La citation analysée
Leibniz a accepté l'argument selon lequel il doit y avoir des entités simples indestructibles s'il doit y avoir un monde complexe, mais la morale et la politique épicuriennes et l'anti-théologie l'ont consterné. Sa «monadologie» qui disait que les vrais atomes de la nature n'étaient pas des «miroirs vivants» non étendus, était un système imaginatif et magnifique, et même à bien des égards plus moderne que l'atomisme épicurien, que l'atomisme épicurien, mais il y avait un aspect réactionnaire.
Leibniz a accepté l'argument selon lequel il doit y avoir des entités simples indestructibles s'il doit y avoir un monde complexe, mais la morale et la politique épicuriennes et l'anti-théologie l'ont consterné. Sa «monadologie» qui disait que les vrais atomes de la nature n'étaient pas des «miroirs vivants» non étendus, était un système imaginatif et magnifique, et même à bien des égards plus moderne que l'atomisme épicurien, que l'atomisme épicurien, mais il y avait un aspect réactionnaire.