Dennis Banks
@dennisBanks
Je suis sur cette route pour le reste de ma vie.
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Je suis sur cette route pour le reste de ma vie.
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Le fait d'être choisi était un honneur, et en respect pour le membre de la famille choisi pour se présenter, les familles organisaient des festins et donnaient des manteaux de castor, des sacs de tabac en piquants et des peaux de bison de grande valeur.
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Chaque homme devrait voir la naissance de ses enfants.
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De nombreux jeunes Japonais entendaient pour la première fois les paroles des autochtones de l'Ouest.
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Ce que nous avons fait dans les années 1960 et au début des années 1970 a été d'élever la conscience de l'Amérique blanche que ce gouvernement a une responsabilité envers les Indiens. Qu'il y a des traités; Que les manuels de chaque école d'Amérique ont la responsabilité de dire la vérité. Une conscience atteinte à travers l'Amérique que si les Amérindiens devaient recourir à des bras au genou blessé, il doit vraiment y avoir quelque chose de mal. Et les Américains ont réalisé que les autochtones sont toujours là, qu'ils ont une position morale, une position juridique. De cela, notre propre peuple a commencé à ressentir la fierté.
@dennisBanks
J'ai l'impression que maintenant je - vous savez, j'ai presque 80 ans - je peux m'asseoir et prendre ma retraite, vous savez, et dites: «Écoutez, nos jeunes prennent le relais. Et c'est super. C'est ce que j'aimerais voir.
@dennisBanks
Même les gens qui viennent nous regardent avec étonnement, que nous ne courons que pour la guérison de la Terre Mère
@dennisBanks
C'est ce que je suis en train de faire. J'essaye de suivre ce que je veux faire comme mon rêve. Comment devenir indépendant de tout le monde?
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Une prise de conscience à travers l'Amérique que si les Amérindiens devaient recourir aux armes à Wounded Knee, il devait vraiment y avoir quelque chose qui n'allait pas.
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En 1978, la tradition de courir d'un village en village avec un message a été relancée. Cette première manche était de Davis à Los Angeles, à une distance de 500 miles.
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Il a également appelé les personnes traditionnelles dans les quatre directions pour renforcer les cérémonies de guérison et a demandé aux gens d'écouter les avertissements de la Terre Mère.
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Plus important encore, le sens de la spiritualité jette les graines de notre destin et le chemin que nous devons suivre.
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C'était comme un complice - il y avait une complicité entre les églises et l'État pour s'occuper du «problème indien», «résoudre le« problème indien »et essayer de changer qui nous étions.
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Je me suis enfui. J'ai continué à fuir. Presque une fois par semaine, je fuirais ces écoles. Ils m'attraperaient. Ils me ramèneraient à l'école, me battaient. Et c'était - c'était terrible.
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J'ai été emmené dans un pensionnat à l'âge de quatre ans et enlevé ma mère et mon père, mes grands-parents, avec qui je suis resté la plupart du temps, et je suis juste brusquement enlevé puis mis dans le pensionnat, 300 miles loin de notre maison.
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Même les gens qui viennent nous regardent avec étonnement, que nous ne courons que pour la guérison de la Terre Mère.
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Depuis le début, les peuples autochtones ont vécu une vie d'être en harmonie avec tout ce qui nous entoure.
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Ce que nous avons fait dans les années 1960 et au début des années 1970 a été d'élever la conscience de l'Amérique blanche que ce gouvernement a une responsabilité envers les Indiens. Qu'il y a des traités; Que les manuels de chaque école d'Amérique ont la responsabilité de dire la vérité. Une conscience atteinte à travers l'Amérique que si les Amérindiens devaient recourir à des bras au genou blessé, il doit vraiment y avoir quelque chose de mal. Et les Américains ont réalisé que les autochtones sont toujours là, qu'ils ont une position morale, une position juridique. De cela, notre propre peuple a commencé à ressentir la fierté.
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Je me suis enfui. J'ai continué à fuir. Presque une fois par semaine, je fuirais ces écoles. Ils m'attraperaient. Ils me ramèneraient à l'école, me battaient. Et c'était - c'était terrible.
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J'ai l'impression que maintenant je - vous savez, j'ai presque 80 ans - je peux m'asseoir et prendre ma retraite, vous savez, et dites: «Écoutez, nos jeunes prennent le relais. Et c'est super. C'est ce que j'aimerais voir.
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Depuis le début, les peuples autochtones ont vécu une vie d'être en harmonie avec tout ce qui nous entoure
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C'est une compréhension avec le grand esprit ou le créateur que nous suivrons ces voies.
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Si nous suivons l'homme blanc, nous allons nous noyer avec l'homme blanc.
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Lorsque nous sommes arrivés au Japon en 1988, nous n'étions pas préparés au soutien écrasant qui nous est montré.
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En 1967, la dernière caravane d'unité a eu lieu.
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J'ai une fête des pères tous les jours.
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Chaque homme devrait voir la naissance de ses enfants
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Et les Américains ont réalisé que les autochtones sont toujours là, qu'ils ont un statut moral, un statut légal.
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J'ai une fête des pères tous les jours
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Ce que nous avons fait dans les années 1960 et au début des années 1970 a été d'élever la conscience de l'Amérique blanche que ce gouvernement a une responsabilité envers les Indiens. Qu'il y a des traités; Que les manuels de chaque école d'Amérique ont la responsabilité de dire la vérité. Une conscience atteinte à travers l'Amérique que si les Amérindiens devaient recourir à des bras au genou blessé, il doit vraiment y avoir quelque chose de mal. Et les Américains ont réalisé que les autochtones sont toujours là, qu'ils ont une position morale, une position juridique. De cela, notre propre peuple a commencé à ressentir la fierté.