Henry Sylvester Jacoby
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@henrySylvesterJacoby
Il sera presque impossible de ralentir le réchauffement sensiblement sans condamner une grande partie du monde à la pauvreté à moins que des sources d'énergie qui émettent peu ou pas de dioxyde de carbone ne deviennent compétitives avec les combustibles fossiles conventionnels.
@henrySylvesterJacoby
Kyoto est susceptible de produire beaucoup moins que la réduction des émissions ciblées. Cet échec sera très probablement tapissé avec une comptabilité créative, des définitions changeantes des puits de carbone, etc. Si cela se produit, la crédibilité du processus international pour résoudre le changement climatique sera en danger.
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Kyoto est susceptible de produire beaucoup moins que la réduction des émissions ciblées. Cet échec sera très probablement tapissé avec une comptabilité créative, des définitions changeantes des puits de carbone, etc. Si cela se produit, la crédibilité du processus international pour résoudre le changement climatique sera en danger.
@henrySylvesterJacoby
L'impact du protocole Kyoto sur la température mondiale est assez modeste, en particulier pour le premier siècle. La réduction de la température moyenne globale dans le cas de l'annexe I par rapport à la référence en 2100 est de 0,13 ° C; Cela se compare à une différence de 0,17 ° C par rapport au protocole Kyoto calculé par Wigley. La réduction de la température de l'exécution optimale est essentiellement la même que les fonctions de Kyoto au 22e siècle.
@henrySylvesterJacoby
Chaque année qui passe, la difficulté de atteindre une cible quantitative fixe augmente progressivement. De plus, les estimations plausibles du moment où le protocole entrerait en vigueur laisse une si petite fenêtre de temps avant la première période d'engagement que la réalisation des cibles de Kyoto finira par passer hors de portée.
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Il sera presque impossible de ralentir le réchauffement sensiblement sans condamner une grande partie du monde à la pauvreté à moins que des sources d'énergie qui émettent peu ou pas de dioxyde de carbone ne deviennent compétitives avec les combustibles fossiles conventionnels.
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Si les pays participants relativement riches souhaitent stabiliser les concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre, ils devront payer au moins certains pays pauvres pour réduire leurs émissions. La réalisation d'une réduction substantielle de cette manière implique des transferts internationaux de richesse à une échelle bien au-delà de tout dans l'histoire enregistrée. Il n'y a pas de soutien politique efficace à un tel effort herculéen, en particulier aux États-Unis.
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Si les pays participants relativement riches souhaitent stabiliser les concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre, ils devront payer au moins certains pays pauvres pour réduire leurs émissions. La réalisation d'une réduction substantielle de cette manière implique des transferts internationaux de richesse à une échelle bien au-delà de tout dans l'histoire enregistrée. Il n'y a pas de soutien politique efficace à un tel effort herculéen, en particulier aux États-Unis.
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Les différentes politiques réduisent les dommages que par un montant modeste. En effet, l'une des surprises est le peu que les politiques affectent les dommages du réchauffement climatique. Les raisons sont que, parce qu'il y a tellement d'inertie dans le système climatique et parce que le protocole a réduit l'augmentation de la température mondiale d'une fraction d'un degré au cours du prochain siècle.
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Il sera presque impossible de ralentir le réchauffement sensiblement sans condamner une grande partie du monde à la pauvreté à moins que des sources d'énergie qui émettent peu ou pas de dioxyde de carbone ne deviennent compétitives avec les combustibles fossiles conventionnels.
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Si les pays participants relativement riches souhaitent stabiliser les concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre, ils devront payer au moins certains pays pauvres pour réduire leurs émissions. La réalisation d'une réduction substantielle de cette manière implique des transferts internationaux de richesse à une échelle bien au-delà de tout dans l'histoire enregistrée. Il n'y a pas de soutien politique efficace à un tel effort herculéen, en particulier aux États-Unis.
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Si les pays participants relativement riches souhaitent stabiliser les concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre, ils devront payer au moins certains pays pauvres pour réduire leurs émissions. La réalisation d'une réduction substantielle de cette manière implique des transferts internationaux de richesse à une échelle bien au-delà de tout dans l'histoire enregistrée. Il n'y a pas de soutien politique efficace à un tel effort herculéen, en particulier aux États-Unis.
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L'impact du protocole Kyoto sur la température mondiale est assez modeste, en particulier pour le premier siècle. La réduction de la température moyenne globale dans le cas de l'annexe I par rapport à la référence en 2100 est de 0,13 ° C; Cela se compare à une différence de 0,17 ° C par rapport au protocole Kyoto calculé par Wigley. La réduction de la température de l'exécution optimale est essentiellement la même que les fonctions de Kyoto au 22e siècle.
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Kyoto est susceptible de produire beaucoup moins que la réduction des émissions ciblées. Cet échec sera très probablement tapissé avec une comptabilité créative, des définitions changeantes des puits de carbone, etc. Si cela se produit, la crédibilité du processus international pour résoudre le changement climatique sera en danger.