![auteur Ty Cobb de la citation Les chemins de base m'appartenaient, à moi, le coureur. Les règles m'en donnaient le droit. J'entrais toujours dans le sac à pleine vitesse, les pieds en premier. J'avais des crampons pointus sur mes chaussures. Si le joueur de base se tenait là où il n'avait rien à faire et se blessait, c'était de sa faute.](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Fauthors%2Fimages%2Fty-cobb-YSG3wfEMjtNqtdWk2tXDSMBdWCsvlx5CzB0oHpwZkfiKsCIXU0RRZva5YpeKSfbI9Rn1HEKbI9Fe9CDc4h16gVlWkIeVxC7rsAoYWfH7QLm2L5lUUWyIRtzBhWRjj025.jpg&w=3840&q=100)
Ty Cobb
@tyCobb
Les chemins de base m'appartenaient, à moi, le coureur. Les règles m'en donnaient le droit. J'entrais toujours dans le sac à pleine vitesse, les pieds en premier. J'avais des crampons pointus sur mes chaussures. Si le joueur de base se tenait là où il n'avait rien à faire et se blessait, c'était de sa faute.