![auteur Sylvia Plath de la citation Dans le train: regarder hypnotisé à la noirceur à l'extérieur de la fenêtre, sentant le langage rythmique incomparable des roues, claquant des rimes de pépinière, résumant des moments de l'esprit comme le chant d'un bilan brisé: Dieu est mort, Dieu est mort. Partir, aller. et le pur bonheur de cela, le balancement érotique de l'entraîneur. La France se divise comme une figue mûre dans l'esprit; Nous violons le terrain, nous ne nous arrêtons pas.](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Fauthors%2Fimages%2Fsylvia-plath-MNeib7iZ4eYeXwNeo0iaRpuhUv2jhYBkpJ5MRquo3ejQ1GimG5SH99ItpbA8FWO5C5gfzUgo2iJB5MeffhB2EKronJxGpboTOHVD0EQhT6Gec4GTHy7ePQC3k8vKON1K.jpg&w=3840&q=100)
Sylvia Plath
@sylviaPlath
Dans le train: regarder hypnotisé à la noirceur à l'extérieur de la fenêtre, sentant le langage rythmique incomparable des roues, claquant des rimes de pépinière, résumant des moments de l'esprit comme le chant d'un bilan brisé: Dieu est mort, Dieu est mort. Partir, aller. et le pur bonheur de cela, le balancement érotique de l'entraîneur. La France se divise comme une figue mûre dans l'esprit; Nous violons le terrain, nous ne nous arrêtons pas.