Les Catastrophes au Moyen Age

Wonderful Savoy

Après l'examen de l'eau et du feu à la fin du Moyen Âge (parus aux PUR), ce troisième volet est consacré à la terre, dans les limites de la ville, de ses faubourgs et à son arrière-pays économique et administratif. De larges espaces, libres de toute construction, s'opposent à la vision que chacun peut avoir d'un tissu urbain densément bâti à l'intérieur et aux abords d'une enceinte. Toute localité comporte des places, des terrains « vuydes ou ruyneuls », des clos de vigne, des champs cultivés, des prés, des carrières, des « rives » ou zones portuaires et quantité d'autres secteurs laissés à l'abandon. Une ville ne se conçoit pas sans des faubourgs semi-ruraux, sans cultures et sans des zones inhabitées nécessaires à l'existence des communautés d'habitants (marécages, grèves, palus, terrains d'élevage ou forêts). Les espaces libres qui peuvent dépasser les 30 à 40 % de la superficie urbaine, confèrent à beaucoup de villes du royaume de France et de ses grands fiefs aux XIVe et XVe siècles, un aspect rural très marqué. Ces espaces de passage sont également nécessaires à la défense, à la vie administrative dans le cadre d'une banlieue, à l'économie dans un hinterland, l'équivalent du contado des villes italiennes. Enfin, ces surfaces non aedificandi, ces lieux de rassemblement et de déplacement, sont indispensables à la vie sociale, permettent aux citadins de s'assembler, de tenir des réunions, de multiplier les activités ludiques et religieuses, les manifestations sportives comme la soule, les tournois et le jeu de paume. L'accueil des personnalités en visite, les fêtes, le charivari contribuent à donner aux lecteurs une vision bien différente de celle à laquelle nous ont habitués dans les travaux sur l'urbanisme. Cette synthèse sur un sujet peu connu repose sur l'examen d'archives multiformes, chroniques, ouvres littéraires, textes normatifs (édits, ordonnances, bans), comptabilités seigneuriales et municipales et est complétée par apports de l'archéologie, de la toponymie, de l'onomastique.

Terres urbaines - Places, jardins et terres incultes dans la ville au Moyen Age

La Savoie, Sapaudia des Burgondes ou Saboia des Carolingiens, est à la fois une entité géographique et historique, un comté, un duché à partir de 1416 dont les frontières mouvantes se sont étendues un moment de Genève à Nice et du Lyonnais au Piémont et à Turin, une simple province dans le royaume de Piémont-Sardaigne en 1718 et deux départements français.
L'histoire originale et complexe de cette région frontalière, objet de convoitises, nous conduit depuis les origines préhistoriques, à travers l'époque gallo-romaine et la période féodale des Blanches-Mains, vers le rêve italien avec le transfert de la capitale de Chambéry à Turin en 1563, le premier rattachement à la France révolutionnaire et les réformes éclairées du buon governo au XIXe siècle. Dernière venue des provinces françaises, avec l'annexion en 1860, la Savoie entre dans l'ère des révolutions industrielle et touristique. Porte des Alpes, elle est devenue à l'aube du XXIe siècle, un trait d'union transalpin, un important carrefour économique, social, touristique européen.

Histoire de la Savoie

Etude sur les pauvres et marginaux dans le royaume de France et dans les grands fiefs à l'époque de la guerre de Cent Ans : les différentes populations, les lieux, le rejet, les brimades et la répression, leur souffrance.

Pauvres et marginaux au Moyen-Âge

Savoyen, ein geschichtsträchtiges Land voller Kontraste, lässt zunächst an grandiose Landschaften mit schneebedeckten Gipfeln und tiefen Tülern, tosenden und brodelnden Sturzbächen, in ein Schmuckkästchen aus Grün geschmiegte Seen und Schneefelder denken, die von Skilaüfern durchstreift werden.
Es gibt auch ein verborgenes Land, voller Reiz und Zauber, man muss sich Zeit nehmen, es zu ontdecken und lieben zu lernen : das ist das Land der Dörfer, die Erben von Hirtentraditionen, Kapellen und barocken Kirchen sind, die ihre Reichtümer so gut zu verstecken wissen, kleiner Stüdte mit feinen Farben und geheimnisvollen Strassen und mit Denkmälern, die von einer ruhmreichen Vergangenheit zeugen.
Machen Sie sich auf zur Suche nach eben diesem Lande, Sie werden nicht enttäuscht sein...

Liebenswertes Savoyen

L'Europe des États barbares est centré sur l'histoire de l'Europe occidentale, de la fin du Bas-Empire (395-476) aux Mérovingiens (481-751).
Fondé non seulement sur les textes anciens, lois ou codes barbares, récits historiques et hagiographiques, mais aussi sur les recherches récentes, l'archéologie, l'anthropologie et la toponymie, il reconstitue les origines, les migrations, l'implantation des peuples germaniques, slaves, iranophones, turco-mongols dans les limites de la Romania et au-delà. Il retrace la création des premiers royaumes barbares d'Aquitaine, de Burgondie, d'Espagne, l'oeuvre unificatrice de Théodoric en Italie et de Clovis en Gaule - de la grandeur au déclin de la dynastie mérovingienne - mais aussi celui des souverains suèves et wisigoths, lombards, anglo-saxons, celtes, saxons et alamans et des chefs des tribus slaves, bulgares, baltes et scandinaves.
Cette large fresque, du Ve au VIIIe siècle, permet de découvrir des civilisations longtemps méconnues ou incomprises et d'évaluer les mutations sociales, économiques et religieuses de cette période.

L'europe des etats barbares tome 1 - ve-viiie siecles

Le dimanche 25 juin 2000 en la cathédrale Notre-Dame de Paris, au cours de l'office de 18 h 30 présidé par le cardinal Jean-Marie Lustiger, a été créée, sous la direction de Nicole Corti, ma messe Missa Deo Gratias pour choeur d'enfants, choeur mixte, deux orgues, deux trompettes, deux trombones et percussions. Commandée par Musique sacrée à Notre-Dame - alors dirigée par Jean-Michel Dieuaide -, l'oeuvre, en latin, comprend : Kyrie, Sanctus, Agnus Dei. Depuis bien des années dans cette cathédrale, il n'est que rarement d'usage de chanter polyphoniquement le Gloria. Des aménagements ont ensuite remplacé le choeur d'enfants par une soprano solo et proposé une variante : l'instrumentarium inclut, au choix, un ou deux orgues. Certes, la présence de deux orgues éloignés souligne et théâtralise fortement l'espace ; mais le nombre conséquent de lieux ne disposant pas d'un tel effectif demande de prévoir pour eux un dispositif approprié. Dans ce cas, l'instrument unique tient les deux rôles : grand orgue et orgue de choeur. Pour des raisons évidentes liées à la distance, les deux orgues ne se superposent pas. A une exception près, cependant, dans le Kyrie, mesures 37 à 68 : il est alors demandé au chef de synchroniser l'orgue de choeur et les voix, et de laisser flotter le grand orgue. L'écriture est ici conçue pour absorber sans dommage un éventuel décalage. Pour ce passage, dans la version aménagée, l'orgue unique prolonge la double pédale des mesures précédentes et joue, aux claviers manuels, la partie de grand orgue. Les cuivres, silencieux à ce moment-là dans l'autre version, se joignent alors à lui. Jean-Pierre Leguay

Missa Deo gratias (conducteur) - partition pour soliste, chœur et ensemble instrumental

L'histoire de France en 100 dates pour connaître l'essentiel de ce qui a construit le territoire de France et l'identité française.

Les Catastrophes au Moyen Age

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