but unable to say no to a nicely paid job. When we're introduced, he's calling in old favours and greasing NYPD palms to uncover seemingly harmless information for a high-paying client. But when the former schoolmates on his list are bludgeoned to death one by one, McGill realises that a friendly reunion wasn't quite what his taskmaster had in mind. And the awkward questions that follow seem almost welcome in comparison to a visit from Willie Sanderson, a trained killer and 'modern-day Frankenstein', now primed to ensure that McGill breathes his last.
THE LONG FALL shows Walter Mosley at the height of his powers, breathing new life into American crime writing with sassy dialogue and unflinching social truths. Vividly capturing a city not nearly as cleaned up as its politicians would have us believe, this is new Mosley - and it's just as good as the vintage kind.

The Long Fall

Sans boulot, donc sans un sou, comme le lui répètent Clarence Mayhew et son cousin Ricky, avec
qui il joue aux cartes tous les jeudis soirs, M. Blakey habite dans le quartier noir de Sag Harbor,
petite bourgade de Long Island. Tout indique qu'il devrait chercher du boulot, mais même au risque
de perdre sa maison, il préfère traîner et vivre d'expédients. Jusqu'au jour où un petit homme
blanc et chauve, un certain Anniston Bennet, originaire de Greenwich, dans le Connecticut, frappe
à sa porte et lui demande de louer sa cave pour l'été.
Refus indigné de M. Blakey : sa cave n'est pas à louer.
Cela dit, les sommes que lui propose Anniston Bennet sont telles que... Après d'innombrables
discussions avec sa conscience, M. Blakey finit par accepter, débarrasse sa cave et voit arriver des
déménageurs qui lui livrent une grande caisse... pleine de barres de fer, le tout accompagné d'une
notice de montage. Ce que veut Anniston Bennet ? Que M. Blakey lui construise une cage dans sa
cave. Stupéfaction de M. Blakey qui se demande ce que son étrange locataire peut bien avoir en
tête.
Superbe et très dérangeante méditation sur les rapports Blancs-Noirs aux Etats-Unis et ce depuis
l'arrivée des esclaves en terre américaine, The Man in My Basement a fait l'objet de critiques
enthousiastes dans toute la presse d'outre-Atlantique, le New York Times allant jusqu'à en faire un
des dix livres les plus remarquables de l'année.

Un homme dans ma cave

La première enquête du nouveau personnage de Mosley, Leonid McGill, un privé noir, fils de communiste et ex-boxeur, dans les rues d'une New York plus babylonienne que jamais.

Le vertige de la chute - La première enquête de Leonid McGill

Une mort en rouge

1961 : Kennedy, président. Martin Luther King, et son rêve d'égalité. On pourrait croire que ça s'arrange pour la communauté noire. En tout cas, la situation financière d'Easy Rawlins est catastrophique. Pour 2000 dollars, il accepte d'enquêter sur la disparition d'Elizabeth Eady. Pas de gaieté de cœur. Il y a pourtant une réjouissance au programme : cette Black Bettty a nourri ses fantasmes de jeunesse. Mais la Vénus noire, exploitée par des salauds, traîne aujourd'hui derrière elle un chapelet de cadavres.

Le Vertige de la chute

Résumé

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Critiques

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