Le châtiment des Foyle / Les vengeurs du diable

Harry dickson ; integrale t.5

Le Livre Des Fantomes

La Cité de l'étrange peur

" Les histoires de fantômes, qu'on imagine avoir inventées d'un bout à l'autre, peuvent enclore une réalité " confie Jean Ray à ses lecteurs. Ajoutant : " Ceux qui les écrivent peuvent être en quelque sorte des chargés de mission d'un monde caché qui essaie de se révéler à nous, nous obligeant à réfléchir... " En témoigne ce Livre des fantômes paru en 1947 que ses éditeurs successifs ont parfois malmené faute de respecter la profonde cohérence des textes où Jean Ray traite d'une façon à nouveau très personnelle ces " univers intercalaires " que peuplent les fantômes. Dans ce monde où vivants et morts s'entrecroisent, c'est apparemment la réalité qui s'impose : ce petit monde bourgeois, provincial et volontiers casanier que Jean Ray décrit avec un humour tout flamand. Ici, les fantômes peuvent se glisser dans une fabuleuse choucroute, dans une excellente liqueur digestive ou dans le décor cossu d'une maison. Certes, la Mort elle-même entre dans la danse mais avec une bonne vieille faux et une jovialité de bon aloi. Le narrateur nous a prévenus : " Non seulement ceci n'est pas un conte, mais c'est un document "...

Le livre des fantômes

Descriptions du produitQuatrième de couvertureJean Ray est assurément une des figures les plus marquantes de la littérature fantastique contemporaine de langue française. Avec ses romans, ses innombrables contes et la centaine d'histoires baroques mettant en scène Harry Dickson, il a créé un univers ténébreux qui ne ressemble à aucun autre et où, toujours, l'inadmissible triomphe. Dans le présent recueil sont réunis trois de ses chefs-d'oeuvre : Le Grand Nocturne, Les Cercles de l'épouvante et Le Livre des fantômes. Des pages éclatantes, insolites, pleines de mystère, de bruit et de fureur.

Histoires noires et fantastiques

Qu'une horrible lueur verte assassine les gens à distance et détruise les bâtiments de Londres les mieux protégés, passe encore. Qu'un noble de la meilleure extraction, un financier de haut vol, un misérable usurier et un prince d'Orient soient victimes d'un affreux chantage, soit. Mais les morts se relèvent de leur tombe, doués d'une force incroyable et armés d'une monstrueuse mâchoire aux dents d'acier ! Qu'ils se mettent à parler d'une abominable voix de crécelle. Et que Harry Dickson découvre son double s'approchant lentement de lui, en le fixant de ses yeux morts... Alors le comble de l'épouvante est atteint ! Une véritable terreur va s'abattre sur Londres. Une vague d'effroi que les mystérieuses études du docteur Drum ne risquent, hélas, pas de calmer.

Les Aventures de Harry Dickson, Tome 7

Au fil de ses oeuvres, Jean Ray cite souvent avec gourmandise Geoffrey Chaucer (1340-1400) - le père de la littérature anglaise - comme Balzac le faisait de Rabelais pour ses Contes drolatiques. L'écrivain belge dans les Derniers contes de Canterbury rend explicitement hommage aux fameux Contes de Canterbury qui, avec le Decameron de Boccace, sont pour lui des textes fondateurs. Chaucer mettait en scène des pèlerins en route vers la cathédrale où se trouve le sanctuaire de Thomas Beckett. Dans ce recueil, très concerté, paru en 1944, Jean Ray confie la tâche à des fantômes qui conversent, hôtes de la taverne dans laquelle Chaucer situe les protagonistes de ses Contes. Le narrateur dit d'ailleurs avoir rencontré Chaucer lui-même au hasard des recoins mystérieux de Londres. Et tous ces hôtes de la nuit racontent d'immémoriales histoires où la ténèbre et l'humour font bon ménage. On y rencontre le chat Murr d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann aussi bien que sir John Falstaff, le truculent personnage de Shakespeare.

Les derniers contes de Canterbury

De nuit, harry dickson et son élève tom wills font une promenade lorsque leur attention est attirée, dans la vitrine du commerçant phil rummy - mort un mois auparavant -, par l'étrange silhouette d'un homme chauve.
 Ils perquisitionnent les lieux et découvrent une chaise royale ainsi qu'une missive annonçant l'assassinat de lady ruth branican, meurtre que dickson ne pourra éviter.  terrorisé, le mari de la victime refuse toute collaboration, mais révèle qu'il a rencontré lady branican à téhéran en perse.  le célèbre harry dickson parviendra-t-il à remonter aux sources du mal birman qui hante la "maison du grand péril ".

Le châtiment des Foyle / Les vengeurs du diable

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