La spiritualité vers le haut et en avant du Père Teilhard de Chardin présentée par thème et à l'usage de nos contemporains par un spécialiste de la pensée du Grand Jésuite. Une série de 11 études pour un foi toujours plus grande.

Petits traités de spiritualité à l'usage des humains en quête de sens - La vision du monde

Les trois penseurs réunis ici sont les témoins d'une recherche bouillonnante où l'on ose penser large, ouvrir des horizons nouveaux et contempler Dieu sans oublier l'homme : son image en quête de ressemblance. La richesse de leur regard sur l'homme n'a d'égal que leur conscience de sa dimension de créature libre et responsable. Ils ont tous trois le souci de la dimension sociale d'un monde en chemin vers le Christ : si l'homme est "axe et flèche de l'évolution", selon le mot de Teilhard, c'est par "l'engagement de la foi" - comme le dit Mounier - qu'il assume son rôle, dans la pleine conscience de sa responsabilité, et, comme Blondel l'affirme qu'"il est bon de proposer à l'homme toutes les exigences de la vie, toute la plénitude cachée de ses oeuvres, pour raffermir en lui, avec la force d'affirmer et de croire, le courage d'agir".

Une génération en marche - Maurice Blondel, Pierre Teilhard de Chardin, Emmanuel Mounier

Ce livre est un ouvrage de synthèse sur l'ensemble du phénomène religieux, abordé à partir des différentes sciences humaines qui s'y sont intéressées : anthropologie, sociologie, histoire, psychologie et psychanalyse, sémiologie, linguistique, herméneutique... Mais au lieu de proposer de ces diverses connaissances une juxtaposition de nature encyclopédique, comme de nombreux ouvrages existant déjà l'ont fait, cette œuvre donne une vision transdisciplinaire, intégrée et globale, capable de faire émerger du sens. En ayant recours à une approche systémique, Gérard Donnadieu offre au lecteur une synthèse sans équivalent aujourd'hui dans la littérature française ou anglo-saxonne. Pour cette raison, il s'adresse à tous ceux qui, chercheurs, étudiants en sciences humaines, responsables politiques, militaires ou associatifs, dirigeants d'entreprise..., s'intéressent au rôle du facteur religieux dans le processus actuel de mondialisation et veulent le comprendre. En suivant le parcours tracé par ces pages, chacun pourra découvrir combien les concepts théologiques du christianisme, soumis aux grilles d'analyse des sciences humaines, sont en mesure de manifester toute leur pertinence et leur richesse. Plus encore, le lecteur s'apercevra de la connivence secrète qui existe entre le vieux tronc chrétien et les fruits intellectuels les plus savoureux de la modernité.

Les religions au risque des sciences humaines

Un texte pour proposer un Christ toujours plus grand, riches d'éléments pour une rencontre avec la raison moderne, les sciences et les hommes de progrès.

Le Christ retrouvé ; comment dire aujourd'hui Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme

Jusqu'au début des années 80, l'action que pouvait exercer un dirigeant sur le corps social de son entreprise passait pour une large part, par l'efficacité et la qualité des compromis qu'il réussissait à trouver avec les syndicats. C'est au travers des relations entre les directions et les syndicats et représentants du personnel que l'on gérait les tensions qui parcouraient le corps social de l'entreprise et que l'on parvenait, tant bien que mal, à un équilibre acceptable.
Notre propos est de tenter de répondre à quelques questions simples mais d'importance stratégique que ne peut manquer de se poser tout dirigeant : 
- Que peut-il se passer si le système traditionnel de relations sociales se vide progressivement de sa substance ?
- Les autres modes de régulation - communication directe, démarches participatives, rpole accru de l'encadrement - seront-ils suffisants pour gérer les tensions sociales ?
- Quelle pourrait être une stratégie de revalorisation permmettant de redonner au système de relations sociales son efficacité régulatrice ?
Tel est l'objet de cet ouvrage dont les sources empruntent à la fois à la sociologie, à l'analyse historique et à la longue expérience d'entreprise des auteurs. Il pourra être lu par tous ceux qui souhaitent disposer d'un manuel à la fois théorique et pratique.

Reguler Le Social Dans L' Entreprise. Crise Et Mutation Des Relations Sociales ? - Occasion

Penseur étonnamment riche et complexe, René Girard apporte avec les outils qui sont les siens (l'anthropologie, la psychosociologie, la sémiologie, l'étude des mythes) une réponse originale aux questions disputées de l'origine du mal, de la religion et de la culture. La réponse de René Girard peut se représenter sous la forme d'une fusée à trois étages. Le premier étage, de facture anthropologique et psychologique, est une théorie du désir humain. Cette théorie a reçu de nombreuses applications dans les domaines de l'étude des passions humaines, du gouvernement des hommes, du management, de la publicité, etc. Le deuxième étage, davantage historique et sociologique, est une théorie de la religion. La religion apparaît comme le moyen inventé par les hommes pour réguler la violence potentielle de leurs relations mutuelles, violence risquant toujours un dérapage vers les extrêmes. Cette régulation culturelle est fondée sur le mécanisme sacrificiel du bouc émissaire. Le troisième étage concerne le christianisme et sa singularité. Avec l'avènement du christianisme, la régulation culturelle de la violence subit en effet une profonde mutation. 
En même temps qu'il dévoile le caractère mensonger du mécanisme sacrificiel, le christianisme met en place un autre type de régulation, fondé sur l'amour désintéressé (agapè) du prochain et mieux à même d'initier un processus de « bonne réciprocité » entre les personnes. En s'essayant à une transcription systémique de la théorie girardienne, l'auteur de ce audiocours s'efforce d'en montrer l'extrême généralité et la grande pertinence dans un grand nombre de domaines : pédagogie, éducation, relations familiales, sociale, politiques et internationales, stratégies militaires, commerciales, économiques, etc.

La violence dévoilée ; pour comprendre René Girard

La guerre de 1914-1918 a été un choc mondial. Ce chaos destructeur est paradoxalement à l'origine du développement de la vision prospective et prophétique du phénomène de l'Evolution de Pierre Teilhard de Chardin. Effondrement et engendrement, telle est la pensée régénérante de Teilhard qui perçoit dans les bouleversements de cette époque, avec ce qu'ils ont d'effrayant et d'inquiétant : les douleurs d'un monde en genèse. Au coeur de l'Evolution tâtonnante, la problématique du changement, tiraillée entre les forces d'union créatrice et les forces de désunion, est permanente. L'expression de la pensée de l'évolution de Teilhard et de ses conséquences sur la perception du futur, avec l'ancrage sur le couple conflit-coopération, la constance de la guerre mais aussi les espérances géopolitiques de convergence dans la Noosphère, ont été longuement développées dans plusieurs conférences réunies ici. La mise en perspective des événements et des conflits de cette Grande Guerre montre comment Teilhard avait bien compris les mécanismes à l'oeuvre dans ce long combat, toujours actuel, des forces d'union et de désunion. A l'occasion du centenaire de la Grande Guerre, l'Association des Amis de Pierre Teilhard de Chardin a organisé à Reims le colloque international dont voici les Actes. La venue à Reims en 2017, 100 ans plus tard, a été l'occasion de rendre hommage au grand jésuite et a constitué un acte mémoriel important. Reims est en effet devenue ville emblématique, avec Verdun, de la réconciliation franco-allemande, au moment de la visite conjointe du Chancelier Adenauer et du Général de Gaulle, le 8 juillet 1962, annonçant la signature d'un traité d'amitié (Traité de l'Elysée), l'année suivante.

La guerre en face ; voir au-delà - De la Grande Guerre aux turbulences de la mondialisation

Penseur étonnamment riche et complexe, René Girard apporte avec les outils qui sont les siens (l'anthropologie, la psychosociologie, la sémiologie, l'étude des mythes) une réponse originale aux questions disputées de l'origine du mal, de la religion et de la culture. La réponse de René Girard peut se représenter sous la forme d'une fusée à trois étages. Le premier étage, de facture anthropologique et psychologique, est une théorie du désir humain. Cette théorie a reçu de nombreuses applications dans les domaines de l'étude des passions humaines, du gouvernement des hommes, du management, de la publicité, etc. Le deuxième étage, davantage historique et sociologique, est une théorie de la religion. La religion apparaît comme le moyen inventé par les hommes pour réguler la violence potentielle de leurs relations mutuelles, violence risquant toujours un dérapage vers les extrêmes. Cette régulation culturelle est fondée sur le mécanisme sacrificiel du bouc émissaire. Le troisième étage concerne le christianisme et sa singularité. Avec l'avènement du christianisme, la régulation culturelle de la violence subit en effet une profonde mutation. En même temps qu'il dévoile le caractère mensonger du mécanisme sacrificiel, le christianisme met en place un autre type de régulation, fondé sur l'amour désintéressé(agapè) du prochain et mieux à même d'initier un processus de «bonne réciprocité» entre les personnes .En s'essayant à une transcription systémique de la théorie girardienne, l'auteur de cet audio cours s'efforce d'en montrer l'extrême généralité et la grande pertinence dans un grand nombre de domaines: pédagogie, éducation, relations familiales, sociale, politiques et internationales, stratégies militaires, commerciales, économiques, etc.

Comprendre René Girard

Prises dans la tourmente de la mondialisation économique et financière, avec son cortège de fusions/acquisitions, de délocalisation d'usines, de recherche effrénée d'un profit immédiat, les entreprises ont eu la tentation d'oublier l'humain. Et pourtant, de nombreux travaux de recherche en sciences économiques et sociales avaient montré qu'il était indispensable, pour de simples raisons non pas d'abord morales mais d'efficacité économique, de bien prendre en compte le facteur humain dans la décision managériale. Ce livre, publié pour la première fois en 1997, en était l'illustration. Reprise développée et enrichie d'un enseignement donné pendant huit ans à l'Institut d'Administration des Entreprise (IAE) de Paris (Université Panthéon-Sorbonne), l'ouvrage se voulait un guide pour les nombreux cadres en charge d'hommes, du chef d'atelier au dirigeant d'entreprise. Son ambition était de les aider à diriger plus efficacement. Pour cela, il ne fallait surtout pas faire du management des hommes et des équipes une question de spécialiste déléguée au professionnel de la Gestion des Ressources Humaines. Nous savons aujourd'hui, grâce aux modèles qui nous sont proposés par la pensée systémique, que l'entreprise est un tout organisé et unitaire dont le fonctionnement ne se découpe pas en rondelles territoriales ou fonctionnelles. C'est au manager lui-même, qu'il soit chef d'entreprise, directeur d'usine, chef d'agence ou chef de service que revient en priorité la mission de gouverner les hommes. Dès l'amont de sa décision, qu'elle soit industrielle, technique, commerciale, financière... le manager doit prendre en compte la dimension humaine. Eclairé par le recours quasi-permanent à l'approche systémique, c'est ce que cet ouvrage entend démontrer. La crise financière qui a mis l'humanité entière au bord du gouffre aura sans doute servi de leçon salutaire pour rappeler à chacun cette primauté due à l'homme dans l'économie et dans l'entreprise. Espérons que ce rappel sera durable, gage pour un développement à venir de tout l'homme et de tous les hommes.

Petits traités de spiritualité à l'usage des humains en quête de sens - La vision du monde

Résumé

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