Alex Abreu
Álex Abreu, né le 14 août 1991, à Bayamón, à Porto Rico, est un joueur portoricain de basket-ball. Il évolue au poste de meneur.
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@alexAbreu
Si j'ai un morceau de papier vierge et que je dessine une silhouette rouge, cela me fait immédiatement des sons et des formes. J'ai essayé de faire un film dans lequel chaque composant soutient les autres tout en se donnant l'espace et en stimulant la création de ce qui n'est pas à venir.
@alexAbreu
Nous avons découvert cela à mi-chemin du processus. Lorsque nous avons commencé à faire le film, il y avait des lignes de dialogue en portugais, mais nous avons ensuite changé d'avis. Le film a commencé à partir de questions très spécifiques dans le monde, en particulier en Amérique latine, mais à mi-chemin du voyage, nous avons ressenti la nécessité d'avoir des idées plus universelles qui n'étaient pas si spécifiques.
@alexAbreu
Un peu plus de 50% de ce que vous voyez à l'écran est fait à la main et les 50% restants concernaient l'émulation de ces textures sur l'ordinateur. Cependant, pour nous, lorsque nous le faisions, nous devions croire que tout était fait à la main.
@alexAbreu
Je suis sincère et je suis humain. Je fais des erreurs ou je fais les choses correctement, mais je suis humain malgré tout. Je parle de ma douleur et de ma joie, et je ne le dis pas avec des mots mais principalement avec des couleurs et des formes. C'est ce que j'ai essayé de faire avec la plus grande sincérité et l'humilité d'un enfant.
@alexAbreu
J'ai construit le film [Boy and the World] de cette façon. J'ai rassemblé tous les outils que j'utilise habituellement, comme les pinceaux, les crayons de couleur, les crayons, les aquarelles et tout ce que j'ai trouvé dans mon studio, et je les ai mis sur une table. J'avais ce sentiment de liberté et de possibilité comme si j'étais ce garçon. J'utilisais la liberté du garçon pour créer ce film.
@alexAbreu
Le réalisateur et les producteurs doivent prendre tous les risques possibles. Nous avons développé ce film avec la possibilité de créer un départ d'une page vierge et de découvrir les choses au fur et à mesure que le processus se déroulait et que nous avons compris les choses qui, au début, nous ne pouvions pas comprendre en mots.
@alexAbreu
J'ai construit le film [Boy and the World] de cette façon. J'ai rassemblé tous les outils que j'utilise habituellement, comme les pinceaux, les crayons de couleur, les crayons, les aquarelles et tout ce que j'ai trouvé dans mon studio, et je les ai mis sur une table. J'avais ce sentiment de liberté et de possibilité comme si j'étais ce garçon. J'utilisais la liberté du garçon pour créer ce film.
@alexAbreu
C'est un film réalisé de manière très radicale créative. C'était possible parce que nous n'avions pas à nous pencher au capitalisme. Je pense que le film est également un cri humaniste pour l'aide à l'animation. C'est un film [Boy and the World] avec des sensibilités complètement opposées à ce que le marché veut vendre.
@alexAbreu
Nous pensions que l'utilisation du rap entraînerait un parallèle avec la musique de protestation des années 60 et 70 que nous avons trouvées à travers la recherche pour AnimAdoc. Lorsque nous avons pensé au rap, Emicida est immédiatement venu à l'esprit et nous avons décidé de l'appeler pour créer cette chanson ramener le public sur terre et mettre leurs pieds sur terre. La chanson d'Emicida est la seule à avoir des paroles en portugais compréhensible.