Das Sanctus ist eine Novelle von E. T. A. Hoffmann, die 1817 erstmals im Erzählband "Nachtstücke" erschien. Es gibt eine Rahmenhandlung mit dem Kapellmeister, dem reisenden Enthusiasten, dem Doktor und Bettina. Im Laufe dieser Handlungen erzählt der reisende Enthusiast einerseits vom letzten Jahr, als er Bettina in der Kirche getroffen hat und andererseits von dem Krieg der Spanier gegen die Mauren.

Das Sanctus

Die Lebensansichten des spießbürgerlichen Katers, vermischt mit den biographischen Aufzeichnungen des Kapellmeisters Kreisler.

Lebensansichten des Katers Murr

Die Jesuiterkirche in G. ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann, die Ende 1816 im ersten Teil der Sammlung "Nachtstücke" bei Reimer in Berlin erschien. Der Autor hatte die Niederschrift im August desselben Jahres beendet.

In diesem Nachtstück "aus den Papieren eines reisenden Enthusiasten" geht es um eine kostbare, ach so flüchtige Gabe: die Schaffenskraft des bildenden Künstlers Berthold.

Die Jesuiterkirche in G.

Das Majorat ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann, die erstmals 1817 erschien, und zwar in der zweiteiligen Sammlung Nachtstücke. Der Text präsentiert sich als zweiteilige Ich-Erzählung, die erzählte Zeit erstreckt sich von der letzten Dekade des 18. zur zweiten Dekade des 19. Jahrhunderts und umfasst damit die Zeit der Unruhe, die Europa nach der Französischen Revolution erfasst hatte, bis etwa zum Ende der napoleonischen Kriege. Während sich der erste Teil aus dem eigenen Erleben des Ich-Erzählers Theodor speist, enthält der zweite Teil als Rückblende bis in das Jahr 1760 die Chronik der freiherrlich von R.schen Familie vom Zeitpunkt der Stiftung des Majorats bis zum Tod des letzten Freiherrn von R., der um 1800 eintritt.

Das Majorat

Der Magnetiseur ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann, die im Sommer 1813 im von Napoleon besetzten Dresden geschrieben wurde und im April 1814 im Band 2 der "Fantasiestücke in Callot's Manier" erschien. In seiner Vorrede zu den "Fantasiestücken" hebt Jean Paul diesen Text und seine "mit Kraftgestalten fortreißende Erzählung" hervor.

Der Text erzählt vom titelgebenden Magnetiseur und Mediziner Alban, der Macht über die 16-jährige Baronesse Maria mittels mesmeristischer Hypnose ausübt.

Der Magnetiseur

L'elixir du diable / Hoffmann; illustre par Foulquier; traduction de La Bedolliere...Date de l'edition originale: 1873Ce livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.frhttp: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k67663f

L'Elixir du diable

Aux côtés du Moine de Lewis (1795) et du Melmoth de Maturin (1820), Les Élixirs du Diable (1816) figure parmi les chefs-d’œuvre absolus du « roman noir » de la période romantique. Pour Hoffmann, ce récit de toutes les indécences et de tous les excès n'était rien de moins que le pivot secret autour duquel devait s'orienter toute son œuvre de conteur. Freud note qu'on y retrouve, dans une sorte de symphonie frénétique, tous les thèmes chers au grand « fantastiqueur », et d'abord celui du double, « dans toutes ses nuances, tous ses développements ». Texte déconcertant à coup sûr, où viennent se fondre, comme en un creuset, toutes les intuitions du Romantisme allemand.

Les Élixirs du diable

Figure incontournable - et incontestée - de la littérature romantique allemande, Ernst Theodor Amadeus Hoffmann (1776-1822) est resté célèbres pour ses contes fantastiques. Le public français commença à le connaître peu après sa mort, notamment grâce aux traductions de Loève-Veimars, Henry Egmont, et Émile de La Bédollière. L'engouement pour ce genre littéraire s'étendit ainsi dans l'hexagone, après avoir dominé le lectorat prussien. En 1830, la publication de l'édition française des Contes fantastiques chez Eugène Renduel inspira les librettistes Jules Barbier (1825-1901) et Michel Carré (1821-1872) qui retinrent trois nouvelles pour en faire un « drame fantastique en cinq actes » donné en 1851 au Théâtre de l'Odéon à Paris sous le titre Les Contes d'Hoffmann : Les aventures de la nuit de la Saint-Sylvestre (1814), L'homme au sable (1817) et Le violon de Crémone (1819). Cette oeuvre théâtrale marquera durablement le public parisien, notamment Jacques Offenbach (1819-1880) qui, dès lors, songera à en faire un opéra, mais aussi d'autres compositeurs français, comme Adolphe Adam (1803-1856) ou Léo Delibes (1836-1891). C'est encore un conte d'Hoffmann, Casse-Noisette et le Roi des souris (1816), qui inspira le compositeur russe Piotr Illich Tchaïkovski (1840-1893) pour son célèbre ballet de 1892.

Das Sanctus

Résumé

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