'A dazzling, subtle, skilful knockout - I loved it' Charlotte Mendelson

 'One of our finest living authors . propulsively entertaining' New York Times

 'Wonderfully strange and alive' Jon McGregor

 A propulsive, seductive new novel about friendship, exploitation and intimacy from the prize-winning author of Where Reasons End

 Fabienne is dead. Her childhood best friend, Agnès, receives the news in America, far from the French countryside where the two girls were raised - the place that Fabienne helped Agnès escape ten years ago. Now, Agnès is free to tell her story.

 As children in a backwater town, they'd built a private world, invisible to everyone but themselves - until Fabienne hatched the plan that would change everything, launching Agnès on an epic trajectory through fame, fortune, and terrible loss.

 A dark, ravishing tale winding from the rural provinces to Paris, from an English boarding school, to the quiet Pennsylvania home where Agnès can live without her past. The Book of Goose is a story of intimacy and obsession, friendship and rivalry perfect for fans of Elena Ferrante, Ottessa Moshfegh and Kamila Shamsie.

 'Beguiling . A shimmering, unsettling tale of exploitation and manipulation' Daily Mail

 'Brilliant . A novel of deceptions and cruelty' Spectator

 'For all its surface lushness, this is a novel of meticulous philosophical inquiry.resonant with echoes of. My Brilliant Friend, as well Elizabeth Strout. electrifying' Observer

The Book of Goose

J'ai failli être à ta place un jour, et c'est pour ça que je me suis permis d'inventer ce monde pour parler avec toi. On peut supporter la tristesse, mais elle est une garnison impuissante contre la cécité de la tragédie. Le suicide d'un adolescent, le deuil d'un parent. Le dialogue qu'imagine une mère avec son enfant pour continuer à lui parler, à l'entendre, à le faire exister. Le cache-cache intellectuel de deux esprits marqués par le sceau de la création.
 Après le très brillant 
Cher ami, de ma vie je vous écris dans votre vie, qui fut en lice pour le prix Médicis et le prix du Meilleur livre étranger, Yiyun Li rend un hommage plein de tendresse, de poésie et de pudeur à son fils, et mêle magnifiquement l'intime à l'universel : la douleur après la perte d'un être cher, le refuge que constituent les mots et, plus largement, la puissance cathartique de la littérature.

La Douceur de nos champs de bataille

Il fut un temps où je lisais les carnets de Katherine Mansfield pour me distraire. "Cher ami, de ma vie je vous écris dans votre vie", écrivit-elle dans une entrée. En lisant cette phrase, j'ai pleuré... Elle me rappelle aussi la raison pour laquelle je ne veux pas m'arrêter d'écrire. Les livres que l'on écrit - passés, présents et futurs - n'essaient-ils pas de dire la même chose : Cher ami, de ma vie je vous écris dans votre vie ? Qu'il est long, le chemin d'une vie à une autre ! Convoquant à la fois philosophie et littérature, une oeuvre remarquable où l'auteur d'Un beau jour de printemps interroge celle qu'elle a été, celle qu'elle est et celle qu'elle sera : l'enfant persécutée, la scientifique dans l'âme, l'immigrante au parcours complexe, la mère en quête de réponses, l'écrivain au coeur d'une nouvelle création...

Cher ami, de ma vie je vous écris dans votre vie

Des révolutions étudiantes de la place Tian'anmen au déracinement dans lequel les Etats-Unis maintiennent leurs migrants aujourd'hui, l'histoire de trois amis au destin brisé par un mystérieux accident. Servie par un style à l'élégance distanciée, une oeuvre saisissante qui explore les tréfonds de la nature humaine, et notamment l'idée que même la plus innocente des personnes est capable du plus glacial des crimes...

Plus doux que la solitude

Winner of the Sunday Times EFG Short Story Prize

 Auntie Mei is a live-in nanny for newborns and their mothers. She has worked for a hundred and twenty-six families and looked after a hundred and thirty-one babies, one set of clients easily replaced by the next. But the hundred and thirty-second baby and his mother Chanel prompts a crisis in Auntie Mei's life - a tremor that threatens to destroy her resolute detachment.

A Sheltered Woman

En ce jour de printemps 1979, la ville de Rivière-Fangeuse se prépare à l'exécution de Gu Shan, une ancienne garde rouge devenue dissidente.
Pour ses parents et les quelques habitants écoeurés par cette ultime injustice, plus rien ne sera comme avant. Sous l'oeil omniprésent du Parti, contre la terreur ordinaire dans la Chine postmaoïste, ils tentent de modifier la trajectoire imposée.

Un beau jour de printemps

À l'aube du 19 mars 1979, la petite ville de Rivière-Fangeuse est en ébullition : après dix ans de prison, Gu Shan, une ancienne garde rouge, va être exécutée. Son crime ? Avoir douté du parti. Et la mort n'est pas le pire de ce qu'elle va devoir subir. Cet événement va avoir des répercussions sur ses concitoyens : le professeur Gu, son père, un intellectuel qui se réfugie dans le passé pour échapper à un monde qu'il ne comprend plus, et son épouse, jusque-là humble et soumise, qui va relever la tête pour défendre sa fille ; Bashi, un adolescent tourmenté qui noue une relation improbable avec Nini, une petite infirme affamée ; Kai, voix officielle du parti, qui va sacrifier famille et carrière pour l'amour d'un dissident ; et bien d'autres... Cruauté d'une société déboussolée, où l'idéologie marxiste n'a pas effacé les vieilles superstitions, où les liens familiaux sont rongés par la misère et l'endoctrinement, où l'implacable machine à décerveler n'en finit plus de broyer les individus qui tentent de résister.

Brilliant and original, 'A Thousand Years of Good Prayers' introduces a remarkable first collection of stories about China from an author set to become a major literary talent.

A THOUSAND YEARS OF GOOD PRAYERS

Dans l'ensemble, il peut y avoir moins de censure en Amérique qu'en Chine, mais la censure et l'autocensure ne proviennent pas seulement de la pression politique, mais aussi des pressions d'autres endroits d'une société.

Même la personne la plus innocente, lorsqu'elle est acculée, est capable d'un crime sans cœur.

Dans le film, vous devez tout présenter à l'écran, c'est donc l'opposé de ce que je fais habituellement avec la narration. Cela m'a forcé à réfléchir à la façon dont les gens marchent, où ils sont assis à ce moment-là. Avec la princesse du Nebraska, c'était juste amusant à regarder parce que le film était si loin de l'histoire. C'était une histoire différente.

La décomposition qui s'était traînée pendant trop longtemps n'avait transformé que la tragédie en nuisance; La mort, quand il frappe, mieux termine son acte d'annihilatation lors du premier essai.

Seuls les petits poissons paient pour le lifting du visage du gouvernement. Les grands - ils deviennent juste plus gros et plus gros.

Horrible que vous puissiez si bien écrire dans une langue, mais que vous n'avez rien de significatif à dire.

Il y a une certaine politesse ici en Amérique, qui est probablement plus que la politesse.

Vos personnages sont toujours vos enfants. Et pendant que vous écrivez, vous les gardez en sécurité. Maintenant, ils sont prêts à aller dans le monde et c'est triste. Je suis content de la façon dont le roman est sorti, mais tous les personnages me sont vraiment attristés.

Chaque endroit est un bon endroit, seul le temps va mal.

Écrire sur une lutte au milieu des difficultés: il faut espérer que le conflit se terminera un jour.

Un vrai rêveur doit avoir une confiance mutuelle avec le temps.

En ce qui concerne l'héroïsme, j'ai grandi dans une culture où vous apprenez tout le temps sur les héros et les héroïnes. D'une certaine manière, lorsque vous appelez quelqu'un un héros ou une héroïne, c'est la même chose que de les appeler un méchant.

Mais la solitude est une croyance aussi délicieuse en la pertinence du monde que l'amour: en choisissant de se sentir seul, comme en choisissant d'aimer, on se trace un espace à côté de soi pour être rempli par les autres - un ami, un amant, un jouet Poodle, violoniste à la radio.

C'est une tradition chinoise que tout le monde doit être dans la vie de tout le monde.

Une erreur facile à commettre avec le premier roman est d'élargir la nouvelle. Certaines choses sont meilleures comme une histoire; Vous ne pouvez pas diluer les choses dans un roman. Je pense que les cent premières pages d'un roman sont très importantes. C'est là que vous installez les choses: le monde, les personnages. Une fois que vous avez configuré cela, ce sera beaucoup plus facile.

Quelle longue voie c'est d'une vie à une autre: pourtant pourquoi écrire sinon pour cette distance; Si les choses peuvent être lâchées, chaque fois avant de remplacer par un après.

Je ne décrirais jamais un nuage comme «moelleux» - en chinois ou en anglais.

Je pense que l'isolement en Chine a également à voir avec les souvenirs des gens qui sont anéantis, les souvenirs collectifs ainsi que les souvenirs individuels, par le fait que l'histoire récente a été constamment réécrite et révisée.

Mme Pang était autrefois une nounou pour moi, et elle me gâche la façon dont j'imaginais les femmes qui aimaient gâcher un orphelin, m'aimer pour qui je suis, exactement l'opposé de ma mère, dont je dois gagner l'amour avec grand effort et avec peu de succès.

Le garçon restera un fils et ne deviendra jamais père. Il sera oublié par la foule une fois que son sang sera rincé du sol; Sa sœur pensera à lui mais bientôt elle l'oubliera aussi. Il ne vivra que dans la mémoire de Han, un enfant puni non pas pour sa propre insincérité mais l'incrédulité de quelqu'un d'autre.

Presque toutes les histoires du entremetteur, de l'apprenti et du fan de football sont racontées à la première personne, mais, en fonction de l'angle et de la distance du narrateur, ils exercent différents effets. Les meilleurs sont ceux dans lesquels l'orateur ne se présente jamais comme un étranger objectif. (...) D'autres histoires sont endommagées par l'envie de distribuer le narrateur.

Elle se demande si c'est ce que les gens appellent tomber amoureux, le désir d'être avec quelqu'un pour chaque minute du reste de sa vie si forte qu'elle a parfois peur d'elle-même.

Certaines personnes en Chine ne considèrent pas la liberté d'expression comme un idéal abstrait, mais plus comme un moyen pour une fin.

Personne n'est à l'abri de prendre la mauvaise action ou de ne pas prendre des mesures du tout, mais le sentiment que quelque chose est complètement hors du contrôle d'une personne est plus fort en Chine.

En Chine, votre liberté est toujours limitée, mais cette limitation s'applique à presque tout le monde. Si quelqu'un vous injuste, cependant, vous devez trouver un moyen de vous venger - même par des mesures illégales. Dans un sens, l'injustice est plus personnelle. Cette idée a toujours été dans l'histoire chinoise. Je pense que nous lisons sur la liberté d'expression ou le manque de liberté d'expression, en Chine si souvent. Mais je ne pense pas que les gens ici en Amérique réfléchissent à la façon dont la justice ou l'idée de justice est si importante dans un cadre chinois. C'est probablement plus important que la liberté d'expression dans l'état d'esprit chinois en ce moment.

Je dis toujours à mes élèves de revenir après cent pages et de réécrire dès le début. C'est vraiment plus difficile si vous avez déjà terminé quatre cents pages et que vous vous rendez compte que les cent premiers ne fonctionnent pas.

Qu'est-ce que la révolution, sauf un moyen systématique pour une espèce d'en manger une autre vivante?

Ses oeuvres

Ses derniers livres