Je voulais attraper la vie, l'attraper avec des mots comme j'attrape des images avec mon appareil photo. Fixer l'immatériel, les attitudes, les contradictions, ces choses infimes qui passent comme une ombre dans un regard. Les fixer pour mieux les démasquer, mieux les comprendre et les partager... Christine Orban.

La vie m'a dit...

" Pouvez-vous répondre à une seule question ? Si je vous parle et que vous parveniez à me guérir, ce sera pour vivre quoi ? " Un roman qui se lit comme une leçon de vie.

Deux fois par semaine

En 1927 Virginia Woolf qui vient de publier La promenade au phare vit une passion tourmentée avec Vita Sackville-West dont le célèbre château paternel de Knole se situe tout près de Monk's House, la modeste demeure de Virginia et de son époux l'éditeur Leonard Woolf. De sa fascination pour Vita, de l'abîme entre sa vie bohème et le faste de l'excentrique aristocrate va naître le personnage d'Orlando. La relation amoureuse s'est métamorphosée en création littéraire. Dans ce roman où tout est dit de la passion et de la jalousie, Christine Orban évoque en mélodie subtile, la complicité de deux femmes exceptionnelles, puissantes et fragiles qui marient à leur manière amour et création.

Virginia et Vita

Des fringues: des apprets, des atours, des atouts, un etourdissement d etoffes et d artifices ou les hommes se prennent, s ebahissent, s enthousiasment Pour Darling, la vie ne serait pas, n est pas vecue sans la robe qu il faut, le jupon et le decollete, l escarpin et l etole. Et les centaines de vetements portes une fois recelent sa memoire, son identite, ses reves.Jusqu au jour ou Darling, frivole jusqu a l inconscience, parviendra a se faire cet aveu: - Je veux dormir sans chemise, sans nuisette, sans pyjama, sans culotte, sans tricot, nue, nue dans ses bras. - La romanciere de J etais l origine du monde nous entraine dans une veritable psychanalyse, romanesque et souriante, du vetement et de la fashion victim."

Fringues

Elle a vingt ans, et son premier roman vient d'être accepté par un éditeur.Ce jour d'été, au bord de la mer, aurait dû être le plus heureux de sa vie, si Beau-Père ne l'avait pas réduite à un corps dont la beauté serait le seul atout. Debout, au-dessus d'elle, il lui avait lancé devant tous les invités : « Avec le corps qu'elle a, ça va être facile pour elle... » Ces mots vont fracasser son existence pendant des années et la mener au bord du gouffre.Dans ce roman, Christine Orban explore, avec une grande sensibilité et des accents fitzgéraldiens, les « blessures invisibles » d'une jeune femme, et sa difficulté d'être elle-même dans un monde où triomphent les apparences et la domination masculine.

Avec le corps qu'elle a...

Au début de ce siècle, Arpad de La Castille est un homme que la vie a comblé. Il mène une existence facile et brillante, éclairée par l'amour de sa femme Olivia, illuminée par sa passion de collectionneur.
Et pourtant, par une nuit d'orage dans son château perdu au milieu des bois, son existence va basculer dans le cauchemar. Pourquoi sa rencontre tant attendue avec le comte Alberoni s'est-elle si mal terminée ? Et par quel étrange et maléfique hasard une femme - ou une image de femme - surgie du fond des temps est-elle venue ainsi ruiner son honneur et son espérance ?
Avec une sensibilité extrême, une maîtrise subtile et parfois féroce de ses personnages, Christine Orban entraîne le lecteur dans un huis-clos plein de mystère et de raffinement, où les passions, toujours élégantes, n'en sont que plus violentes.

Le collectionneur

Un jour, Maximilien, marié à Clotilde - psychanalyste -, succombe aux avances d'une femme qui n'est pas du tout son genre. Il ne peut avouer son infidélité et s'enferme dans le silence. Peu après, il trouve par hasard le journal intime de Clotilde et ne peut s'empêcher de le lire. Ce qu'il découvre l'horrifie : elle ne l'aime plus, a eu une aventure avec l'un de ses patients, a été enceinte et a avorté... Qui est véritablement cette femme qu'il a épousée et qu'il croyait connaître ?

Une folie amoureuse

" Que pouvait-il me demander de plus ? L'inimaginable, il l'a pourtant imaginé. Il ne m'a
pas dit : "Je veux peindre ton sexe, les jambes ouvertes. "Non, ce fut dit différemment. Mais dit.
Comment a-t-il osé ? Comment ai-je pu accepter ? "

La vie m'a dit...

Résumé

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Critiques

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