Daniel Kahneman
@danielKahneman
Essentiellement, le style optimiste implique de prendre le crédit pour les succès mais peu de blâme pour les échecs.
Daniel Kahneman
Daniel Kahneman (דניאל כהנמן ; né le 5 mars 1934 à Tel-Aviv en Palestine mandataire) est un psychologue et économiste américano-israélien, professeur à l'université de Princeton, lauréat du Prix de la Banque de Suède en 2002 pour ses travaux fondateurs sur la théorie des perspectives, base de la finance comportementale. Il est aussi connu pour ses travaux sur l'économie du bonheur. Ses principales découvertes, sur les anomalies boursières et les biais cognitifs et émotionnels qui les causent, notamment l'aversion à la perte, se sont faites en association avec Amos Tversky. Kahneman, expert en psychologie cognitive et Tversky, expert en psychologie mathématique, développent ensemble des applications des mathématiques à la psychologie et l'économie.
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Essentiellement, le style optimiste implique de prendre le crédit pour les succès mais peu de blâme pour les échecs.
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Les chercheurs qui ont étudié mille vacanciers néerlandais ont conclu que de loin la plus grande quantité de bonheur extraite des vacances est dérivée de la période d'anticipation.
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Beaucoup de gens admettront qu'ils ont fait une erreur [mettre de l'argent dans les points-comes ou les télécommunications à leur apogée], mais cela ne signifie pas qu'ils ont changé d'avis sur quoi que ce soit en particulier. Cela ne signifie pas qu'ils sont maintenant en mesure d'éviter cette erreur.
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Enfin, les illusions de validité et de compétences sont soutenues par une puissante culture professionnelle. Nous savons que les gens peuvent maintenir une foi inébranlable dans toute proposition, aussi absurde, lorsqu'elles sont soutenues par une communauté de croyants aux vues similaires. Compte tenu de la culture professionnelle de la communauté financière, il n'est pas surprenant qu'un grand nombre d'individus dans ce monde se croient parmi les rares qui peuvent faire ce qu'ils croient que les autres ne le peuvent pas.
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Cependant, l'optimisme est très apprécié, socialement et sur le marché; Les gens et les entreprises récompensent les fournisseurs d'informations dangereusement trompeuses plus qu'elles récompensent les condants de vérité. L'une des leçons de la crise financière qui a conduit à la Grande Récession est qu'il y a des périodes dans lesquelles la concurrence, entre les experts et les organisations, crée des forces puissantes qui favorisent une cécité collective au risque et à l'incertitude.
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Les gens ont tendance à évaluer l'importance relative des problèmes par la facilité avec laquelle ils sont récupérés de la mémoire - et cela est largement déterminé par l'étendue de la couverture dans les médias. Des sujets fréquemment mentionnés peuplent l'esprit alors que d'autres s'éloignent de la conscience. À son tour, ce que les médias choisissent de signaler correspond à leur vision de ce qui est actuellement dans l'esprit du public. Ce n'est pas un accident que les régimes autoritaires exercent une pression substantielle sur les médias indépendants. Parce que l'intérêt public est le plus facilement suscité par des événements dramatiques et par des célébrités, les frénétiques alimentaires des médias sont courantes
@danielKahneman
De nombreuses idées nous arrivent. Nous avons l'intuition, nous avons le sentiment, nous avons l'émotion, tout cela se produit, nous ne décidons pas de le faire. Nous ne le contrôlons pas.
@danielKahneman
Une chose que nous avons perdue, que nous avions dans le passé, est un sentiment de progrès, que les choses s'améliorent. Il y a un sentiment de volatilité, mais pas de progrès.
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La plupart des moments de notre vie - et j'ai calculé, vous savez, le présent psychologique serait environ trois secondes; Cela signifie que, vous savez, dans une vie, il y en a environ 600 millions; Dans un mois, il y en a environ 600 000 - la plupart d'entre eux ne laissent pas de trace.
@danielKahneman
L'humeur affecte évidemment le fonctionnement du système 1: lorsque nous sommes inconfortables et malheureux, nous perdons le contact de notre intuition. Ces résultats ajoutent aux preuves croissantes que la bonne humeur, l'intuition, la créativité, la crédulité et la dépendance accrue à l'égard du système 1 forment un cluster. À l'autre pôle, la tristesse, la vigilance, la suspicion, une approche analytique et des efforts accrus vont également ensemble. Une humeur joyeuse desserre le contrôle du système 2 sur les performances: quand de bonne humeur, les gens deviennent plus intuitifs et plus créatifs mais aussi moins vigilants et plus sujets aux erreurs logiques.
@danielKahneman
Connaissant l'importance de la chance, vous devriez être particulièrement suspect lorsque des modèles très cohérents émergent de la comparaison des entreprises réussies et moins prospères. En présence d'aléatoire, les modèles réguliers ne peuvent être que des mirages.
@danielKahneman
La confiance excessive est une puissante source d'illusions, principalement déterminée par la qualité et la cohérence de l'histoire que vous pouvez construire, et non par sa validité.
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Je dirais que l'effort mental est relativement rare. La plupart du temps, nous noustons en route.
@danielKahneman
Des gens aiment les dirigeants qui semblent dominants, optimistes, amicaux avec leurs amis et rapidement sur la déclencheur en ce qui concerne les ennemis. Ils aiment l'audace et méprisent l'apparence de la timidité et le doute prolongé.
@danielKahneman
Beaucoup de gens admettront qu'ils ont fait une erreur [mettre de l'argent dans les points-comes ou les télécommunications à leur apogée], mais cela ne signifie pas qu'ils ont changé d'avis sur quoi que ce soit en particulier. Cela ne signifie pas qu'ils sont maintenant en mesure d'éviter cette erreur.
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L'humeur affecte évidemment le fonctionnement du système 1: lorsque nous sommes inconfortables et malheureux, nous perdons le contact de notre intuition. Ces résultats ajoutent aux preuves croissantes que la bonne humeur, l'intuition, la créativité, la crédulité et la dépendance accrue à l'égard du système 1 forment un cluster. À l'autre pôle, la tristesse, la vigilance, la suspicion, une approche analytique et des efforts accrus vont également ensemble. Une humeur joyeuse desserre le contrôle du système 2 sur les performances: quand de bonne humeur, les gens deviennent plus intuitifs et plus créatifs mais aussi moins vigilants et plus sujets aux erreurs logiques.
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Une étude a révélé que les gens qui pensaient à regarder leur film préféré ont en fait augmenté leur taux d'endorphine de 27%.
@danielKahneman
Les gens exagèrent leur confiance dans leurs plans - quelque chose que nous appelons l'erreur de planification ... l'existence du plan a tendance à induire une confiance excessive.
@danielKahneman
Si les gens échouent, ils ont l'air inepte. Si les gens réussissent, ils ont l'air forts, bons et compétents. C'est «l'effet de halo». Votre première impression d'une chose met en place vos croyances ultérieures. Si l'entreprise vous semble incompétente, vous pouvez supposer que tout ce qu'elle fait est inepte.
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Pour de nombreuses personnes, les déplacements sont la pire partie de la journée, et les politiques qui peuvent rendre les déplacements plus courts et plus pratiques seraient un moyen simple de réduire les souffrances mineures mais généralisées.
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Connaissant l'importance de la chance, vous devriez être particulièrement suspect lorsque des modèles très cohérents émergent de la comparaison des entreprises réussies et moins prospères. En présence d'aléatoire, les modèles réguliers ne peuvent être que des mirages.
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Une chose que nous avons perdue, que nous avions dans le passé, est un sentiment de progrès, que les choses s'améliorent. Il y a un sentiment de volatilité, mais pas de progrès.
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Les gens parlent de la nouvelle économie et de se réinventer sur le lieu de travail et, en ce sens, la plupart d'entre nous sont moins sûrs.
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Les gens exagèrent leur confiance dans leurs plans - quelque chose que nous appelons l'erreur de planification ... l'existence du plan a tendance à induire une confiance excessive.
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Beaucoup de gens admettront qu'ils ont fait une erreur [mettre de l'argent dans les points-comes ou les télécommunications à leur apogée], mais cela ne signifie pas qu'ils ont changé d'avis sur quoi que ce soit en particulier. Cela ne signifie pas qu'ils sont maintenant en mesure d'éviter cette erreur.
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Des gens aiment les dirigeants qui semblent dominants, optimistes, amicaux avec leurs amis et rapidement sur la déclencheur en ce qui concerne les ennemis. Ils aiment l'audace et méprisent l'apparence de la timidité et le doute prolongé.
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L'ambiance des gens est vraiment déterminée principalement par leur composition et leur personnalité génétiques, et en second lieu par leur contexte immédiat, et seulement à la troisième et quatrième place par des inquiétudes et des préoccupations et d'autres choses comme ça.
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Si les gens ne savent pas ce qui va les rendre mieux ou leur donner du plaisir, alors l'idée que vous pouvez faire confiance aux gens pour faire ce qui leur donnera du plaisir devient discutable.
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Les gens ont tendance à évaluer l'importance relative des problèmes par la facilité avec laquelle ils sont récupérés de la mémoire - et cela est largement déterminé par l'étendue de la couverture dans les médias. Des sujets fréquemment mentionnés peuplent l'esprit alors que d'autres s'éloignent de la conscience. À son tour, ce que les médias choisissent de signaler correspond à leur vision de ce qui est actuellement dans l'esprit du public. Ce n'est pas un accident que les régimes autoritaires exercent une pression substantielle sur les médias indépendants. Parce que l'intérêt public est le plus facilement suscité par des événements dramatiques et par des célébrités, les frénétiques alimentaires des médias sont courantes
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Les managers se considèrent comme des capitaines d'un navire sur une mer orageuse. Le risque pour eux est un danger, mais ils se battent, très contrôlés.