Cultures partagées ; architectures et paysages

" Nouvelles architectures en métal " analyse 30 réalisations françaises mettant en scène le métal, que ce soit en structure ou comme revêtement : l'acier principalement, mais aussi l'aluminium ou le zinc. L'ouvrage révèle ainsi les tendances liées à l'utilisation du métal dans la production architecturale française contemporaine de ces deux dernières années. Les bâtiments sélectionnés, issus des projets soumis pour le Prix d'architecture du Moniteur, l'Equerre d'argent, ont été choisis pour leurs atouts tant esthétiques que techniques. Lieux d'habitation, lieux d'activité ou encore locaux destinés aux activités culturelles et sportives, ils couvrent l'ensemble des typologies architecturales, de la construction la plus modeste au programme de grande envergure, de la maison d'habitation au complexe sportif ou commercial. Les projets de rénovation de constructions métalliques, ou d'extension de bâtiments existants au moyen de structures et d'éléments métalliques, sont également représentés. Chaque projet est exposé sous la forme d'une fiche technique très complète, structurée sur trois doubles pages. Un texte de présentation rappelle le contexte de la construction (implantation, type de terrain, environnement, contraintes, programme), décrit les volumes et les matériaux mis en oeuvre, puis détaille la distribution et les aménagements intérieurs. Des photographies en couleurs mettent en valeur les éléments clés de chaque réalisation et sont complétées par des plans, des coupes et des détails de construction. Nouvelles architectures en métal constitue donc un ouvrage de référence pour les architectes en exercice ainsi que pour les étudiants en architecture, qui y trouveront une source d'inspiration et un recueil de détails reproductibles.

Nouvelles architectures en métal

L'histoire réunionnaise des travaux publics et des transports est le récit d'une lutte incessante entre l'homme et la nature. Avec son relief escarpé et instable, des vents atteignant les 300 km/h, des écosystèmes rares et fragiles, La Réunion impose aux bâtisseurs un déploiement de force et d'ingéniosité qui confine à l'impossible. Mais l'enjeu est de taille. Tracée à mi-pente, comme un balcon entre ciel et mer, la route des Tamarins constitue l'amorce d'un réseau circulaire de moyenne altitude qui favorise le développement économique et l'aménagement du territoire. 120 ouvrages d'art, 4 ouvrages exceptionnels, des techniques de pointe, 80 marchés publics... Avec ses 33,7 km, la route des Tamarins relève tous les défis: des défis humains, technologiques, économiques, environnementaux, qui donnent toute leur mesure à des paysages jusqu'alors méconnus. Mémoire d'une magnifique aventure collective, ce livre retrace l'histoire d'un chantier routier hors du commun.

Le pari de l'impossible - La route des Tamarins à La Réunion - Occasion

Construire un pont, c'est pour son architecte transformer le monde. C'est permettre de franchir une frontière, qu'elle soit géographique, économique, sociale ou mentale. C'est donc se mettre dans une disposition généreuse de transformation de la condition géographique, pour y intégrer un usage, un passage. En créant de nouvelles conditions, le pont va transformer le regard sur cette géographie parce qu'il entraîne une association là où il y avait dissociation.

Un balcon sur la Loire - Le pont Léopold-Sédar-Senghor

Relier une rive à l'autre, voilà qui n'a rien d'exceptionnel : c'est l'apanage de tous les ponts. Bien plus qu'un simple trait d'union, le pont Robert-Schuman ne se contente pas de compenser le déficit de franchissements entre Vaise et le quartier résidentiel Serin au pied de la Croix-Rousse, le 17e pont sur la Saône fait oeuvre d'urbanisme en conférant une aménité digne de ce nom à l'entrée nord-ouest de l'agglomération lyonnaise. Par la finesse de son trait, par l'élégance de ses arches qui enrubannent les eaux, par ses raccordements délicats aux rives réaménagées, le pont Schuman est à la fois une valeur ajoutée et un faire-valoir. Construire un pont c'est, à la fois, une décision politique, un aménagement du territoire, une conception partagée, un chantier de grande ampleur. C'est surtout une aventure humaine.  Pendant deux ans, des hommes et des femmes ont travaillé corps et âme à son édification pour faire émerger des arcs dans le ciel lyonnais. De cette belle histoire, ce livre est la mémoire, grâce à l'oeil affûté du photographe Bernard Ciancia.

Histoire d'un pont - Pont Robert-Schuman, Lyon

Comment transformer un immeuble de bureaux en logements Le Palatino est un des plus grands projets de logements de la capitale. Ce livre présente, les contraintes, les enjeux, les ambitions architecturales, techniques et humaines de la transformation d'un immeuble de grande hauteur (IGH) de bureaux en logements au coeur du quartier asiatique de Paris. Projet réalisé par Eiffage immobilier et conçu par Eric Chabeur architecte.

Open Paris palatino

Cirmad, mandaté par la Serm - l'aménageur de Montpellier Agglomération, a confié la réalisation du Pôle Eurêka à Rudy Ricciotti, Grand Prix national de l'architecture 2006, qui a conçu un bâtiment hors normes. Face au "no context" d'une zone d'activités, le bâtiment de services réunit monumentalité et néoclassicisme, béton et bois, angelots musiciens et étoiles filantes. Cette effervescence architecturale se reflète dans la diversité des activités abritées au sein du bâtiment. Pour mener à bien ce programme mixte, chaque acteur du projet a su s'accorder avec son voisin pour qu'il bénéficie des services de l'autre. Commanditaire, architecte, investisseurs : les nombreux acteurs de cette aventure architecturale, économique et sociale prennent ici la parole pour évoquer la naissance du bâtiment.

Pôle Eurêka - Un lieu, des services Cirmad et Rudy Riciotti architecte

"Octant : il s'agit d'un instrument de mesure qui permet de trouver sa direction sur l'océan. Il se trouve que mon associé et moi aimons bien La mer..." Guidée par Jean-François Périnet-Marquet, l'agence Octant honore exclusivement des commandes publiques et conçoit principalement des piscines.

Son fonctionnement, transversal et pluridisciplinaire, lui permet d'appréhender chacun de ces bâtiments hautement spécialisés de manière sereine et pertinente.

Car l'agence Octant ne développe pas une écriture systématique : elle se soumet au génie des lieux.

C'est cette démarche que les éditions Archibooks vous proposent de découvrir à travers sept chapitres thématiques, quatre histoires de bâtiments et quatre entretiens (Jean-François Périnet-Marquet, Frédéric Bavard, Alain Bernard et François Rebsamen).

"An octant is a measuring instrument that helps you to find your way across the océan.
It so happens that my partner architect and I both love the sea..." Underthe guidance of Jean-François Périnet-Marquet, the Octant architecture firm exclusively works on public commissions and mainly designs swimming pools. Its mode of operation, which is both cross-functional and multidisciplinary, allows it to approach each highly specialized building confidently and appropriately. Octant does not apply a systematic architectural style: it always uses the genius loci as the driving force for its designs.
Archibooks invites you to discover this approach in seven themed chapters, four descriptions of buildings, and four interviews (with Jean-François Périnet-Marquet, Frédéric Bavard, Alain Bernard, and François Rebsamen).

Octant architecture ; contextes

Laure Albin Guillot, un « nom sonore qui devait devenir fameux », peut-on lire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le paysage photographique français de l’époque est en effet singulièrement marqué par la signature et par l’aura de cette artiste qui, de son vivant, fut certainement la plus exposée et la plus reconnue, non seulement pour son talent et sa virtuosité mais aussi pour son engagement professionnel. La photographie de Laure Albin Guillot (1879-1962) est incontestablement la plus en vogue des années 1930 et 1940. Mais Laure Albin Guillot, tempérament discret, reste aujourd’hui une énigme. Car, paradoxalement, peu d’études ont été consacrées à l’œuvre et à la carrière de cette figure pourtant emblématique, « la plus connue et la seule qui ait su durer ». Le catalogue de l’exposition présentera un ensemble conséquent de 100 épreuves et des livres originaux de Laure Albin Guillot, ainsi que des magazines et documents d’époque issus de collections privées et publiques comme le Musée national d’art moderne, La Bibliothèque nationale de France, le musée Nicéphore Niépce (Chalon-sur-Saône), le musée français de la Photographie (Bièvres), etc. Une coédition Éditions de La Martinière/Jeu de Paume.

Cultures partagées ; architectures et paysages

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