Ronald Wright
Ronald Wright, né en 1948 à Londres en Angleterre, est un historien et un écrivain canadien. Il vit en Colombie-Britannique. Il étudie l'archéologie à l'université de Cambridge et à celle de Calgary, dont il est docteur honoris causa depuis 1996.
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@ronaldWright
Le capitalisme nous attire comme le lièvre mécanique avant les lévriers, insistant sur le fait que l'économie est infinie et partage donc hors de propos. Juste assez de lévriers attrapent le lièvre surfacique de temps en temps pour garder les autres en marche jusqu'à ce qu'ils tombent. Dans le passé, ce n'était que le pauvre tout ce jeu; Maintenant, c'est la planète.
@ronaldWright
La raison la plus convaincante de la réforme de notre système est que le système ne s'intéresse à personne. C'est une machine à suivre.
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Les sociétés qui ne mangent pas les gens sont fascinées par ceux qui le font.
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Chaque fois que l'histoire se répète, le prix augmente.
@ronaldWright
Aujourd'hui encore, certains optent pour le confort de la mystification, préférant croire que les merveilles du monde antique ont été construites par les atlantes, les dieux ou les voyageurs spatiaux, plutôt que par des milliers de personnes qui pesaient au soleil. Une telle pensée prive nos précurseurs de leur due et de nous de leur expérience. Parce que alors on peut croire tout ce que l'on aime du passé - sans avoir à affronter les os, les potsherds et les inscriptions qui nous disent que des gens du monde entier, à maintes reprises, ont fait des avancées et des erreurs similaires.
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Comme toutes les créatures, les humains ont fait leur chemin dans le monde par essais et erreurs. Contrairement à d'autres créatures, nous avons une présence si colossale que l'erreur est un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre. Le monde est devenu trop petit pour nous pardonner de grandes erreurs.
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Aujourd'hui encore, certains optent pour le confort de la mystification, préférant croire que les merveilles du monde antique ont été construites par les atlantes, les dieux ou les voyageurs spatiaux, plutôt que par des milliers de personnes qui pesaient au soleil. Une telle pensée prive nos précurseurs de leur due et de nous de leur expérience. Parce que alors on peut croire tout ce que l'on aime du passé - sans avoir à affronter les os, les potsherds et les inscriptions qui nous disent que des gens du monde entier, à maintes reprises, ont fait des avancées et des erreurs similaires.
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Aujourd'hui encore, certains optent pour le confort de la mystification, préférant croire que les merveilles du monde antique ont été construites par les atlantes, les dieux ou les voyageurs spatiaux, plutôt que par des milliers de personnes qui pesaient au soleil. Une telle pensée prive nos précurseurs de leur due et de nous de leur expérience. Parce que alors on peut croire tout ce que l'on aime du passé - sans avoir à affronter les os, les potsherds et les inscriptions qui nous disent que des gens du monde entier, à maintes reprises, ont fait des avancées et des erreurs similaires.
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Aujourd'hui encore, certains optent pour le confort de la mystification, préférant croire que les merveilles du monde antique ont été construites par les atlantes, les dieux ou les voyageurs spatiaux, plutôt que par des milliers de personnes qui pesaient au soleil. Une telle pensée prive nos précurseurs de leur due et de nous de leur expérience. Parce que alors on peut croire tout ce que l'on aime du passé - sans avoir à affronter les os, les potsherds et les inscriptions qui nous disent que des gens du monde entier, à maintes reprises, ont fait des avancées et des erreurs similaires.
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Aujourd'hui encore, certains optent pour le confort de la mystification, préférant croire que les merveilles du monde antique ont été construites par les atlantes, les dieux ou les voyageurs spatiaux, plutôt que par des milliers de personnes qui pesaient au soleil. Une telle pensée prive nos précurseurs de leur due et de nous de leur expérience. Parce que alors on peut croire tout ce que l'on aime du passé - sans avoir à affronter les os, les potsherds et les inscriptions qui nous disent que des gens du monde entier, à maintes reprises, ont fait des avancées et des erreurs similaires.
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Le capitalisme nous attire comme le lièvre mécanique avant les lévriers, insistant sur le fait que l'économie est infinie et partage donc hors de propos. Juste assez de lévriers attrapent le lièvre surfacique de temps en temps pour garder les autres en marche jusqu'à ce qu'ils tombent. Dans le passé, ce n'était que le pauvre tout ce jeu; Maintenant, c'est la planète.
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La raison la plus convaincante de la réforme de notre système est que le système ne s'intéresse à personne. C'est une machine à suivre.
@ronaldWright
Comme la plupart des problèmes de technologie, la pollution est un problème d'échelle. La biosphère a peut-être pu tolérer nos vieux amis sales charbon et pétrole si nous les brûlons progressivement, mais combien de temps peut-il résister à un feu de consommation si frénétique que la taille sombre de cette planète brille comme une braie fourrée dans la nuit de l'espace .
@ronaldWright
Si la civilisation doit survivre, elle doit vivre sur l'intérêt, pas dans la capitale, de la nature.
@ronaldWright
L'Amérique semblait une terre vierge attendant la civilisation. Mais l'Europe avait fait le désert qu'elle avait trouvé ; L'Amérique n'était pas vierge, elle était veuve.