Victor Hugo à la Havane - Ou deux siècles d'influence française à Cuba

Écran total

Par l'auteur de " L'irrésistible déchéance de Robert Ménard ". Un récit réalité où l'héroïne " Gaya " est le fil conducteur pour entrer dans un univers fait de manipulations, agressions, rapts, assassinats, actes d'héroïsme, enfumages médiatiques, complots, coups d'Etat, attentats, émeutes, ombres de la CIA et de Pinochet, mercenaires, poésie, trahison, amitiés, amour, amour filial... Et viva Hugo Chávez !

Rouges, les collines de Caracas

Quand l or noir devient de l or blanc... Que se passe-t-il dans le circuit de la grande distribution ? Quelle est donc cette nouvelle marque de lait que tout le monde s arrache ? Le capitaine Aiglefin lui-même se transforme en farouche défenseur du breuvage... Notre reporter Saint-Tin ne tarde pas à se rendre compte que cette accoutumance suspecte cache quelque chose de grave... Voilà donc notre héros sur la piste d un étrange trafic qui le mène au Kholtar, petite province de la péninsule arabique où Il aura bien du mal à approcher les élevages d Aurochs noirs que dirige l intriguant... docteur Molaire ! Trafic international, vaches mutantes, aventures qui vont de mal en pis... La lecture de ce nouveau Saint-Tin devrait se boire comme du petit lait... (Paiement par traites, accepté)

Paris, terre d'asile

Les vénérables jurés du grand Prix Mondial du plus grand écrivain de tous les temps traversaient la galerie des Glaces, dignes, solennels, les craquements du parquet masquant ceux de leurs articulations. Tel celui des courtisans devant le roi, le flot des courtisans se fendit...

Le gueuloir

Dalaï-lama Pas si Zen

Voici, détaillés dans ces pages, les fréquentations douteuses, les financements honteux, les hargnes sélectives, les indulgences infondées, les tentatives de dissimulations, les manipulations des chiffres, les mensonges réitérés de Reporters sans frontières, le tout au service d'une cause sans rapport avec les objectifs affichés. Observons son ardeur au travail contre les pays pauvres que l'Occident veut soumettre et son silence face aux concentrations économiques dans les médias des pays riches. Notons sa mansuétude envers les "bavures" de l'US Army, ses "oublis" dans la comptabilisation de journalistes qui en sont victimes. Ce livre dévoile les paravents de la CIA qui alimentent RSF en dollars : le Center for a Free Cuba et la National Endowment for Democracy (NED) via l'United States Agency for International Development (USAID). Et il n'y a pas qu'eux: l'Open Society Institute du milliardaire et magnat international de la presse George Soros, ami personnel de Bush, qui s'agite partout où peut être mis en place un gouvernement pro-états-unien, fait partie aussi des généreux financiers de RSF. Alors, RSF ??? Association humanitaire ou bras médiatique européen de la CIA et des faucons du Pentagone ?

Victor Hugo à la Havane - Ou deux siècles d'influence française à Cuba

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