Alexander Hamilton
Alexander Hamilton, né le 11 janvier 1757 à Charlestown sur l'île de Niévès et mort le 12 juillet 1804 à Greenwich Village, New York (des suites d'un duel dit duel Hamilton-Burr avec le colonel Aaron Burr), est un homme politique, financier, intellectuel et officier militaire américain. Il fonda le Parti fédéraliste. Juriste constitutionnaliste, il fut un délégué influent de la convention constitutionnelle américaine en 1787 et était un auteur éminent de Le Fédéraliste (The Federalist Papers), recueil d'articles publié entre 1787 et 1788 donnant une des interprétations faisant autorité de la Constitution.
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@alexanderHamilton
Le vrai principe d'une république est que le peuple devrait choisir qui ils plaisent pour les gouverner. La représentation est imparfaite, en proportion car le courant de la faveur populaire est vérifié. La grande source de gouvernement libre, élection populaire, devrait être parfaitement pure et la liberté la plus illimitée autorisée.
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C'est un principe général de la nature humaine, qu'un homme sera intéressé par tout ce qu'il possède, en proportion de la fermeté ou de la précarité du mandat par lequel il la détient.
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Mais comme le plan de la Convention ne vise qu'à une union ou à une consolidation partielle, les gouvernements des États conserveraient clairement tous les droits de la souveraineté qu'ils avaient auparavant, et qui n'étaient pas, par cette loi, exclusivement délégués aux États-Unis.
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Le tissu de l'empire américain devrait reposer sur la base solide du consentement du peuple. Les flux de pouvoir national devraient découler de cette fontaine pure et originale de toute autorité légitime.
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J'ai une tendre dépendance à la miséricorde du Tout-Puissant, par les mérites du Seigneur Jésus-Christ. Je suis un pécheur. Je le regarde pour la miséricorde; prier pour moi.
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Il est vain d'espérer de se prémunir contre les événements aussi puissants pour la prévoyance ou la précaution humaine, et il serait inactif de s'opposer à un gouvernement car il ne pouvait pas effectuer d'impossibilités.
@alexanderHamilton
La prospérité du commerce est désormais perçue et reconnue par tous les hommes d'État éclairés comme la source la plus utile et la plus productive de richesse nationale, et est donc devenu un objet principal de leurs soucis politiques.
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Quelle angoisse amère ne serait-elle pas souvent échappée si leur gouvernement avait contenu une sauvegarde si prévue contre la tyrannie de leurs propres passions? La liberté populaire aurait alors pu échapper au reproche indélébile du décret aux mêmes citoyens la pruche un jour et des statuts le suivant.
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L'homme est un raisonnement plutôt qu'un animal raisonnable.
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La convenance d'une loi, sous un jour constitutionnel, doit toujours être déterminée par la nature des pouvoirs sur lesquels il est fondé.
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Les constitutions ne devraient être constituées que des dispositions générales; La raison en est qu'ils doivent nécessairement être permanents et qu'ils ne peuvent pas calculer pour le changement possible des choses.
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À moins que votre gouvernement ne soit respectable, les étrangers envahiront vos droits; Et pour maintenir la tranquillité, il doit être respectable - même pour observer la neutralité, vous devez avoir un gouvernement fort.
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Il n'y a aucune position qui dépend de principes plus clairs que que chaque acte d'une autorité déléguée, contrairement à la Commission en vertu de laquelle il est exercé, est nul. Aucun acte législatif, par conséquent, contraire à la Constitution, ne peut être valide.
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Pourquoi le gouvernement a-t-il été institué? Parce que les passions de l'homme ne se conformeront pas aux dictets de la raison et de la justice sans contrainte.
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L'honneur d'une nation est sa vie.
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Et comme les vicissitudes des nations engendrent une tendance perpétuelle à l'accumulation de dettes, il devrait y avoir dans chaque gouvernement un effort perpétuel, anxieux et incessant pour réduire ce qui existe à tout moment, aussi vite que possible, de manière cohérente et intègre. et de bonne foi.
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Une dette nationale, si elle n'est pas excessive, sera pour nous une bénédiction nationale ; ce sera le puissant ciment de notre union. Cela créera aussi la nécessité de maintenir la fiscalité à un degré qui, sans être oppressif, stimulera l'industrie.
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En encadrant un gouvernement qui doit être administré par des hommes sur des hommes, la grande difficulté y réside: vous devez d'abord permettre au gouvernement de contrôler les gouvernés; Et à la place suivante, obligez-le à se contrôler.
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Les attributs de la souveraineté sont désormais appréciés par tous les États de l'Union.
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Il ne peut y avoir aucune limitation de cette autorité qui doit prévoir la défense et la protection de la communauté dans toute question essentielle à la formation, à l'orientation ou au soutien des forces nationales.
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N'oubliez pas que la liberté civile et religieuse va toujours de pair: si le fondement de l'un soit sapé, l'autre tombera bien sûr.
@alexanderHamilton
Si nous partageons avec ... un respect scrupuleux à la Constitution, le gouvernement acquiert un esprit et un ton productif de bénédictions permanentes pour la communauté. Si au contraire, ... la Constitution est méprisée ou expliquée, à chaque prétexte frivole, l'avenir du gouvernement sera faible, distrait et arbitraire. Les droits des sujets seront le sport de chaque vicissitude du parti. Il n'y aura pas de règle de conduite établie, mais tout va fluctuera avec la prévalence alternative des factions liées.
@alexanderHamilton
Le président des États-Unis serait tenu d'être destitué, jugé et après condamnation de trahison, de corruption ou d'autres crimes et délits élevés, démis de ses fonctions; et serait ensuite responsable des poursuites et des sanctions dans le cadre du droit normal. La personne du roi de Grande-Bretagne est sacrée et inviolable: il n'y a pas de tribunal constitutionnel auquel il se prête, aucune punition à laquelle il peut être soumis sans impliquer la crise d'une révolution nationale.
@alexanderHamilton
La liberté civile n'est que la liberté naturelle, modifiée et garantie par les sanctions de la société civile.
@alexanderHamilton
Le [président] n'a aucune particule de juridiction spirituelle. . . .
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Peu plus ne peut raisonnablement être visé par rapport aux personnes en général que de les faire armer correctement.
@alexanderHamilton
Pour regarder les progrès de ces efforts, il y a le bureau d'une presse libre. Pour nous donner une alarme précoce et nous mettre sur nos gardes contre les empiètements du pouvoir. C'est alors un droit de la plus haute importance, pour lesquels, au lieu de le céder, nous devons plutôt renverser notre sang.
@alexanderHamilton
Lorsque vous vous réunissez de vos plusieurs comtés de l'Assemblée législative, tous les membres étaient guidés uniquement par l'intérêt apparent de son comté, le gouvernement serait impraticable. Il doit y avoir un logement perpétuel et un sacrifice d'avantage local à l'opportunité générale.
@alexanderHamilton
L'idée de gouverner à tout moment par la simple force du droit (dont nous nous sommes dit est le seul principe admissible du gouvernement républicain) n'a d'autre endroit que dans les rêveries de ces médecins politiques dont la sagacité dédaigne les avertissements de l'enseignement expérimental.
@alexanderHamilton
S'il y a des choses telles que les axiomes politiques, la convenance du pouvoir judiciaire d'un gouvernement co-étendu avec son législatif peut être classé parmi le nombre.