Stephen Spender
@stephenSpender
Bien sûr, l'effort est de me mettre en dehors de la gamme ordinaire de ce qu'on appelle les statistiques. Une centaine sont tuées dans les banlieues extérieures. Eh bien, eh bien, je continue.
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Stephen Spender, né le 28 février 1909 à Kensington et mort le 16 juillet 1995 à Westminster, est un poète, romancier et essayiste britannique fortement engagé dans l'action pour la justice sociale et connu pour ses idées sur la lutte des classes.
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Bien sûr, l'effort est de me mettre en dehors de la gamme ordinaire de ce qu'on appelle les statistiques. Une centaine sont tuées dans les banlieues extérieures. Eh bien, eh bien, je continue.
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Ne laissez pas progressivement le trafic étouffant de bruit et brouillonnez la floraison de l'esprit.
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Il y a une certaine justice dans la critique.
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L'une de mes grandes surprises lorsque j'étais en Amérique était il y a environ vingt-cinq ans à Harvard, en entendant Randall Jarrell délivrer une attaque amère sur la façon dont les poètes ont été négligés. Pourtant, il y avait environ deux mille personnes présentes, et il était payé cinq cents dollars pour avoir livré cette attaque.
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Peindre ici pas de désespoir drapés, pas de nuages tristes, où repose l'âme, proclame l'éternité. Mais laissez le mal crier aussi brut que les blessures, cette fois oublie et ne guérit jamais, beaucoup moins transcende.
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Parfois, quand j'écris, je suis conscient d'un rythme, d'une danse, d'une fureur, qui est encore vide de mots.
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Les vus et voyant doucement frappent mutuellement leur barrière de verre qui arrête la vue. Mais le monde se cache dans les volcans et l'histoire de la faute a poussé dans son cœur; Et pour moi-même, mon être est mon enfance, ma passion et mes entrailles et les racines des sens; Je suis pressé à l'intérieur d'un masque à l'arrière de l'amour, à l'arrière de l'air, à l'arrière de la lumière.
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Peindre ici pas de désespoir drapés, pas de nuages tristes, où repose l'âme, proclame l'éternité. Mais laissez le mal crier aussi brut que les blessures, cette fois oublie et ne guérit jamais, beaucoup moins transcende.
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Bien que les poètes soient vains et ambitieux, leur vanité et leur ambition sont de la plus pure espèce accessible en ce monde. Ils ont l'ambition d'être acceptés pour ce qu'ils sont finalement comme le révèle leur poésie.
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Personne ne doit avoir faim: l'homme ne doit pas dépenser également. Notre objectif que nous obligeons: l'homme sera l'homme.
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Quoi qu'il arrive, je ne serai jamais seul, j'aurai toujours un tarif, une affaire ou une révolution.
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Mon oncle était célèbre pour son point de vue équilibré. Au moment où j'écris (quand il était presque soixante-dix), il était devenu si équilibré, que l'acte d'équilibrage semblait plutôt automatique. Le même poids, car un épicier met un poids contre une livre de sucre.
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Mes paroles aiment les yeux qui tressaillirent de la lumière, refusent et fermaient l'obscurité; Mes actes coulés à leurs opposés par la violence impatient brisent le chemin séquentiel; Ils volent sur une circonférence pour éviter le centre.
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Le but ultime de la politique n'est pas la politique, mais les activités qui peuvent être pratiquées dans le cadre politique de l'État. Par conséquent, une déclaration efficace de ces activités - par ex. La science, l'art, la religion - est en soi une déclaration d'objectifs ultimes autour desquels les moyens politiques cristalliseront ... une société sans valeurs en dehors de la politique est une machine portant sa cargaison humaine, sans aucun but dans ses institutions reflétant leurs soins, Les aspirations éternelles, la solitude, le besoin d'amour.
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Mort aux tueurs, donnant vie à la lumière.
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Ce qui est précieux, c'est jamais oublier, le plaisir du sang tiré des ressorts anciennes, brisant à travers les rochers dans les mondes devant notre terre; Ne nier jamais son plaisir dans la simple lumière matinale, ni sa grande demande de soirée d'amour; Ne permettez jamais progressivement sur le trafic, avec du bruit et brouillonnez la floraison de l'esprit.
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Un fermoir brillant de toute sa main autour de ma fille ma fille alors que nous marchons ensemble maintenant. Toute ma vie, je ressentirai une bague de manière invisible encerclant cet os avec de la brillance quand elle sera grandi.
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La mémoire exercée d'une manière particulière est un don naturel de génie poétique. Le poète par-dessus tout, est une personne qui n'oublie jamais certaines impressions sensorielles qu'il a vécues et qu'il peut revivre à nouveau comme avec toute leur fraîcheur d'origine.
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Sous les oliviers, du sol pousse cette fleur, qui est une blessure. Il est plus facile à ignorer que le feu de la mort des héros de la mort dans leur désir volontaire qui fait rage avec des drapeaux sur le rivage du monde.
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Ce que nous appelons la liberté de l'individu, ce n'est pas seulement le luxe d'un intellectuel pour écrire ce qu'il aime écrire, mais sa voix qui peut parler pour ceux qui sont silencieux.
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Les plus grands poètes sont ceux qui ont des souvenirs si grands qu'ils s'étendent au-delà de leurs expériences les plus fortes à leurs moindres observations de personnes et de choses loin de leur propre égocentrisme.
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Je pense continuellement à ceux qui étaient vraiment grands ... nés du soleil, ils ont voyagé un peu de temps vers le soleil et ont laissé l'air vif signé avec leur honneur.
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Tout ce que l'on peut faire, c'est atteindre la nudité, être ce que l'on est avec toutes ses facultés et ses perceptions, renforcé par toute l'habileté que l'on peut acquérir. Et puis se tenir devant le jugement du temps.
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La plus grande de toutes les délires humaines est qu'il y a un objectif tangible, et pas seulement la direction vers un objectif idéal. L'idée qu'un objectif peut être atteint perpétuellement frustre les êtres humains, qui sont déçus de ne jamais y arriver, de ne jamais pouvoir s'arrêter.
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Quand j'ai vu des photographies d'enfants assassinées par le fasciste, je me sentais furieuse. Lorsque les partisans de Franco ont parlé des atrocités rouges, je me sentais simplement indigné que les gens devraient dire de tels mensonges. Dans le premier cas, j'ai vu des cadavres, dans le second seul mots. . . J'ai progressivement acquis une certaine horreur de la façon dont mon propre esprit fonctionnait. Il était clair pour moi qu'à moins que je ne me souciais de chaque enfant assassiné de manière impartiale, je ne me souciais pas du tout que les enfants soient assassinés.
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Mais la lecture n'est pas l'oisiveté? C'est le côté passif et réceptif de la civilisation sans laquelle le monde actif et créatif serait dénué de sens. C'est l'esprit immortel des morts réalisés dans les corps des vivants. C'est sacramentel.
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Toutes les leçons apprises, non apprises ; Les jeunes, qui ont appris à lire, maintenant aveugles, Leurs yeux avec un film archaïque; Le paysan retombe sur un air trébuchant, Suivant le braiment de l'âne ; Ceux-ci ne se souviennent que d'oublier. Mais quelque part quelque mot presse, Sur la haute porte d'un crâne et dans quelque coin, D'un œil irréfrangible, Quelque souvenir de vieil homme saute à un enfant - Étincelle des jours d'énergie. Et l'enfant l'accumule comme un jouet amer.
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Un poète doit s'adapter, plus ou moins consciemment, aux exigences de sa vocation, et donc aux particularités des poètes et à la condition d'inspiration dont beaucoup ont dit qu'elle était proche de la folie... Le problème de l'écriture créative est essentiellement un de concentration... une focalisation de l'attention d'une manière particulière.
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Vous conduisez le paysage comme un troupeau de nuages se déplaçant contre votre tour horizontale de vitesse inébranlable. Toute l'Angleterre se trouve sous vous comme une femme avec des membres ravis par un coup d'œil portant tous ces yeux.
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Quand j'ai vu des photographies d'enfants assassinées par le fasciste, je me sentais furieuse. Lorsque les partisans de Franco ont parlé des atrocités rouges, je me sentais simplement indigné que les gens devraient dire de tels mensonges. Dans le premier cas, j'ai vu des cadavres, dans le second seul mots. . . J'ai progressivement acquis une certaine horreur de la façon dont mon propre esprit fonctionnait. Il était clair pour moi qu'à moins que je ne me souciais de chaque enfant assassiné de manière impartiale, je ne me souciais pas du tout que les enfants soient assassinés.