Gary Ross
Gary Ross est un scénariste, producteur, réalisateur et acteur américain né le 3 novembre 1956 à Los Angeles, Californie (États-Unis).
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@garyRoss
Harry Potter a créé une génération de lecteurs à une époque où les enfants auraient pu disparaître dans les profondeurs de l'internet. Ce n'est pas un mince exploit. Toutes les séries de livres ont une dette de gratitude envers J.K. Rowling.
@garyRoss
"Pleasantville" semble ambitieuse sur le plan tonal, mais elle peut gérer une large gamme de tons car elle est tellement fantaisiste.
@garyRoss
C'est intéressant - dans «Fail Safe», ils n'ont pas reculé. Nous avons été élevés avec une sorte de ce spectre de cet Armageddon et vivons en dessous, donc ce sont probablement les films. «Échec sûr» m'a hanté.
@garyRoss
La plupart des sciences de la science-fiction modernes sont allés à l'école sur «Dune». Même «Harry Potter» avec son «protagoniste de garçon qui n'a pas encore grandi dans son destin» partage un thème commun. Quand je l'ai lu pour la première fois, j'avais l'impression d'avoir appris une autre langue, maîtrisé une nouvelle culture, adopté une nouvelle religion.
@garyRoss
Vous pouvez drainer la vie et les nuances et la complexité des choses en les homogénéisant pour rendre tout harmonieusement terne, plat, sans conflit, sans conflit.
@garyRoss
J'ai tendance à aimer les acteurs. J'ai d'abord été formé en tant qu'acteur, donc je suis attiré par les acteurs.
@garyRoss
Je veux dire, dans «Big» et «Pleasantville», c'est un voyage que les personnages continuent où je pense qu'ils viennent se rencontrer à la fin et qui ils sont réellement et donner une voix pleine à qui ils sont réellement. Et cela, vous savez, me fascine évidemment pour une raison quelconque. Peut-être que je ne grandissais pas adéquatement.
@garyRoss
Je pense que les films jouent un rôle précieux en faisant passer les gens à l'acte de lire. Je pense que ce phénomène crée simplement des lecteurs. Au début, ils vont aimer «Harry Potter», ou ils peuvent aimer «The Hunger Games», mais après cela, ils vont adorer l'acte de lire et de se demander: «Que puis-je lire d'autre?
@garyRoss
Il n'y a pas de bonne façon de vivre. Vous empêchez beaucoup de vie en essayant de se conformer à ce genre d'idéal ou de stéréotype. Et c'est une inclination naturelle dans un monde où il est si complexe et si parfois sans valeur, moralement en faillite et chaotique que nous voulons revenir à quelque chose dans notre passé.
@garyRoss
N'importe quel réalisateur, si vous leur demandez vraiment, vous dira que la chose la plus difficile à faire est comme une table à manger ou une scène de dialogue parce que vous devez maintenir cette électricité maintenue tout au long du film.
@garyRoss
La gamme dynamique d'un appareil photo numérique n'est pas beaucoup plus grande que le film, en particulier si vous poussez un peu l'ASA.
@garyRoss
Les gens qui veulent être une star se font coincer les dents. Les gens qui veulent être acteurs se mettent au travail.
@garyRoss
Je pense que le CG est un instrument pour créer la réalité. Je ne pense pas que ce soit un instrument pour créer une réalité accrue.
@garyRoss
Mes années 50 étaient différentes des années 50 des autres. Le mythe n'a pas imprégné notre monde, «Donna Reed» et tout ça. J'en ai envie, je voulais être comme d'autres familles normales à la télévision.
@garyRoss
Il n'y a pas beaucoup de gens dans l'équipe Gary. En fait, c'est deux personnes. Mes enfants.
@garyRoss
J'ai des favoris. J'adore Chaplin; Je veux dire que j'aime vraiment Chaplin. Je pense juste qu'il y a une grâce et une élégance qui n'a presque jamais été égalée.
@garyRoss
Si vous regardez l'ouverture de «privé Ryan», vous êtes tellement dans le point de vue de ces gars et il y a tout un monde tourbillonnant tout autour d'eux. Vous apprenez cette géographie telle qu'ils l'apprennent.
@garyRoss
J'adore «Chaplin»; Je veux dire que j'aime vraiment «Chaplin». Je pense juste qu'il y a une grâce et une élégance qui n'a presque jamais été égalée.
@garyRoss
Vraiment, chaque époque a sa propre fausse nostalgie. Nous avons tous mis une clôture autour de quelque chose. Pour ma génération, c'était les années 50, et pour d'autres générations, ce sera autre chose.
@garyRoss
Je veux dire, qu'est-ce que le racisme? Le racisme est une projection de nos propres peurs sur une autre personne. Qu'est-ce que le sexisme? C'est notre propre vulnérabilité sur notre puissance et notre masculinité projetées comme notre besoin de subjuguer une autre personne, vous savez? Le fascisme, la même chose: les gens essaient de désordonner notre État, donc je légse légiférer comme un moyen de contrôler mon environnement.
@garyRoss
J'ai adoré faire «The Hunger Games» - c'était l'expérience la plus heureuse de ma vie professionnelle. Lionsgate m'a soutenu d'une manière que peu de réalisateurs connaissent jamais dans une franchise: ils m'ont permis de faire le film que je voulais faire et de soutenir le film d'une manière qui ne nécessite aucune explication au-delà des résultats remarquables.
@garyRoss
Les grands sièges de puissance ont tendance à être larges et ouverts, pas verticaux et en flèche. La place rouge, Tiananmen Square, la porte de Brandenburg à Berlin - toutes massives mais avec de grands espaces ouverts qui projettent une image de puissance.
@garyRoss
Mes années 50 étaient différentes des années 50 des autres. Le mythe n'a pas imprégné notre monde, «Donna Reed» et tout ça. J'en ai envie, je voulais être comme d'autres familles normales à la télévision.
@garyRoss
Je veux dire, qu'est-ce que le racisme? Le racisme est une projection de nos propres peurs sur une autre personne. Qu'est-ce que le sexisme? C'est notre propre vulnérabilité sur notre puissance et notre masculinité projetées comme notre besoin de subjuguer une autre personne, vous savez? Le fascisme, la même chose: les gens essaient de désordonner notre État, donc je légse légiférer comme un moyen de contrôler mon environnement.
@garyRoss
Je veux dire, qu'est-ce que le racisme? Le racisme est une projection de nos propres peurs sur une autre personne. Qu'est-ce que le sexisme? C'est notre propre vulnérabilité sur notre puissance et notre masculinité projetées comme notre besoin de subjuguer une autre personne, vous savez? Le fascisme, la même chose: les gens essaient de désordonner notre État, donc je légse légiférer comme un moyen de contrôler mon environnement.
@garyRoss
Harry Potter a créé une génération de lecteurs à une époque où les enfants auraient pu disparaître dans les profondeurs de l'internet. Ce n'est pas un mince exploit. Toutes les séries de livres ont une dette de gratitude envers J.K. Rowling.
@garyRoss
En fin de compte, tant de Dr Seuss concerne l'autonomisation. Il nous invite à disparaître dans notre imagination, puis élimine les portes de ce que cela peut signifier.
@garyRoss
Évidemment, j'aime les films «The Godfather». Je pense qu'ils sont phénoménaux.
@garyRoss
J'ai adoré faire «The Hunger Games» - c'était l'expérience la plus heureuse de ma vie professionnelle. Lionsgate m'a soutenu d'une manière que peu de réalisateurs connaissent jamais dans une franchise: ils m'ont permis de faire le film que je voulais faire et de soutenir le film d'une manière qui ne nécessite aucune explication au-delà des résultats remarquables.
@garyRoss
La plupart des sciences de la science-fiction modernes sont allés à l'école sur «Dune». Même «Harry Potter» avec son «protagoniste de garçon qui n'a pas encore grandi dans son destin» partage un thème commun. Quand je l'ai lu pour la première fois, j'avais l'impression d'avoir appris une autre langue, maîtrisé une nouvelle culture, adopté une nouvelle religion.