L'Étang d'argent

Contes traditionnels de Provence

Un oiseau descend des nuages. Il se pose sur un grand livre ouvert qu'un inconnu avait oublié sur la plage: un beau livre, géant, fragile, solitaire. Un vent doux et insouciant en agite les pages. Et l'oiseau picore des mots sur le papier. Des mots bienfaisants, afin de les disséminer sur cette terre en proie à toutes les formes d'absurdité et de violence. Et l'autrice ancre l'espoir d'un monde plus équitable et meilleur autour d'un mot sans lequel aucun des autres ne peut développer son sens (AMOUR).

Le mot sans lequel rien n'existe

Au temps des conquistadores, deux peuples mayas cohabitaient en paix au pied de deux puissants volcans. L'un cultivait les richesses de la terre, l'autre confectionnait des bijoux ornés de pierres précieuses et colorées. Un amour interdit et l'arrivée des Espagnols firent tout basculer.Cette légende maya est ancrée dans l'histoire du Guatemala. Elle évoque la conquête d'un empire et la naissance d'un pays. À l'arrivée des Espagnols, vers 1520, les dissensions entre les différentes ethnies mayas facilitèrent la colonisation. On raconte qu'au pied du volcan Tolimán, le Cerro de Oro – la Prison d'or –, renferme toujours d'inestimables trésors.

Au pays de la prison d'or

«Ma première est une Belle au sommeil maléfique. Ma deuxième est une conteuse aux mille et une histoires.Mon troisième a le courage et le génie de la lampe. Mon tout est une histoire d'amour qui défie le temps.»Pour sauver l'enfant royal des intentions maléfiques d'une sorcière, Shéhérazade la plonge dans un profond sommeil. Elle se lance alors dans une longue quête pour trouver le preux chevalier perse qui, seul, pourra réveiller la princesse d'un baiser. Un croisement entre La belle au bois dormant et les Contes des mille et une nuits.

Les Mille et une Nuits de la Belle au bois dormant (Le Théâtre des Monstres, #10)

Une fable sur l'art d'être beau... et bête à la fois !
 
En un certain pays vivait un certain Empereur qui ne pensait qu'à être l'Empereur le mieux habillé du monde. Aussi, quand arrivèrent en ville deux tisserands qui se prétendirent capables de fabriquer un tissu magique invisible aux yeux des orgueilleux, des paresseux et des esprits bornés, notre Empereur fou de frous-frous leur commanda un bel habit, afin de savoir qui des membres de sa Cour était orgueilleux, paresseux ou possédait un esprit borné... Oui mais voilà : les tisserands s'avèrent être deux canailles plus douées pour la tromperie que pour l'art de la maille et rien ne se passe jamais comme on l'avait imaginé... Adaptation soignée du conte d'Andersen, Les Habits neufs de l'Empereur vous convie à un élégant voyage graphique et à une leçon de vie intemporelle...

Les habits neufs de l'empereur

Les cygnes sauvages

Il était une fois une petite fille nommée Vassilissa que sa marâtre détestait. Un jour, pour se débarrasser d'elle, celle-ci l'envoya chercher du fil et une aiguille chez la terrible Baba Yaga.Tantôt pressant le pas, tantôt très lentement, Vassilissa marcha longtemps... Quand enfin elle parvint au fond de la forêt, elle découvrit l'isba de la sorcière, entourée d'une barrière faite d'ossements humains et de crânes aux yeux flamboyants...Le plus célèbre des contes russes illuminé par les peintures de Paul Echegoyen.

L'Étang d'argent

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