"Un golpe a la puerta del Cortijo" (título original en alemán: "Der Schlag ans Hoftor"), es un relato corto escrito por Franz Kafka en 1917.

Un golpe a la puerta del Cortijo

Ces cahiers sont, à l'origine, de simples cahiers d'écolier où Kafka consigne indifféremment ses récits et ses rêves, sans souci de hiérarchie.
Apparemment simple kaléidoscope de textes qui se bousculent et se heurtent, ils sont essentiels car ils sont la continuation de son Journal qu'il a pratiquement abandonné à partir de 1916, après la crise avec Felice. Cette relation lui a certes donné un nouvel élan dans l'écriture mais lui a révélé que l'écriture était incompatible avec l'amour pour une femme. Ces Cahiers, au nombre de huit, balaient une période qui va donc de novembre 1916 à mai 1918 (Kafka meurt en 1924) et correspond à une crise intense dans les choix de l'homme et de l'écrivain, du profane et du religieux.
C'est le creuset où s'élaborent ses oeuvres à venir, une forme de work in progress où se tisse entre tous ces textes et ces fragments un lien organique qui engendre une filiation. Les cahiers mettent en place des modalités narratives nouvelles qui vont faire la spécificité de Kafka : impersonnalité ou absence du narrateur, fragmentation de l'action en séquences brèves, logique onirique qui transforme l'absurde en nécessité, comme dans la Construction de la Grande Muraille de Chine.
Entre méditation et création, hésitations et fulgurances, ces cahiers sont les brouillons de la vie, versant abrupt d'un journal interrompu.

Cahiers in-octavo (1916-1918)

Diese Sammlung enthält alle Texte von Franz Kafka, die er 1908 verfasst hat: Der Fahrgast , Der Kaufmann, Der Nachhauseweg, Die Abweisung, Die Bäume, Die Vorüberlaufenden, Kleider, Zerstreutes Hinausschaun. Alle diese Texte sind kaum bekannt und für Kafkafans ein absolutes Muss.

Texte von 1908

«- Dans quel village me suis-je égaré ? Y a-t-il donc ici un château ? - Mais oui, dit le jeune homme lentement, et quelques-uns des paysans hochèrent la tête, c'est le château de M. le Comte Westwest. - Il faut avoir une autorisation pour pouvoir passer la nuit ? demanda K. comme s'il cherchait à se convaincre qu'il n'avait pas rêvé ce qu'on lui avait dit. - Il faut avoir une autorisation, lui fut-il répondu, et le jeune homme, étendant le bras, demanda, comme pour railler K., à l'aubergiste et aux clients : - À moins qu'on ne puisse s'en passer ?...»

Le château

Одного ранку, прокинувшись од тривожного сну, Ґреґор Замза побачив, що у власному ліжку перетворився на величезну комаху. Він лежав на твердій, схожій на панцир спині й, коли трохи підводив голову, бачив своє дугасте, буре, поділене на кільця черево, на якому ледь трималася ковдра, що от-от була готова сповзти. Численні убогі, порівняно з рештою тіла, ніжки безпорадно маячіли йому перед очима. «Що зі мною сталося?» — подумав він. Це не був сон. Його, можливо, дещо замала, але справжня людська кімната покоїлася серед чотирьох добре знайомих стін. Над столом із розкладеною на ньому колекцією зразків сукна — Замза був комівояжером — висіла картина, яку він нещодавно вирізав з ілюстрованого журналу та вставив у гарну позолочену рамку. Це був портрет дами в хутряному капелюсі та хутряному боа; жінка сиділа дуже прямо й простягала глядачеві важку хутряну муфту, в якій її рука зникала майже до ліктя. Ґреґор перевів погляд на вікно, і через похмуру погоду — було чутно, як краплі дощу стукотять по блясі підвіконня — йому стало зовсім тоскно. «Було би добре ще трохи поспати й забути всю цю маячню», — подумав чоловік, але це було абсолютно неможливо, адже він звик спати на правому боці, а в теперішньому стані зробити цього не міг. І хоч як він не борсався, як не намагався перевернутися на правий бік, однак раз у раз знову перекочувався на спину. Заплющивши очі, щоб не бачити, як дриґаються ніжки, він пробував перевернутися, мабуть, разів зо сто й припинив лише тоді, коли відчув у боці якийсь невідомий легкий, тупий біль.У світі захопливих розповідей Франца Кафки нема простих шляхів і запасних виходів. У ньому кожен читач має зробити власний вибір. Мати досвід вибору – безсумнівна привілегія, а найкраща нагода його отримати – збірка вибраних творів «Перевтілення». До книги увійшли оповідання «Вирок», «Перевтілення» та «У виправній колонії».Includes:"The Metamorphosis""The Judgment""In the Penal Colony"

La Metamorfosis

"La colonia penitenciaria" ("In der Strafkolonie") es una novela corta escrita por Franz Kafka en octubre de 1914, revisada en noviembre de 1918, y publicada por primera vez en octubre de 1919.

La historia se sitúa en una colonia penitenciaria sin nombre. Como en otros escritos de Kafka, el narrador de la historia parece reaccionar frío, o tal vez entumecido hacia eventos a los que uno por lo general reaccionaria de manera terrorífica. En la "Colonia Penitenciaria" se describe el último uso de un elaborado instrumento de tortura y ejecución que esculpe la sentencia del condenado en su piel para luego dejarlo morir, todo esto en el curso de 12 horas. Al avanzar en la trama, el lector aprende más y más sobre el instrumento, incluyendo su origen y propósito original.

La colonia penitenciaria

»Jemand musste Josef K. verleumdet haben, denn ohne daß er etwas Böses getan hätte, wurde er eines Morgens verhaftet.«

Mit diesen Worten beginnt Franz Kafkas wohl bekanntester Roman »Der Prozess« . Die Geschichte des Josef K. an seinem dreißigsten Geburstag verhaftet und verhört wird - jedoch ohne Grund. Erfolglos versucht er sich durch die Wirrungen und Verstrickungen des undurchdringlichen Gesetztes zu kämpfen, aber er kann nichts dagegen tun. Niemand kennt das Gesetzt, das Gericht ist anonym.

Der Prozess

Si, dans un pays étranger, on est témoin de pratiques qui paraissent contraires au bon sens et à la justice, que doit-on faire ? La question obsède l'explorateur invité à assister à la punition du soldat indiscipliné dans la colonie pénitentiaire. Bizarre est l'instrument du supplice, mais plus bizarre encore celui qui s'est appointé exécuteur, ce tortionnaire illuminé qui applique jusqu'à l'absurde la loi dont il se veut le serviteur. Le dénouement survient dans un climat fantastique où l'impuissance de l'explorateur à empêcher le drame lui donne une dimension de cauchemar.C'est en quoi ce récit est une excellente illustration de l'art de Kafka. Il contient la plupart des thèmes développés dans les nouvelles qui suivent. Plus encore' que les intentions contradictoires qui animent les meilleurs comme les pires d'entre nous, ou les ravages de la sottise, on y voit mise en évidence la solitude de l'homme de bonne volonté dans un monde hostile. Le trapéziste de Premier chagrin et le Champion de jeûne s'efforcent d'atteindre à la perfection : à quoi bon ? Et que vous ayez tort de faire quoi que ce soit, Le Terrier ou La Taupe géante le prouvent puisque, même en ne faisant rien, vous n'échappez pas à l'emprise de cet autrui persécuteur — incarné dans Une Petite Femme — qui peuple l'univers pessimiste de Kafka.

Un golpe a la puerta del Cortijo

Résumé

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