Le peintre et les cygnes sauvages

Super papa

Au temps des conquistadores, deux peuples mayas cohabitaient en paix au pied de deux puissants volcans. L'un cultivait les richesses de la terre, l'autre confectionnait des bijoux ornés de pierres précieuses et colorées. Un amour interdit et l'arrivée des Espagnols firent tout basculer.Cette légende maya est ancrée dans l'histoire du Guatemala. Elle évoque la conquête d'un empire et la naissance d'un pays. À l'arrivée des Espagnols, vers 1520, les dissensions entre les différentes ethnies mayas facilitèrent la colonisation. On raconte qu'au pied du volcan Tolimán, le Cerro de Oro – la Prison d'or –, renferme toujours d'inestimables trésors.

Au pays de la prison d'or

Les cygnes sauvages

Un florilège d'histoires inédites et de petits contes pour galoper dans les plus belles contrées de l'imaginaire.On dit qu'il est la plus noble conquête de l'Homme... Sauf que le Cheval reste libre. Toujours. Ce qui ne l'empêche pas de nouer avec les hommes, les femmes, les enfants des quatre coins du monde des liens forts et uniques... Vous en doutez ? Alors ouvrez grands vos yeux. Et découvrez sans tarder les fabuleux récits de ces chevaux de légende, petits poneys espiègles, ou encore énigmatiques licornes...Vous verrez alors se profiler, derrière le regard en apparence placide du cheval, mille et un secrets magiques et pétillants, qui page après page sauront vous emmener de plus en plus loin...

PETITS CONTES POUR... : galoper

Pourquoi faut-il apprendre le solfège ? combien de cordes a un violon ? a quel âge peut-on jouer du saxophone ? pour tout savoir sur les instruments de musique, ouvre ton livre...

Les instruments de musique

Le mot sans lequel rien n'existe

Poulette-Douillette

Il était une fois une petite fermière qui, après avoir été chassée de sa maison, s’aménage un douillet chez soi dans une petite roulotte de bois. Elle vit là avec sa chevrette et son chat, jusqu’à ce que frappent à la porte un écureuil, une petite poule, un vieux cheval… La petite bonne femme ouvre chaque fois ses bras et son cœur. À chaque nouvel arrivant, on se serre un peu, mais on est plus heureux…

Le peintre et les cygnes sauvages

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