La citation analysée
Malheur à cette nation dont la littérature est perturbée par l'intervention du pouvoir. Parce que ce n'est pas seulement une violation contre la «liberté d'impression», c'est la fermeture du cœur de la nation, une réduction des morceaux de sa mémoire. La nation cesse d'être attentive à elle-même, elle est privée de son unité spirituelle, et malgré un langage prétendument commun, les compatriotes cessent soudainement de se comprendre mutuellement.
Malheur à cette nation dont la littérature est perturbée par l'intervention du pouvoir. Parce que ce n'est pas seulement une violation contre la «liberté d'impression», c'est la fermeture du cœur de la nation, une réduction des morceaux de sa mémoire. La nation cesse d'être attentive à elle-même, elle est privée de son unité spirituelle, et malgré un langage prétendument commun, les compatriotes cessent soudainement de se comprendre mutuellement.