La vita di Teresa Uzeda, nobildonna siciliana della fine dell'Ottocento, raccontata in modo magistrale, delicato e introspettivo, attraverso i suoi drammi, i suoi amori, i suoi dolori, nel quadro di un'Italia ancora in divenire. Ledizioni ripubblica in formato ePub quest'opera fuori diritti.

L'illusione

L'interesse di De Roberto per il tema dell'amore è stato sempre vivo e inestinguibile nel corso della sua carriera. In questo saggio, raccontando diverse situazioni che i personaggi hanno vissuto e da cui sono stati travolti, l'autore punta l'attenzione sulla natura dell'essere umano e su quanto questo sia volubile e indifeso di fronte allapotenza dei sentimenti.

La morte dell'amore

The sculptor Lodovico Bertini turns up on a mysterious errand at the school where a friend of his is teaching Greek. He has come, it turns out, to witness the arrival of a passenger liner, aboard which is a man whose imminent return to Italy is throwing Bertini's life into turmoil. Translated from Italian (2012) by Juan LePuenGenre: novelLength: 40, 000 words

The Wedding Mass

Sciascia considérait Les princes de Francalanza comme un des plus grands livres de la littérature italienne. Publié en 1894, ce roman immortalise la période déca-dente qu'a représentée l'Unification italienne pour la noblesse du pays. Avec verve et cynisme, l'auteur dresse le portrait d'une grande famille sicilienne, les Uzeda, princes de Francalanza, sur trois générations: prêtres paillards, seigneurs roublards, comtesses hystériques et demeurés congénitaux sont les personnages principaux de cette fresque haletante qui rappelle l'univers de Goya et qui inspira à Lampedusa son fameux Guépard

Les princes de Francalanza

En rassemblant au sein d'un même volume deux des nouvelles les plus marquantes de Federico De Roberto ayant trait à la guerre de 14-18, les éditions Cambourakis entendent faire (re)découvrir l'un des volets les moins connus de son oeuvre au public francophone. Dans La Peur, Federico De Roberto évoque avec impassibilité la mort programmée de cinq soldats désignés successivement pour rejoindre un poste de guet, et décrit avec maestria le crescendo de la peur qui s'empare de ces soldats destinés à la mort tout en menant une réflexion intense sur la fascination du courage. Le voeu ultime, inédit en France, raconte dans une première partie - similaire à la première nouvelle de par le ton et l'ambiance - toute l'horreur de la guerre. L'auteur y dépeint l'esprit de camaraderie qui lie ces hommes voués au même destin, et dont l'acharnement à rendre à la terre le corps d'un capitaine tombé au combat rappelle l'obstination et la dignité d'une Antigone moderne, avant de changer de registre pour dénoncer avec humour et cynisme la vénalité des épouses plus intéressées par la pension de leur mari que par leur héroïsme.

La peur ; nouvelles de la Grande Guerre

Fresque qui relate l'histoire de la Sicile au moment de l'unification en 1860, sur trois générations d'une grande famille de Catane, les Uzeda, princes de Francalanza. A travers leur histoire, l'auteur décrit l'hypocrisie de la classe politique italienne de l'époque et l'éternelle présence de la féodalité au pouvoir.
Sciascia considérait Les princes de Francalanza comme un des plus grands livres de la littérature italienne. Publié en 1894, ce roman immortalise la période décadente qu'a représentée l'Unification italienne pour la noblesse du pays. Avec verve et cynisme, l'auteur dresse le portrait d'une grande famille sicilienne, les Uzeda, princes de Francalanza, sur trois générations : prêtres paillards, seigneurs roublards, comtesses hystériques et demeurés congénitaux sont les personnages principaux de cette fresque haletante qui rappelle l'univers de Goya et qui inspira à Lampedusa son fameux Guépard.

Les princes de francalanza

Between prayers, as she says the rosary ("forgive us our trespasses, as we forgive those who trespass against us"), an old woman refuses to pardon her newly widowed and destitute daughter. Genre: short storyLength: 3, 600 wordsTranslated from Italian (2012) by Juan LePuen

The Rosary

La paura era nel suo sguardo tremulo, nelle sue labbra pallide, nei suoi ginocchi che si piegavano, nella mano che pareva sul punto di abbandonare il fucile. Dall'autore de "I Viceré" uno dei racconti più belli della letteratura italiana: l'atrocità della guerra, la trincea, i dialetti, la gerarchia, il coraggio e la paura concentrati nelle pagine di questo libro accompagnato dalle tavole di due bravissimi artisti franco alemanni."La paura" tavole di KRM.

L'illusione

Résumé

Plus de livres de Federico De Roberto

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques