Eudora Welty
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@eudoraWelty
Mais combien mieux, en tout cas, se demander que de ne pas se demander, danser avec étonnement et faire des éloges, que de ne pas en savoir assez pour danser ou louer du tout; Être béni avec plus d'imagination que vous ne le savez peut-être au moment donné quoi faire que d'être maudit avec trop peu pour vous donner - et d'autres personnes - tout problème.
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La fiction nous montre le passé ainsi que le moment présent dans la lumière mortelle; C'est un art servi par l'indélibilité de notre mémoire, et un habilité par une conscience nette et prophétique de ce qui est éphémère. C'est par l'éphémère que notre sentiment est si fortement excité pour ce qui perdure.
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Ma principale déception a toujours été qu'un livre devait se terminer. Et maintenant quoi? Mais je ne pense pas que j'ai été déçu par les livres. Je devais être ce que tout auteur considérerait comme un lecteur idéal. J'ai senti que chaque douleur et plaisir souffraient ou appréciés par tous les personnages. Oh, mais je me suis identifié!
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Elle a lu Dickens dans l'esprit dans lequel elle se serait enfui avec lui.
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S'imaginer à l'intérieur d'une autre personne ... est ce qu'un écrivain d'histoire fait dans chaque œuvre; C'est sa première étape, et son dernier aussi, je suppose.
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Comment pouvez-vous sortir sur un membre si vous ne connaissez pas votre propre arbre? Aucun art n'est jamais sorti de ne pas risquer votre cou. Et le risque - l'expérience - est une partie considérable de la joie de faire.
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Le jardinage s'apparente à l'écriture d'histoires. Aucune expérience n'aurait pu m'apprendre plus sur le chagrin ou les fleurs, sur la survie en allant, vos doigts dans le sol, la limite de l'épuisement physique.
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Rendre la réalité réelle est la responsabilité de l'art. Il s'agit donc d'une affectation pratique un auto-assignment: pour réaliser, par une sensibilité cultivée pour observer la vie, une capacité de recevoir des impressions, une vision solitaire, incessante, sans aide et indemne et transférer cette vision sans distorsion sur la Pages d'un roman, où, si le lecteur est si persuadé, il se transformera en illusion du lecteur.
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Je suis un écrivain qui est venu d'une vie abritée. Une vie abrité peut également être une vie audacieuse. Pour tout, audacieux, commence de l'intérieur.
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S'imaginer à l'intérieur d'une autre personne ... est ce qu'un rédacteur d'histoire fait dans chaque œuvre; C'est sa première étape, et son dernier aussi, je suppose.
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Mes propres mots, quand je travaille sur une histoire, j'entends aussi au fur et à mesure, de la même voix que j'entends quand je lis dans les livres. Quand j'écris et que le son revient à mes oreilles, alors j'agis pour apporter des modifications. J'ai toujours fait confiance à cette voix.
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S'imaginer à l'intérieur d'une autre personne ... est ce qu'un rédacteur d'histoire fait dans chaque œuvre; C'est sa première étape, et son dernier aussi, je suppose.
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Le mystère de la façon dont nous connaissons peu les autres n'est pas plus grand que le mystère de combien, pensait Laurel.
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Le dialogue doit montrer non seulement quelque chose sur le haut-parleur qui est sa propre révélation, mais aussi peut-être quelque chose sur l'orateur qu'il ne connaît pas mais que l'autre personnage le sait.
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Je voulais lire immédiatement. La seule peur était celle des livres qui se terminaient.
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L'art n'est jamais la voix d'un pays, c'est une chose encore plus précieuse, la voix de l'individu, faisant de son mieux pour parler, pas le confort de toute sorte, mais la vérité. Et l'art qui le dit le plus incontestablement, le plus directement, le plus divers, le plus pleinement, est la fiction.
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Ma passion continue est de séparer un rideau, ce voile invisible de l'indifférence qui tombe entre nous et qui nous aveugle à la présence de l'autre, l'émerveillement de l'autre, le sort humain de l'autre.
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Tout audace sérieux commence de l'intérieur.
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C'est notre voyage intérieur qui nous amène à travers le temps - en avant ou en arrière, rarement en ligne droite, le plus souvent en spirale. Chacun de nous bouge, change, par rapport aux autres. Comme nous le découvrons, nous nous souvenons; Se souvenir, nous découvrons; Et le plus intensément, nous en faisons l'expérience lorsque nos voyages séparés convergent. Notre expérience de vie à ces points de rencontre est l'un des domaines dramatiques chargés de la fiction.
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Le premier acte de perspicacité est de jeter les étiquettes. Dans la fiction, bien que nous n'écrivons pas nécessairement sur nous-mêmes, nous écrivons de nous-mêmes, nous utilisant nous-mêmes; Ce que nous apprenons, à quoi nous sommes sensibles, ce que nous ressentons fortement - ils deviennent nos personnages et allons pour faire nos complots. Les personnages de la fiction sont conçus de l'intérieur, et ils ont donc leur propre vie intérieure; Ce sont des individus à chaque fois.
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Ma principale déception a toujours été qu'un livre devait se terminer. Et maintenant quoi? Mais je ne pense pas que j'ai été déçu par les livres. Je devais être ce que tout auteur considérerait comme un lecteur idéal. J'ai senti que chaque douleur et plaisir souffraient ou appréciés par tous les personnages. Oh, mais je me suis identifié!
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Les personnages prennent la vie parfois par chance, mais je soupçonne que c'est quand vous pouvez écrire plus entièrement de vous-même, à l'intérieur de la peau, du cœur, de l'esprit et de l'âme d'une personne qui n'est pas vous-même, qu'un personnage devient à lui-même un autre être humain sur la page.
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Puisque nous devons et rédigerons à chacun notre manière, nous pourrons, pendant l'écriture réelle, obtenir des instructions plus durables non pas de l'œuvre d'autrui, quelles que soient ses bénédictions, mais mieux que la nôtre, mais de nos propres pauvres pages rayées. Pour ceux-ci, nous pouvons tenir la vie. Autrement dit, nous sommes nés avec un esprit et un cœur pour tenir chaque page et demander: est-ce valable?
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J'ai lu des livres de bibliothèque aussi vite que je pouvais y aller, en les faisant jaillir dans le panier de mon vélo. Depuis la minute où j'ai atteint notre maison, j'ai commencé à lire. Chaque livre que j'ai saisi, de «Bunny Brown et sa sœur Sue au Camp Rest-a-the», à «Vingt mille ligues sous la mer», défendait le souhait dévorant de lire instantanément accordé. Je savais que c'était le bonheur, je le savais à l'époque. Le goût n'est pas aussi important; Il vient en son temps.
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Ma principale déception a toujours été qu'un livre devait se terminer. Et maintenant quoi? Mais je ne pense pas que j'ai été déçu par les livres. Je devais être ce que tout auteur considérerait comme un lecteur idéal. J'ai senti que chaque douleur et plaisir souffraient ou appréciés par tous les personnages. Oh, mais je me suis identifié!
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Je ne suis pas très éloquent sur des choses comme celle-ci, mais je pense que l'écriture et la photographie vont de pair. Je ne veux pas dire que ce sont des arts liés, car ils ne le sont pas. Mais la personne qui le fait, je pense, apprend des deux choses sur l'exactitude de l'œil, de l'observation et de la sympathie envers ce qui est devant vous ... c'est une question d'honnêteté ou de vérité, et un moyen de le trouver dans vous-même, comment en avoir besoin et en apprendre.
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Les enfants, comme les animaux, utilisent tous leurs sens pour découvrir le monde. Ensuite, les artistes viennent le découvrir de la même manière ... ou maintenant, nous entendrons un artisit qui ne l'a jamais perdu.
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L'écriture d'un roman prend la vie telle qu'elle existe déjà, non pas pour le signaler mais pour faire un objet, vers la fin que le travail fini pourrait contenir cette vie à l'intérieur et l'offrir au lecteur. L'essence ne sera pas, bien sûr, la même chose que la matière première; Ce n'est même pas la même famille de choses. Le roman est quelque chose qui n'a jamais été auparavant et ne sera plus.
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Mes propres mots, quand je travaille sur une histoire, j'entends aussi au fur et à mesure, de la même voix que j'entends quand je lis dans les livres. Quand j'écris et que le son revient à mes oreilles, alors j'agis pour apporter des modifications. J'ai toujours fait confiance à cette voix.
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Quand j'étais enfant et que la neige est tombée, ma mère s'est toujours précipitée dans la cuisine et a fait des glaces de neige et des blancs de divinité, du sucre et des pacanes, principalement. C'était une alouette à l'époque et j'associe toujours le fudge de divinité aux tempêtes de neige.