Thriller tra mare e terra, "Il segreto di inga" ha il tipico avvio da romanzo d'avventura: in una notte tempestosa, una donna, aggrappata alla base di un faro per non essere travolta dalle onde che sferzano il molo, lancia per tre volte un grido nelle tenebre. La donna è Inga Andersson, ricercatrice di criminologia la cui esistenza solitaria nasconde un segreto. Ed è questo segreto che la porterà, un po' per caso e un po' per necessità, a restare impigliata nella macchina inesorabile della più potente agenzia di spionaggio del mondo, la NSA, e di Echelon, il temutissimo "orecchio" per l'ascolto globale.

Il segreto di Inga

« Longtemps, je n'ai rien possédé : ni voiture, ni poste de télévision, ni téléphone, ni meuble - rien que mon bateau et son équipement, ainsi qu'une dizaine de mètres linéaires de livres entreposés chez des amis. J'ai passé la plus grande partie de ces vingt dernières années à l'étranger, quatre en France, quinze au Danemark, une en Irlande et deux à voyager dans l'Atlantique nord. Pendant six ans, j'ai vécu de façon permanente à bord de mon voilier, le Rustica, et je pense que je n'ai jamais été aussi heureux, pour être honnête.
Ce livre reflète sans doute une tentative parmi beaucoup d'autres de vivre en se débarrassant des problèmes de la vie. Elle repose sur un voilier du nom de Rustica et sur l'amour des Celtes ainsi que des eaux et des terres celtiques. Bien entendu, il est loin d'être évident que ce mode de vie puisse convenir à tous. Mais si cela peut donner à certains le désir de prendre des libertés avec la vie, ce ne sera pas pour me déplaire. »

La Sagesse de la mer : Du cap de la colère au bout du monde

Björn Larsson n'a pas écrit, ici, un traité de la liberté, ni un manuel d'éthique ; son livre, dans la tradition des « Besoin de... », est un récit personnel. Il raconte avec une sincérité exceptionnelle comment est né chez lui un besoin d'indépendance à la fois tripal et raisonné. Le premier aveu de ce livre n'est pas le moindre : Björn Larsson raconte comment enfant, en apprenant la mort subite de son père -noyé alors qu'il tentait de sauver d'autres personnes - il a éprouvé une sorte de soulagement dont il ne 
s'est pas remis comme si la perte de cette tutelle constituait pour lui une libération fondatrice - impossible à dire, sur le moment. Un homme libre, dit-il, c'est un homme qui possède un bateau près à appareiller, qui ne doit rien aux impôts, qui peut s'en aller sans que quiconque pleure, et qui n'est attendu par personne sur un autre rivage. Mais Björn Larsson n'a pas écrit une robinsonnade : le paradoxe de sa liberté farouche est qu'il se veut aussi homme de la cité, universitaire et écrivain prolixe, amoureux d'une femme, attaché à son enfant. Totalement indépendant, il reste un homme qui négocie. La confession qu'il nous accorde est l'histoire passionnante de cette négociation qui n'en finira jamais, jusqu'à son dernier souffle.

Besoin de liberte

Quand un capitaine accoste dans un port, on sait qu'il va repartir. Mais son bref passage peut bouleverser la vie des personnes qu'il a rencontrées.Lorsque Marcel débarque avec son charisme dévastateur, son charme irrésistible, certains destins basculent. Rosa Moreno, la jeune serveuse qui végète dans un petit village : Mme Le Grand, qui tient le fichier de tous les marins qu'elle a connus ; Peter Sympson, féru de pierres précieuses ; Jacob Nielsen, informaticin à la retraite qui surfe avec passion sur le web ; tous quatre partent quelque temps après, chacun de son côté, à sa recherche et se retrouvent dans un bar de Kinsale en Irlande, où Marcel finit par revenir. Il entraîne alors ces terriens invétérés et individualistes à bord d'un bateau à voile dont il leur confie la manoeuvre. Ils apprendront la solidarité, comprendront la vanité de certaines choses et la beauté de la vie. Marcel pourra repartir : ses amis se seront trouvés, ils vivront enfin leurs rêves.

Le Capitaine et les rêves

« Mutano solo il cielo, non l'animo, coloro che vanno per mare »: il famoso aforisma oraziano potrebbe forse servire da epigrafe a questo libro, in cui Björn Larsson torna a parlarci del suo luogo dell'anima attraverso alcuni tra i grandi classici della letteratura di mare. Da Conrad a Maupassant, da Omero a Cristoforo Colombo, dal Nobel Harry Martinson al velista solitario Joshua Slocum, da Biamonti a Childers, ad Álvaro Mutis, ripercorre romanzi e racconti, non tutti noti quanto meritano, intrecciando le biografie degli autori e quelle dei personaggi, interrogandosi sulle loro qualità marinaresche e letterarie, ma soprattutto umane, con la competenza e l'empatia di chi spartisce con loro la duplice passione di navigare e raccontare. Perché continuiamo a considerare il mare come il « simbolo quasi parodistico della libertà », del sogno di una vita più autentica? È il mare vero o il suo mito che custodiamo gelosamente nel nostro immaginario? Siamo sicuri che sia una fonte privilegiata di ispirazione letteraria, che basti aver fatto il giro del mondo a vela per diventare scrittori? Di quale mare parla, in realtà, la letteratura marinara? Di quello duro dei pescatori e dei marinai, del campo di gara dei regatanti, delle acque domestiche di chi vi trascorre il tempo libero per puro piacere? Accantonando ogni analisi teorica, Larsson si appassiona e ci fa appassionare, alle storie, ai personaggi, agli autori che ama, scrivendo da romanziere un libro « eclettico e impressionista » che ci invita a navigare senza rotte prestabilite, con il solo scopo di farci « perdere tra qualche buon libro ai margini della letteratura canonica ».

Raccontare il mare

Quand un capitaine accoste dans un port, on sait qu'il va repartir. Mais son bref passage peut bouleverser la vie des personnes qu'il a rencontrées.Lorsque Marcel débarque avec son charisme dévastateur, son charme irrésistible, certains destins basculent. Rosa Moreno, la jeune serveuse qui végète dans un petit village : Mme Le Grand, qui tient le fichier de tous les marins qu'elle a connus ; Peter Sympson, féru de pierres précieuses ; Jacob Nielsen, informaticin à la retraite qui surfe avec passion sur le web ; tous quatre partent quelque temps après, chacun de son côté, à sa recherche et se retrouvent dans un bar de Kinsale en Irlande, où Marcel finit par revenir. Il entraîne alors ces terriens invétérés et individualistes à bord d'un bateau à voile dont il leur confie la manoeuvre. Ils apprendront la solidarité, comprendront la vanité de certaines choses et la beauté de la vie.Marcel pourra repartir : ses amis se seront trouvés, ils vivront enfin leurs rêves.Bjorn Larsson a publié le Cercle cltique (1995) et Long John Silver (Grasset, 1998).

Le capitaine et les rêves

Huit écrivains portent un regard sans complaisance et totalement libre sur les Objectifs du MIllénaire pour le Développement. En septembre 2000, pour la première fois, tous les États membres des Nations unies se sont engagés à réaliser un projet commun pour s'attaguer à la fatalité de la misère. Ils ont adopté huit objectifs ambitieux et réalistes qui visent à combattre la faim et la pauvreté, à préserver l'environnement , à améliorer l'accès à l'éducation et à la santé, à promouvoir l'égalité des sexes, et à mettre en place un partenariat mondial d'ici à 2015. Dans les huit nouvelles inédites qui composent ce recueil, on croise une réalisatrice de documentaires qui découvre le quotidien des haïtiens, un garçon rwandais qui rêve d'aller à l'école refoulé aux portes de l'Europe, une feune fille arpentant les trottoirs de Ramana, un marchand de tamis qui se bat pour la survie de ses enfants, au Mali, une fille mère en danger de mort au Liban, un Européen confronté à la maladie dans un pays lointain, un producteur aux prises avec les cadavres de ses ancêtres dans le Sud de la France, un conférencier des Nations unies interpellé par les habitants d'une grande villedu Congo... Avec humour, gravité, tendresse et lucidité, Zoé Valdès, Björn Larsson, Taslima Nasreen, Moussa Konaté, Vénus Khoury-Ghata, Philippe Besson, simonetta Greggio et Alain Mabanchou brossent les portraits de femmes, d'hommes et d'enfants qui mettent en lumière l'urgente nécessité d'agir pour un nouveau modèle de développement. La moitié des bénéfices de cet ouvrage est reversée à des organismes oeuvrant en faveur du Développement.

Huit - Nouvelles

È spargendo al vento le ceneri della madre che Martin Brenner, genetista all'apice di una brillante carriera, marito e padre felice, comincia a interrogarsi sul suo rapporto con lei: perché non prova un vero dolore, perché ha sempre sentito che un velo si frapponeva tra loro? Scoprirà il motivo in una lettera che lei gli ha lasciato: quello che li divideva era un segreto. Sua madre non si chiamava Maria, ma Gertrud, ed era un'ebrea sopravvissuta ai lager. Glielo aveva nascosto per proteggerlo, ma anche per lasciarlo libero di scegliere, da adulto consapevole, la propria identità e la propria vita. Ma qual è la scelta davanti a una rivelazione così scioccante? E cosa vuol dire poi essere ebreo? Con il razionalismo dello scienziato, Martin si getta in ogni genere di letture, ricerche, discussioni con l'amico Simon e il rabbino Golder, per poter decidere: tenere il segreto o accettare la sua ebraicità, sconvolgendo non solo la propria esistenza, ma anche quella della sua famiglia, nonché quel quieto rapporto di « reciproca indifferenza » che ha sempre avuto con Dio? Ed è davvero libero di scegliere o è in realtà costretto ad accettare una definizione che per un genetista, e ateo, non ha alcun significato, e un'appartenenza che non sente? Con la sua capacità rabdomantica di captare i grandi temi del presente e trasformarli in storie da leggere d'un fiato, Björn Larsson affronta uno dei grandi equivoci di oggi - l'identità levata a vessillo di divergenza e inconciliabilità e l'appartenenza come bisogno primordiale eretto a muro divisorio - per rivendicare il diritto di ognuno di essere guardato e giudicato per l'unica vera identità che abbiamo: quella di singole persone.

La lettera di Gertrud

Dal suo nascondiglio sulle coste del Madagascar, lontano da un'umanità che francamente non lo interessa, il vecchio Long John Silver scrive le memorie di una vita vissuta all'insegna della libertà assoluta, alla quale ha sacrificato senza alcun rimpianto ogni altra cosa. Sa che la fine è vicina, ma l'inscalfibile pirata con una gamba sola, che nell'Isola del tesoro era riuscito a fuggire con parte del ricco bottino, la morte l'ha guardata più volte negli occhi e non ne ha paura. Quello che non si aspetta è che il destino abbia in serbo per lui un'ennesima avventura, quando sulla sua sperduta spiaggia africana compaiono due uomini bianchi in fin di vita, un avido lord inglese e un cencioso marinaio, unici sopravvissuti a un ammutinamento e a un naufragio dopo una rocambolesca spedizione negriera. È ancora una volta Jim Hawkins a ritrovarsi depositario delle leggendarie peripezie di Silver, ricevendo in Inghilterra da mani sconosciute questo racconto che il corsaro, ormai creduto morto, ha scritto di suo pugno. Così, come un inatteso messaggio nella bottiglia, Björn Larsson ci consegna un capitolo inedito della Vera storia del pirata Long John Silver, un episodio che solo ora, a distanza di anni, ha ritrovato nel cassetto. E in cui rivive tutto un mondo, sospeso tra storia e invenzione, di grandi avventure per terra e per mare, di meschini gentiluomini e pirati giustizieri, perché inesauribile è la fantasia come lo è il fascino di personaggi che racchiudono in sé lo spirito di un'epoca quanto un'umanità che trascende il tempo, nati già immortali.

Il segreto di Inga

Résumé

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