Ski de fond

Ciudad de Vados was the pride of Latin America - a gleaming city of the future where only ten years before there had been barren rock and wasteland. 
But Vados had problems. When Boyd Hakluyt was called in, his brief seemed simple: reroute the traffic to drive out the shanty towns that disfigured the city. It was an easy job - until Hakluyt found himself unwillingly involved in a web of deadly political rivalries. Then came the first murder . . . 
Hakluyt started getting answers to questions he hadn't asked. Too many people got too interested in him. And the pattern that started emerging was sinister, terrifying - and almost unbelievable . . .
First published in 1965.

The Squares of the City

Voici l'histoire d'une planète condamnée dès sa naissance parce que l'étoile qu'elle accompagnait devait traverser une zone dangereuse dans l'espace interstellaire. Une région de gaz, de poussières, de tourbillons, où les étoiles se heurtaient ou encore explosaient en devenant des novae et détruisaient leur cortège de planètes.Sur cette planète, pourtant, était apparue une forme d'intelligence, un peuple étrange issu de sortes de végétaux. Et dès que ces intelligences purent lever les yeux vers le ciel, elles devinèrent, puis comprirent scientifiquement que leur destin était scellé.Mais elles ne renoncèrent pas à survivre. Certaines d'entre elles se donnèrent pour tâche, à travers les millénaires, de conquérir assez de savoir pour gagner l'espace et survivre à la destruction de leur monde.Et elles réussirent. Peut-être John Brunner nous les donne-t-il en exemple ? Avec le soin minutieux, le sens de la couleur qu'il a magistralement manifestés dans Tous à Zanzibar, il brosse ici à travers cent personnages, rnille anecdotes, le portrait d'une espèce entière acharnée à survivre.Une espèce terriblement différente de la nôtre, sauf par l'intelligence et par les sentiments.

Le Creuset du temps

Il y a des monstres dans le ciel...Et peut-être y a-t-il des monstres à la surface de la Terre, et d'autant plus monstrueux que leur visage est familier : ils ont le visage de votre frère, celui de votre amant... Quand vous les croisez dans la foule, ils vous fuient...Et vous croyez avoir révé. Car vous savez que votre frère ne peut pas être ici. Vous savez qu'il est parti dans l'espace, pour une expédition longue vers des astres lointains. Si votre frère, si votre amant étaient revenus, cela se saurait.A moins qu'ils ne soient revenus dans un tel état qu'on vous les cache...Tandis que leur enveloppe charnelle circule dans les foules terrestres...Habitée par quel esprit ?John Brunner, lui-même multiforme, aussi à l'aise dans la prospective terrifiante (« Tous à Zanzibar », « le Troupeau aveugle ») que dans le space-opéra méditatif (« le Dramaturge »), plonge ici tête baissée dans le thriller métaphysique. Nous ne nous en plaindrons pas.

Les Anges de l'ombre

The inhabited galaxy was caught in the crushing vice of a struggle for power. The political titans of the planets of mankind were making their bids for supremacy. 
The contestants: Cornice, man of strange powers, authority in the spheres of the intellect; and Bassett, man of money-power, financial and business wizard. 
As the association of human worlds drew near the teetering edge of internal revolutions; one of these men would be in a position to triumph. The only thing that neither side could foresee was that there were Others hovering among the stars, loo ling for new worlds to conquer!
(First published 1959)

The World Swappers

Le monde est en proie au chaos : la magie règne, l'humanité ploie sous le joug des tyrans et des dieux, et même les lois de la causalité semblent incertaines.

Mais un mystérieux individu vêtu de noir, appuyé sur son bâton de lumière, parcourt les terres et remplace petit à petit le chaos par l'ordre, amenant l'humanité vers un nouvel âge de rationalité. Est-il homme ou dieu ? De qui tient-il son autorité et ses pouvoirs extraordinaires lui permettant d'exaucer les voux les plus fous ?

Et si son rôle est de mettre fin à l'âge de la magie, n'est-il pas voué à se détruire lui-même ?

Le Voyageur en noir, unique ouvre de fantasy du maître de la science-fiction John Brunner, offre une réflexion tantôt amusée, tantôt mélancolique sur la folie humaine et la fragilité de nos sociétés.

Le voyageur en noir

"Built in the heart of the jungle, The City was an architect's masterpiece--& the scene of a flesh-&-blood game of chess where the unwitting pawns were real people!" The Squares of the City is a science fiction novel written by John Brunner and first published in 1965 (ISBN 0-345-27739-2). It was nominated for the Hugo Award for Best Novel in 1966. It is a sociological story of urban class warfare and political intrigue, taking place in the fictional South American capital city of Vados. It explores the idea of subliminal messages as political tools, and it is notable for having the structure of the famous 1892 chess game between Wilhelm Steinitz and Mikhail Chigorin. The structure is not coincidental, and plays an important part in the story.

La Ville est un échiquier

The time was the unguessably remote past - or perhaps the distant future. Throughout the universe, Chaos ruled. Scientific laws of cause and effect held no force; men could not know from one day to the next what to expect from their labours, and even hope seemed foolish.
In this universe there was one man to whom had been entrusted the task of bringing reason and order out of Chaos. He was a quiet man dressed in black who carried a staff made of light, and wherever he went the powers of Chaos swirled around him, buffeted him, tested him. He fought them, and little by little he drove them back.
But the Traveller in Black himself belonged to the anti-science universe. If he succeeded in his task of changing the order of the cosmos, could he continue to live?
(First published 1971)

The (Compleat) Traveller in Black

La fin du siècle comme si vous y étiez ! La fin du siècle ou la fin du monde ?Un monde où la Méditerranée est une mer morte, où la plupart des plages sont interdites. Où, certains jours, à New York, il pleut de l'acide. Où chaque homme est atteint dans sa chair, dans son équilibre vital... tandis que les microbes et la vermine triomphent, invulnérables.Un monde où le dernier espoir s'exprime sur les murs, dans ce cri : "Arrêtez, vous me faites mourir !"Tel est le slogan d'Austin Train, le fondateur légendaire du mouvement anti-pollution, qui continue avec quelques compagnons de lutter pour le salut de la Terre.Mais n'est-il pas déjà trop tard ?

Ski de fond

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